Le PIB, Artisan Du Bonheur ?
Compte Rendu : Le PIB, Artisan Du Bonheur ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MELY67 • 17 Juillet 2014 • 319 Mots (2 Pages) • 1 019 Vues
Depuis la Seconde Guerre Mondiale, une nation est dite riche si elle produit et si elle vend et que le résultat de ces échanges est important.
Le bonheur est souvent dit économique et matérielet il n’est rendu possible que grâce à la croissance économique. Cette croissance est mesurée par le PIB.
Pourtant, ce dernier indicateur de richesse est sujet à beaucoup de critiques quis’accompagnent donc de la proposition de nouveaux indicateurs. Il est en effet mieux de voir plus loin que la seule richesse économique à travers ces nouvelles mesures.
Nous nous demanderons alorsquel a été le rôle du PIB en France et quelle dans quelle mesure il agit sur le bonheur.
La richesse d’une nation est mesurée grâce à un indicateur, le PIB. Le produit intérieur brutreprésente la valeur ajoutée totale des biens et services produits sur un territoire national pour une année donnée. C’est un indicateur qui s’est généralisé à travers le monde et qui permet l’évolution dela croissance d’une nation au fil des année mais il permet aussi de comparer les différents territoires au niveau de leur richesse.
Depuis 182O, le PIB en France a connu une croissanceexponentielle grâce à l’apparition de l’industrialisation. Depuis le Seconde Guerre Mondiale, le PIB progresse avec une constante de 1,5% en moyenne annuelle. Cependant la France a connu une crise grave en2009, lui faisant atteindre une chute record de son PIB de 2,7% en 2009 par rapport à 2008. En 2010, l’économie se relance doucement mais sûrement avec une augmentation de 2,3% du PIB par rapport à 2009.Une PIB qui a mieux résisté à la crise, vu que la France se situe en 2ème position au niveau de la croissance des pays industrialisés avec une hausse de 1,7% en 2011, tous les autres pays subissanttoujours les conséquences des dettes de la crise. On a notamment pu observer des tendances durant ces dernières années comme une baisse de la consommation des ménages qui décident d’épargner plus
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