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Macroéconomie et équilibre macroéconomique

Étude de cas : Macroéconomie et équilibre macroéconomique. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Décembre 2014  •  Étude de cas  •  1 511 Mots (7 Pages)  •  578 Vues

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Chapitre 1 : La macroéconomie et les équilibres macroéconomiques.

Introduction :

• Les objectifs de la macroéconomie

Expliquer le fonctionnement de l’économie dans son ensemble au niveau d’un territoire national en essayant de comprendre quels sont les facteurs qui déterminent le niveau de production de richesse (PIB), ceux qui déterminent le niveau d’emplois (chômage) et ceux qui déterminent le niveau général des prix (inflation).

On va raisonner à l’aide d’Agrégats (outils de mesure qui agrège des données individuelles).

Elle a aussi pour objectif d’étudier et de comprendre les interactions entre ces différents agrégats.

I. Les principales problématiques économiques

A. La croissance et les cycles économiques

La croissance économique est l’augmentation continue de la richesse produite par un pays à moyen et long terme.

Les cycles économiques sont la variation dans la création de richesse qu’on mesure sur un court terme (délais de quelque mois).

On distingue trois types de cycles :

- expansion : accélération de l’activité économique, production de richesses.

- récession : ralentissement de l’activité économique.

- dépression : diminution de l’activité économique (taux de croissance négatif par rapport à l’année précédente).

La création de richesse (croissance) est fondamentale car c’est un facteur indispensable au développement d’une économie. C’est une condition sinequanone pour améliorer la qualité de vie des habitants d’un pays.

Le PIB est calculé en faisant la somme de valeurs dégagées par toutes les entreprises implanté sur un territoire. Taux de croissance du PIB est une variation du PIB sur deux années :

2013 : PIB : 2059 Mds €

2012 : PIB : 2032 Mds €

Augmentation de 1.3% à prix courants = PIB normal//Pib réel (à prix constants, chaînés).

PIB réel, on prend compte de l’inflation donc c’est plus significatif.

B. Chômage

Partie de la population active qui peut et qui souhaite travailler mais qui ne trouve pas d’emplois. On sous-utilise notre main d’œuvre.

tx de chômage = nombre de chômeurs/population active.

2013 : nombre de chômeurs : 2 800 000.

tx chomage : 10,2%

C. Inflation

C’est l’augmentation durable et généralisé du niveau des prix.

 Baisse du pouvoir d’achat.

Taux d’inflation = taux de variation de l’IPC (indice des prix à la consommation, panier moyens de biens).

2013 : taux d’inflation : 0,9%

II. Les équilibres macroéconomiques

A. Production national (sur le territoire) = revenu national

Comptablement, c’est tout ce qui est produit en termes de valeurs sur un territoire est systématiquement reversé sous forme de revenus.

Le PIB (Y) se retrouve sous formes de revenus :

- salaires, intérêts

- profit

B. Ressources = Emplois

La production est l’unique ressource (offre) des agents économiques sur le marché.

Eco fermée : P° = offre  Revenus  demande (consommation et investissements des ménages).

Eco ouverte : P° + M° (production importée) = C° (consommation) + I (investissement) + X° (demande étrangère).

Tout ce qui est offert est forcément demandé.

III. Théories et modèles macroéconomiques

A. Les controverses théoriques

Les économistes s’interrogent sur les causes d’un déséquilibre et de proposer des solutions.

Le problème est qu’il y a différents courants de pensée qui ne considère pas les mêmes hypothèses de départ.

Opposition entre les économistes keynésiens et néoclassiques :

Les keynésiens pensent qu’on ne peut pas faire totalement confiance au marché, et il faut donc une intervention ponctuelle de l’Etat.

Les néoclassiques font confiance au marché, pour eux il est autorégulateur.

A court terme, l’économie fonctionne comme le disait KEYNES, c’est la demande qui fait varier le marché.

Pour le moyen et long terme, il faut favoriser le coté offre du marché.

C’est la synthèse néoclassique fondé par Paul SAMUELSON en 1970.

CT : keynésiens : demande  croissance PIB

LT : néoclassique : offre  croissance PIB

C’est le modèle OG-DG.

B. Le modèle OG-DG (offre globale-demande globale)

C’est une vision simplifiée de la réalité.

1. Le fonctionnement de l’économie à CT : l’importance de la DG et l’analyse keynésienne

Pour eux, le niveau de l’activité économique est déterminé par le coté demande du marché, l’offre ne fait que s’ajuster a posteriori. C’est la demande qui entraine un niveau de PIB.

On part d’une hypothèse que les prix et les salaires sont fixes.

Les entreprises vont anticiper le niveau de la demande et ajuster le niveau de production. Ce niveau de demande anticipée s’appelle la demande effective.

Le niveau de production implique le niveau de main d’œuvre

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