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Les Mathématiques Chinoises (206 av JC- 220 ap JC)

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Par   •  2 Octobre 2017  •  Cours  •  387 Mots (2 Pages)  •  677 Vues

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Les Mathématiques Chinoises (206 av JC- 220 ap JC)

I – Une architecture reposant sur l'utilisation d'instruments spécifiques

A – Des constructions fidèles à leur dynastie

Cinq dynasties chinoises portent le nom de Han : les Han occidentaux ou Han antérieurs (206 av. J.-C.- 8 ap. J.-C.), les Han orientaux ou Han postérieurs (25-220), les Han du pays de Chou (221-264), la petite dynastie Han ou Han postérieurs (936-950), les Han du Nord (951-979).

B – La Chine, détentrice d'instruments intrinsèques

II – Les mathématiques au coeur de la vie impériale

A – La contribution de nombreux mathématiciens

Zhang Heng (78 ap. JC / 139 ap. JC) : domaine de recherche = mathématiques, sismographie, hydraulique, géographie, ethnographie, ingénierie, mécanique, calendrier, métaphysique, poésie. Il a inventé la première sphère armillaire fonctionnant à l'énergie hydraulique, le premier sismomètre au monde. Il améliora les calculs chinois précédents de la formule de pi.

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Liu Xin ( -100 av JC / -23 av JC ) : mathématicien, archiviste, historien, astronome, philosophe. Il améliore les approximations de pi.

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Jing Fang (-78 av JC / -36 av JC) : Il était un théoricien de la musique, mathématicien et astrologue chinois. Un livre sur la divination Yijing lui est attribué ; il décrit la méthode najia d'inter-prétation des hexagrammes.[pic 7][pic 8]

B – Dans le développement de nouvelles formules

Les connaissances sur les mathématiques chinoises proviennent principalement du manuscrit de Jiǔzhāng Suànshù ou Les neuf chapitres sur l'art mathématique.

Les Chinois ont développé des méthodes de calcul et de démonstration:

 -arithmétique,

-fractions,

-extraction des racines carrées et cubiques,

-calcul de l'aire du disque,

-volume de la pyramide et méthode du pivot de Gauss.

On trouve, sur des os d'animaux (moutons;boeufs), des gravures indiquant qu'ils utilisaient un système décimal positionnel : numération chinoise.

Ils sont aussi à l'origine d'abaques, tables de calcul simplifiant les calculs, les aidant à calculer.

Les mathématiques chinoises sont principalement tournées vers les calculs utilitaires. Elles se développent ensuite de manière propre entre le Ier et le VIIesiècle.

III – Un savoir universel mais limité

A – Des échanges à travers le globe 

L’histoire des mathématiques s'étend dans de nombreuses régions du globe allant de la Chine à l’Amérique centrale.

Le développement des mathématiques s’effectue de façon divisée dans différents endroits du globe, jusqu'au XVIIe siècle.

B – Des connaissances limitées

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