Des Frontières à Franchir
Rapports de Stage : Des Frontières à Franchir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tam111 • 9 Mai 2014 • 1 607 Mots (7 Pages) • 936 Vues
Des frontières à franchir
Ce texte parle d’une femme Américaine d’origine mexicaine, du nom Angelica Garza qui travaille depuis dix ans dans une firme multinationale qui fabrique des produits médicaux.. En effet,les gestionnaires ont décidé d'instaurer leurs firmes dans les zones frontalières des êtas-unis afin << de pouvoir profiter de la main d'œuvre bon marche >>. Ainsi,La firme en question dans ce texte est une multinationale qui se situe dans une grande ville mexicaine appelée Tijuana.
Il faut noter qu'Angelica a quitté les États-Unis pour aller travailler au Mexique. Ceci n'a pas été facile pour elle, car la culture organisationnelle des différentes firmes ne sont pas les mêmes. Ainsi, elle a eu de la difficulté à s'intégrer mais ce qui l'a aidé c'est le fait qu'elle soit d'origine mexicaine, qu'elle connaisse leurs valeurs et le fait qu'elle parle la langue espagnole.
Angelica est étonnée de la situation dans laquelle elle se trouve. Elle n’est pas capable de comprendre beaucoup de choses. Les dirigeants de USMED croient que les américains d’origine mexicains peuvent mieux comprendre la culture mexicaine et peuvent mieux travailler avec eux. Ce qui n'est pas le cas. Les conflits entre Angelica et les Mexicaines persistent durant tout son mandat de travail. Elle n'a pas réussi à communiquer ses valeurs avec les mexicains. Elle a essayer de comprendre leur opinion, valeur et culture.Elle a fait face à un mur d'incompréhension parce que la culture mexicaine est inconnue pour elle. Depuis son enfance, elle a habité aux États-Unis et par conséquent, elle a oublié la culture de sa vie natale. Involontairement, Garza a été plongée dans ces nouvelles valeurs, inconnues auparavant pour elle. De plus, elle n'arrive pas a se débrouiller parce qu'elle est baignée dans une civilisation opposée à la sienne.
IL faut aussi noter qu'Angelica n'a pas été acceptée par les mexicains car ils la considéraient comme une américaine et ils se disaient qu'elle avait des avantages économiques comparant à eux .c'est ainsi qu'il est dit dans le texte << étant donnée son statut d'americaine, les Mexicains éprouvaient pour elle des sentiments ambigües ou se mêlaient l'incompréhension et ressentiment, alors que l'organisation américaine ne lui offrait guère de soutien >>. Alors, ils lui parlaient presque pas et n'avaient pas montré beaucoup de compréhension à son égard . De plus, Le second problème qui se posait était le fait qu'elle soit une femme ce qui ne l'a pas aidé étant donné qu'il existait beaucoup de préjugés envers ces dernières : << d'autres part, ce n'est pas facile d'être la seule femme dans un environnement et parmi des réseaux constitués que d'hommes. A cela s'ajoutait le milieu mexicain, et les hommes à qui j'avait affaire me méprisait à cause de mon sexe. C'est encore mon statut d'americaine m'a sauvée >>. Le leadership que les femmes pratique à une orientation plus démocratique, donc plus égalitaire et enfin beaucoup moins dictatorial que celui des hommes. La différence entre ces deux leaders est que les femmes sont portées à gratifier les employés lorsque leur rendement est suprerieur. De l'autre côté, les femmes leaders sont opprimées de l'encouragement qu'un homme recevra en ayant la même qualification. Le futur des femmes leaders est très espérées ou assurer, de nos jours. De nombreuses femmes sont dévouées autant que leaders dans les pays industrialisées. Les recherches montrent que les femmes sont des très bons dirigeants d'entreprise et elles occupent beaucoup de postes de directeur déjà. Ce qui est dit est que la prédisposition est de plus en plus orientée vers le sexe féminin comme meneur pour développer l'organisation. Cette tendance n'est pas tout à fait développer dans les pays en développement comme au Mexique: << d'autre part, ce n'était pas facile d'être la seule femme dans un environnement et parmi des réseaux constitués uniquement d'hommes. A cela s'ajoutait le milieu mexicain, et les hommes avec qui j'avais affaire me méprisaient à cause de mon sexe. C'est encore mon statut d'Americaine qui m'a sauvée. Si j'avais été Mexicaine, je crois que cela aurais été pire. Par exemple, j'avais à travailler en étroite relation avec un mexicain avec le chef du service de la comptabilité, un Mexicain. Je l'entends encore me répéter que je m'étais tromper dans mes chiffres, que je n'avais pas fait cela comme il fallait et autres gentillesses>>. Nos vertus influencent nos manières d'être qui sont formées par notre entourage socioculturel tel que sont nos amis, nos professeurs et nos plus proches. De ce fait, la croyance que les américains sont de meilleurs dirigeants que les mexicains déterminent un sentiment d'infériorité ressenti par les femmes mexicaines. Ainsi, se sentiment négatif est une attitude. Ainsi, les attitudes déterminent des manifestations aux comportements. C'est ce sentiment ou ce comportement qui nous fait réagir. Ces manifestations peuvent être pris comme un ensemble de composante cognitif d'une attitude et constituer des opinions, croyances, savoirs ou ce que la personne connaît. Les croyances
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