Des critères morpho-anatomiques pour définir une espèce
Analyse sectorielle : Des critères morpho-anatomiques pour définir une espèce. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 3 Février 2014 • Analyse sectorielle • 751 Mots (4 Pages) • 994 Vues
I. Des critères morpho-anatomiques pour définir une espèce
A. Ressemblance morphologique
D'après les documents fournis pour définir une espèce, on remarque que trois scientifiques donnent chacun d'eux une définition précise de la notion « d'espèce ».
Cependant si Darwin admet qu'une espèce est un ensemble d'individus se ressemblant beaucoup, pour Buffon il n'en est pas de même.
En effet ce scientifique remarque que si la barbet (race de chien) et que le lévrier ne se ressemblent pas, ils peuvent produire des individus pouvant eux même se reproduire. Tandis que si le cheval et l'âne ont une morphologique plus ou moins commune, leur descendant seront stériles.
Tandis que pour Darwin, une espèce est un groupement d'individus se ressemblent beaucoup.
Ainsi on peut en déduire que la notion de Darwin, est incompatible avec les observations de Buffon.
B. Des mesures crâniennes
A partir du document fourni et du logiciel «Hominines », on se propose de mesurer l'angle facial ainsi que le rapport Hauteur/Longueur des différents crânes sélectionnés par le logiciel, ainsi que de démontrer l'importance de ces résultats afin de déterminer une espèce fossile.
Par définition, une espéce fossile est une espéce éteinte, qui a donné naissance à une espéce actuel. Pour le déterminer, on a mesuré le rapport Hauteur/Longueur sur différents crânes fossiles ou non, ayant tous plusieurs milliers d'années d'écart , et appartenant tous au genre homo. On obtient alors comme résultats :
Crânes fossiles et actuels
Calcul des distances rapport H/L
Calcul des angles
Homo habillis
7,27/11.7 = 0 ,62 cm
68,65 °C
Homo erectus
6,98/13,4= 0,52 cm
82,635 °C
Homo neanderthalensis
9,16/15,7= 0,58 cm
77,978 °C
Homo Sapiens
10,6/17,4 = 0,60 cm
82,310 °C
Australopithecus
7,96/ 13,5 = 0,58 cm
52,748 °C
On remarque alors que les espèces du genre homo présentent des caractères dérivés craniens marqués notamment par une augmentation du volume crânien ainsi que d'une réduction de la face. On peut alors en déduire que l'espèce (hominés) du genre Homo montre une augmentation du volume crânien au cours du temps, qui serait liée au développement célébral. Enfin, pour confirmer notre hypothése, nous nous sommes basés sur les résultats statistiques de chercheurs.
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