Le PIB Artisan Du Bonheur

D’après Simon KUZNETS, la croissance économique d’un pays peut être définie comme une hausse de longue période de sa capacité à offrir a sa population une gamme sans cesse élargie de biens économiques. C’est donc l’accroissement quantitatif du produit intérieur brut (PIB) globale d’un pays. Le rythme de la croissance peut être plus ou moins élevé et des chocs économiques peuvent même déclencher des récessions. Cette croissance peut être un indicateur de bonheur car elle permet d’apporter des externalités positives mais aussi des externalités négatives. Ainsi lorsque l’on calcul le taux de croissance d’un pays il varie selon le PIB se qui entraine une différence entre les pays. Certains sont appelé pays en voie de développement (PED) d’autre Pays développer et les Pays moins avancés (PMA). Nous allons donc voir dans un premier temps qu’est ce que la croissance économique ? Puis nous verrons dans quelle mesure le PIB est un indicateur de bonheur ?

I) Qu’est ce que la croissance économique ?

a) La mesure de la croissance

La croissance économique se mesure grâce au PIB qui est égale à la somme des valeurs ajoutées (VA) des différentes branches de l’économie réalisée par les entreprises qui résident dans le pays auquel s’ajoutent la TVA et les droits de douanes :

∑VA + TVA + droits de douane

Ainsi si le taux de croissance du PIB de cette année est inferieur au PIB de l’année d’avant, le taux de croissance est considéré comme négatif c’est donc une décroissance. Si le taux de croissance chute brusquement en dessous de zéro on dit que le pays entre en récession. Au contraire si le taux de croissance de cette année est supérieur à celui de l’année précédente on dit qu’en période de croissance.

b) l’évolution de la croissance en France

 dans les année 1950 jusqu’au années 1973, la croissance du PIB en France était très élevé : 8.5% en 1950 dû aux 30 glorieuses ( terme inventé par Jean Fourastié) qui est caractériser par une forte croissance économique, le plein emploi, l'accroissement rapide du pouvoir d'achat et l'essor de la consommation de masse.

 Mais depuis l’année 1980 le PIB de la France a chuté : 1.6% dû au premier choc pétrolier un forte hausse des prix. La France a été marquée par un ralentissement de l'investissement productif. Les entreprises ont subi des baisses de productivité compte tenu de la réduction des financements et de l'augmentation des charges, du fait de la hausse des prix des matières premières, des coûts salariaux et sociaux.

 A partir de l’an 2000 la croissance économique est renouée. L'inflation a été maintenue à un niveau bas. Grâce à la relance de l'investissement et de la consommation, la confiance des ménages a été retrouvée.

 A partir de l’année 2008 la croissance diminue du a la crise économique du a de nombreux crédits accordés par les banques aux états unis.

En France, elle démarre à la fin de 2008 après l’aggravation de la crise financière mondiale (faillite de Lehmann Brother).

 Pour finir en 2011 la France a mieux résisté que les autres du a sa bonne tenue au premier semestre. La PIB à augmenter mais pas suffisamment. Cela est du a une perte de compétitivité. La consommation des ménages a également augmenté malgré une forte hausse de l’épargne.

c) La contribution des secteurs économiques a la croissance.

On remarque entre les années 50 et 2010 que Le secteur tertiaire qui englobe les services marchands et administratifs contribue au ¾ de la richesse créée. En effet en 1950, le secteur tertiaire était représenté à 9.2 de la production contre 1 774.3 en 2010. On parle de tertiarisation de l’économie. Toutes les autres branches on également augmentée mais moins que le secteur tertiaire. Par exemple

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