Analyse économique, managériale et juridique des services informatiques
Étude de cas : Analyse économique, managériale et juridique des services informatiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Zoubi45 • 1 Juin 2017 • Étude de cas • 1 031 Mots (5 Pages) • 957 Vues
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BTS Services informatiques aux organisations 1re année
Analyse économique, managériale et juridique
des services informatiques
Devoir 1
Barème
Première partie : 10 points
Deuxième partie : 10 points
Première partie : exploitation de documents à caractère
économique, juridique ou managérial
Question 1 (1,5 point)
Le choix opté par l’entreprise de licencier le salarié plutôt que de le former est un choix stratégique et financier.
L’évolution des outils dans ce domaine est telle, que les exigences en matière de formation ne pourraient plus
suivre, les coûts de formation seraient si importants que l’entreprise se verrait dans l’obligation « d’amputer ses
marges ». Choix difficilement envisageable. Il est donc plus facile de prendre la décision de licencier les
informaticiens qu’elle ne peut plus placer.
Question 2 (2 points)
La multiplication du turn-over dans le marché informatique est un facteur de risque potentiel, en effet
l’externalisation des services (offshore) s’est multipliée entraînant la précarisation des salariés.
Le profil des salariés recrutés constitue un autre risque pour le marché informatique. Ces derniers sont recrutés
avec un profil spécifique qui parfois ne répond plus aux besoins des organisations. Les informaticiens sont évincés
afin de laisser leur place à d’autres salariés aux compétences nouvelles.
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L’évolution technologique qui oblige « à mettre de côté » les anciens salariés à fortes valeurs ajoutées alors que
paradoxalement le secteur craint une pénurie liée à cette même évolution technologique.
Question 3 (3,5 points)
Nous pouvons proposer la définition suivante : « société où l’information occupe une place prépondérante ; où les
domaines économiques sont liés à l’utilisation des savoirs, des connaissances et des technologies nouvelles d’où
l’émergence d’une économie immatérielle qu’est l’économie de l’information ».
L’économie de l’information est donc née du développement de la science et de la technologie, elle intègre donc
les éléments tels que la recherche & développement, l’éducation, l’informatique et les médias.
Produire de l’information nécessite un coût fixe, élevé, au départ, mais qui va permettre par la suite une
reproduction à un coût relativement faible. En effet, une fois le bien informationnel créé, sa duplication est réduite à
des coûts très faibles. L’intérêt de produire en grande quantité permet la réalisation d’économe d’échelle à savoir
augmentation de la quantité produite permettant de réduire les coûts unitaires grâce à une meilleure répartition des
coûts fixes.
« L’économie de l’information induit la numérisation et la reproduction à l’infini : la digital économy.
Question 4 (1,5 point)
En intégrant la gestion des noms de domaine dans le cadre de la loi, le législateur permet ainsi de fournir un cadre
juridique à la fois obligatoire : (sanctions éventuelles en cas de non respect « nul n’est censé ignoré la loi ») et un
cadre protecteur (protection des libertés d’expression et des droits individuels).
Question 5 (1,5 point)
La protection constitutionnelle de la liberté de communication et d’expression s’applique à internet compte tenu du
rôle croissant que joue ce média dans l’accès du citoyen à l’information, « eu égard au développement généralisé
des services de communication au public en ligne ». En effet, la liberté d’expression a été démultipliée grâce aux
nouvelles technologies (blogs, forums de discussion… ce sont autant d’outils permettant d’exercer la liberté
d’expression et d’échanges qu’il est donc nécessaire de donner un cadre juridique.
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