Les écosystèmes : des interactions dynamiques entre les êtres vivants et entre eux et leurs milieux
Cours : Les écosystèmes : des interactions dynamiques entre les êtres vivants et entre eux et leurs milieux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Leocross1 • 20 Avril 2022 • Cours • 1 041 Mots (5 Pages) • 501 Vues
Chapitre 11 : les écosystèmes : des interactions dynamiques entre les êtres vivants et entre eux et leurs milieux :
- Qu’est ce qu’un écosystème en équilibre dynamique ?
Les lichens sont des organismes qui colonisent de très nombreux milieux. Elles sont de formes et couleurs très variés allant du gris au vert. Ils sont constitués d’un thalle (= structure sans racine, ni tige)
Un écosystème : c’est une communauté d’êtres vivants (biocénose) végétaux et animaux coexistant dans un environnement donné (biotope) défini par ses paramètres physiques (eaux, sol, relief)
Biocénose : communautés d’êtres vivants
Biotope : ensemble de conditions physico-chimiques d’un écosystème.
Relevé biologique : inventaire des espèces dans un endroit donné.
Bilan : un écosystème est formé par une communauté c’êtres vivants (biocénose) en interactions entre eux et avec leurs milieux de vie.
Le milieu, appelé biotope est défini par l’ensemble des paramètres physico-chimiques (conditions abiotiques)
ils influencent la composition et la répartition de la communauté des êtres vivants.
- Les interactions entre êtres vivants au sein des écosystèmes :
Interaction biotique : c’est la relation entretenue par au moins 2 organismes
Interaction symétrique : les 2 êtres vivants tirent un bénéfice de l’interaction
Interactions asymétrique : l’interaction se fait au détriment de l’un des deux êtres vivants (l’un est favorisé, l’autre est exploité ou désavantagé)
La symbiose : c’est une association à bénéfices réciproques entre deux êtres vivants.
Bilan : les êtres vivants d’un écosystème sont en interaction. Ces interactions peuvent s’analyser en termes de compétition (lumière, eau, nutriments), d’exploitation (prédation, parasitisme) ou de coopération (mutualisme, symbiose). Ces interactions déterminent l’organisation de l’écosystème, son fonctionnement et son dynamisme.
- Les flux de matière au sein d’un écosystème :
Un réseau trophique : c’est un ensemble de chaines alimentaires re liées entre elles au sein d’un écosystème.
Bilan : les êtres vivants de l’écosystème appartiennent à différents niveaux trophiques :
-les producteurs primaires : (arbres) utilisent l’énergie lumineuse pour transformer la matière minérale en matière organique grâce à la photosynthèse
-les consommateurs : se nourrissent de matière organique et dépendent donc de producteurs.
-les décomposeurs : sont des consommateurs qui ont un rôle particulier en transformant la matière organique morte en matière minérale
Un réseau trophique regroupe l’ensemble des relations entre les individus d’un écosystème. Il correspond à des chaines de circulation d’énergie et de matière au sein de la biocénose.
B) les flux de carbone dans l’écosystème forment un cycle :
Flux de matière : transfert de matière d’un compartiment à l’autre de l’écosystème.
Réservoir : compartiment ou est stocké l’élément chimique pendant un temps plus ou moins long.
Biomasse : masse totale des organismes vivants présents sur une surface donnée.
Puits de carbone : réservoir naturel qui stocke le carbone.
Cycle biogéochimique : processus de transport et de transformation, cyclique d’un élément chimique à l’échelle de la Terre.
Bilan : Le cycle du carbone dans l’écosystème comprend les flux de matière organiques circulant d’un niveau trophique à l’autre.
L’entrée du carbone dans l’écosystème est due à l’accumulation du CO² par les végétaux grâce à la photosynthèse. Le carbone ressort de l’écosystème sous forme de CO² du fait de la respiration des êtres vivants.
Les forets sont des puits et des réservoirs importants de CO² grâce à sa fonction photosynthétique.
Les écosystèmes forestiers participent également au cycle de l’eau, notamment du fait de l’importance de la respiration foliaire.
L’effet des écosystèmes dans les cycles des éléments géochimiques se mesure par des bilans entrées/sortie de matière.
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