L'athérosclérose, une maladie cardiovasculaire
Étude de cas : L'athérosclérose, une maladie cardiovasculaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jayhajar00 • 29 Avril 2019 • Étude de cas • 407 Mots (2 Pages) • 513 Vues
Une maladie cardiovasculaire: L’ATHÉROSCLÉROSE
Les maladies cardiovasculaires telles que l’athérosclérose, sont considérées comme mortelles. Nous allons nous intéresser au développement de l’athérosclérose. De quels facteurs la maladie dépend-elle?
D’après le document 1 et 2, on observe que la maladie athérosclérose se caractérise par un dépôt de cholestérol. Cela favorise la formation des plaques d’athérome constituées de lipides. Les lipides sont formés d’acides gras saturés issus des graisses animales et végétales hydrogénées comme l’huile de palme. Selon le graphique du document 2, l’apport énergétique alimentaire de 10% d’acides gras saturés provoque environ 150 cas de mortalité (pour 10 ans et 10000 Hommes). Puis pour un apport de 19% d’acides gras saturés on a 300 cas de mortalité. On en déduit que cela affecte également le fonctionnement de l’organisme. En effet ces plaques altèrent la circulation sanguine. Sur la vue en coupe au microscope du document 1, les plaques deviennent épaisses, cela explique l’infarctus du myocarde. Le document 3 est un histogramme. Il nous montre le risque relatif d’athérosclérose en fonction des allèles e2, e3, e4 du gène APOE. Le gène apolipoprotéine E est chargé du transport du cholestérol dans le sang. On observe que par rapport à l’allèle e3 (allèle de référence), l’allèle e2 présente un risque relatif de 0,58, soit 0,02 de différence. Au contraire, on observe que l’allèle e4 présente un risque relatif de 1,18 soit 0,18 de différence par rapport à l’allèle de référence. Cela explique l’influence du facteur génétique sur le développement de la maladie coronaire. Le document 4 est un tableau. Il présente le risque de développer l’athérosclérose en fonction du régime alimentaire riche en graisses et celui pauvre en graisses. On observe que chez un individu ayant l’allèle e2 ou e4 le risque relatif dépend du régime alimentaire suivi. En effet, pour l’allèle e2 on a 0,38 pour un régime alimentaire pauvre en graisses et 0,82 pour un régime alimentaire riche en graisses. Puis pour l’allèle e4 on a 1,11 pour un régime alimentaire pauvre en graisses et 1,28 pour un régime alimentaire riche en graisses. On en déduit que le régime alimentaire peut favoriser le développement de la maladie cardiovasculaires.
Pour conclure, nous avons démontré que les facteurs génétique liés à l’apolipoprotéine E et les facteurs liés au mode de vie tel que le régime alimentaire favorisent le développement de la maladie.
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