Des humains et des villes

On va se demander en quoi et pourquoi la ville est un objet sociologie ? Qu’est ce qu’on etudie quand on étudie la sociologie urbaine ?

Il a beaucoup de phénomène qu’on peut qualifier d’urbain : la question des transports, des types de maison/appartement/habitat, le réseau de nouvelle technologies d’internet, phénomène de sans domicile fixe, le bruit..

En quoi la sociologie nous donne des outils pour étudier la vie urbaine?

Est ce qu’il a une spécificité du monde de vie en ville, est ce que l’être humain se comporte de la même manière en ville qu’en campagne (Wirth Simmel)

Ou bien c’est pas très différent

Est ce qu’il a une spécifié des très grandes villes (mégapoles) ?

1. Des humains et des villes

1. Géographie et démographie

La sociologie urbaine n’existerai pas dans la géographie et la démographie, c’est des disciplines sur lesquelles on s’appuie beaucoup car on utilise souvent des carets, des cartographie pour étudier les phénomène s de déplacement, de mobilité (domicile, travail), on va aussi voir quels classes social habite la ville, étudier la composition sociologique de la ville par zones/aire/territoire.

En démographie on utilise beaucoup les données de l’Insee, et nous fournit des statistiques et par territoire.

La sociologie urbaine est née en même temps a peu près que la sociologie, la sociologie urbaine (née au début du 20e) se développe en même temps que le grand bouleversement de la société, c’est le passage d’un monde rural a un monde urbain.

1. 1850-2000 : de la france rural a la france urbaine

En 1850 on avait une pop rural de 75% et urbaine de 25%.

En 1900: 40% de population rural et 60% de la population était urbaine.

En 1930 : moitié moitié (50% de chaque).

En 1960 : 60 % rural et 40 % urbaine.

En 2000 : un peu moins 20% rural et plus de 80% urbain.

Ce phénomène c’est l’exode rural, c’est le mouvement migratoire interne a un territoire qui se traduit par la diminution de la population qui habite dans des communes rurales liée a des activités artisanales; commerçante et agricole

Il a une croissance de la pop urbaine qui est elle attirée par des emplois industriels ou du secteur tertiaire(service de l’enseignement)

Ce phénomène urbain est pas que français ça concerne toute la planète, l’ONU dit la population représente 50% de la pop mondiale est urbaine  contre 33% en 1950, ce qui est le plus impressionnant c’est l’essor des grandes agglomération(énorme ville) qui dépasse le million d’habitant (0 métropole au 19e siècle, 16 en 1900 beaucoup situés au EU, et aujourd’hui il en a plus de 250 et beaucoup dans les pays du sud comme chine, inde, Amérique latine)

On se demande quelles sont les réalités derrières ces chiffres? Ce qui va être intéressant en sociologie urbaine c’est de comprendre ces chiffres et de se demander si ces chiffres sont comparables ?

La notion de ville est difficile a définir avec précision, il y a des débats sur la définition d’une ville et de sa délimitation

1er critère pour dire qu’on est en ville : nombre d’habitant (critère de population)

Le problème c’est que c’est très variable entre les pays, au Danemark on va dire que ‘est une ville a partir de 250 habitants ou en Egypte on dit que c’est a partir de 10/11 milles qu’on est en ville.

2e critère : densité de la population : c’est le nombre d’habitant / km2

La densité dépend de la hauteur des habitations et si il a des espaces verts ou pas (comme a new York, si il a beaucoup d’espace verte il a moins de densité et si pas beaucoup il a plus de densité), elle ne prend en compte que le nombre d’habitant qui habite dans la ville mais aussi la pop qui travaille dans la ville

L’INSEE depuis les années 1960 retient deux critères pour étudier, mesurer les villes en plus des critères du nombre d’habitants

1er : continuité du bâti, c’est une zone bâti (construite) d’au moins 2000 habitants ou les constructions sont séparés d’au moins 200mètres

2e : zone d’influence du territoire, c’est quelques choses qui se calcul selon le nombre d’emplois dans la zone et surtout la zone d’influence veut dire qu’il est beaucoup der personne qui viennent travailler dans cette ville

2) délimiter la ville, l’exemple des aires urbaines de l’INSEE

Le zonage en aire urbaine de l’Insee se base sur cette question de la continuité du abri et zone d’influence, ce zonage a été mis au point en 2010, l’objectif est d’avoir une vision générale sur un territoire et on va regarder les aires d’influence des villes sur le territoire (on va beaucoup regarder déplacement domicile travail)

La première étape est de distinguer quels sont les pôles urbains :

Les pôles urbains ce sont des aires urbaines constituées de plus de 1500 emplois

3 pôles : petit pôles : entre 1500 emplois et 5000 emplois

           moyens pôles : entre 5000 et 10000 emplois

           grands pôles : supérieur à 10000 emplois

On va définir lex couronnes de ces pôles, c’est l’ensemble des communes ou des unités urbaines (aires urbaines) dont au moins 40% des actifs résidents  travaillent dans le pôle

L’ensemble des pôles et des couronnes on appelle ça une aire urbaine

Certaines communes ne sont pas attirées par un seule pole mais par plusieurs.L’ensemble des communes ou unités urbaines qui sont attirés par plusieurs aires on appelle ça les communes ou les aires multipolarisées des grandes aires (au moins 40% des actifs résidents travaillent dans plusieurs grandes aires)

Pour l’INSEE, l’espace péri urbain c’est l’ensemble constitués par les couronnes  des grandes pôles urbain et les communes multipolarisées

Il reste encore des communes qui ne sont pas attirées par les communes multipolarisées, ce sont des communes isolées hors influence des pôles.

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