L’émergence de l'anthropologie en Grande-Bretagne
TD : L’émergence de l'anthropologie en Grande-Bretagne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hadyass • 5 Mars 2017 • TD • 1 542 Mots (7 Pages) • 1 009 Vues
Résumé
Ce texte est un article qui s’intitule « L’anthropologie de la Grande-Bretagne : Une discipline en plein essor » est écrit par plusieurs chercheurs dont Sophie Chevalier professeur à l’université de Franche-Comté, Jeannette Edwards professeur à l’université de Manchester, et Sharon Macdonald professeur à l’université de Manchester. Cet article met en valeur l’émergence de l’anthropologie en Grande-Bretagne. En effet l’anthropologie à pu rattraper son retard grâce aux travaux menés par les chercheurs, les étudiants et les associations en Grande-Bretagne. Plusieurs investigations ont étaient faites en Grande-Bretagne dans des unités sociales de faible et moyen ampleur à partir desquelles ont tente d’élaborer une analyse de portée plus générale, appréhendant d’un certain point de vue la totalité de la société ou ces unités s’insèrent.
Partie 1 : L’émergence de l'anthropologie en Grande-Bretagne
Nous apprenons le développement de la discipline « Anthropologie » en Grande-Bretagne. En effet la Grande-Bretagne est la mère fondatrice de l’anthropologie est pourtant il a des retard considérable par rapport à la France et les Etats-Unis. La Grande-Bretagne va tout de même rattraper son retard, l’Anthropologie devient même une discipline en plein essor qui est privilégié par des groupes d’association et de chercheurs. De même plusieurs associations, chercheuses, et étudiantes choisissent la Grande-Bretagne pour mener des enquêtes exploratoires. Ainsi plusieurs enquêtes exploratoires seront mener dans des divers lieux, le village et les petites villes ne prédominent plus. L’anthropologie va prendre une ampleur en Grande-Bretagne. Des ouvrages vont être publiés pour mettre en valeurs les travaux des enquêteurs.
Les raisons du retard de l’anthropologie de la grande Bretagne s’expliquent le fait que l’anthropologie sociale cherche à se différencier à l’ethnologie folklore. Comme on nous l’explique dans le deuxième paragraphe du page 198, « les folkloristes britanniques s’intéressent essentiellement à leur pays « tandis que les Anthropologue sociale « réagi en privilégiant les destinations lointaines à l’étranger ». L’anthropologie sociale se focalise uniquement sur les recherches menées dans les colonies. En effet les anthropologues étaient considérés comme des traducteurs car ils étaient les seuls à étudier en profondeurs les cultures, traditions et langages des colonies. Plusieurs sociologues ont réagies face à cette différentiation, notamment Perry Anderson. Selon lui l’anthropologie sociale est « utile pour l’administration coloniale et sans danger pour les préjugés des britanniques, la discipline n’a pu se développer dans ce pays qu’à ces deux conditions ».
Dans les années 1960, l’anthropologie cherchent également à se différencier de la sociologie qui est encore nouvelle en Grande-Bretagne, et pour cela il choisie des méthodes purement ethnographique. Cette différentiation n’est pas considérer comme primordiale, car plusieurs chercheurs combines avec les deux disciplines comme R.Frankenberg. De même les anthropologues sociaux n’hésitent pas à occuper des postes crées pour des sociologues qui sont resté vacants par manque de candidats qualifiés. Ses différentiations ont était en court terme, chaque discipline à trouvé sa place en Grande-Bretagne. Nous verrons dans les années 1950, plusieurs études qui seront publiées, et qui sont en collaborations avec plusieurs matières par exemple : l’anthropologie travaille avec la géographie, sociologie, psychologie. L’ensemble des ces disciplines est la Science Humaine et Sociale.
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