Communication Des Organisations
Étude de cas : Communication Des Organisations. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mint • 22 Février 2015 • Étude de cas • 9 183 Mots (37 Pages) • 861 Vues
Table of Contents
LA COMMUNICATION EXTERNE 2
.4 L’approche technique 3
.II La définition de la communication des organisations 3
.1 Définition générale 3
.2 Les éléments constitutifs de cette communication 4
.I Les grands pôles de la communication des organisations 6
.1 En fonction du destinataire 6
.3 La remise en cause de la communication d’entreprise 9
.3 L’élargissement des discours de l’entreprise 10
.1 L’image de l’entreprise 11
.3 L’identité visuelle 12
.1 La communication publicitaire 13
.2 La communication institutionnelle 14
.2 Connaître la presse 17
.3 Les outils des relations Presse 18
.1 A qui s’adressent les relations publiques 19
.3 Les relations publiques en direction des publics éloignés 20
A) Le parrainage 20
B) L'évènement d'entreprise 21
.1 Motiver et fédérer 22
.1 Le responsable de la communication interne 23
.3 L’ensemble des salariés 24
.1 La communication descendante 24
.1 Les outils de la communication descendante 26
.2 Les outils de la communication ascendante 26
.3 Les outils de la communication interactive 27
La communication de crise 27
.I Les modalités de la crise 27
NOUVELLES TECHNOLOGIES ET ORGANISATIONS 29
A)Les collecticiels ou group ware 29
B) Le workflow ou gestion électronique de processus 30
C)Progiciel de gestion intégrée (ERP) 30
D)L'intranet et l'extranet 30
II) TIC et organisation: quelles articulations? 31
IV) Conclusion 31
L'administration électronique 32
LA COMMUNICATION EXTERNE
Séance 1 : La communication des organisations, concepts et définitions
Introduction : La communication un concept polysémique
.I Les pièges ou dérives de la communication
.1 La vision mécaniste
Développée par Channon Claude et Waren Weaver dans un ouvrage paru en 1949 « La théorie mathématique de la communication », cette vision fût présentée autour de cinq éléments :
la source de l’information
le transmetteur
le canal de transmission de l’information
le récepteur
le destinataire de l’information
Selon cette approche nous faisons la distinction entre le récepteur qui va décoder le message et le destinataire à qui l’information va profiter.
Ce schéma bien que mécaniste avait le grand mérite d’amener la réflexion sur le risque de dégradation du message lors de sa transmission. L’héritage majeur de cette école est le schéma des 5 w : qui ? dit quoi ? à qui ? quand ? et comment ? proposé par Lasswell Harold et appelé le « le paradigme des effets ». Il croyait en l’intentionnalité de toute la communication et développa un modèle qui sert autant de grille d’analyse que d’embryon de tout plan de communication.
Cette forme laisse peu de place à l’écoute et à l’interactivité (feed-back), l’émetteur serait actif et le récepteur passif. Nous sommes dans un unilatéralisme de la communication.
Cette vision de la communication est encore très présente en entreprise où le message est souvent conçu de manière ciblée.
.2 L’approche quantitative
La vision quantitative de la communication repose sur une définition de celle-ci en terme de flux elle est à la base de nombreuses stratégies de communication où l’objectif principal est conçu sur la base de la notoriété : il faut être vu, être présent donc il faut communiquer des messages.
Cela fût longtemps le crédo de nombreuses publicités basées sur les effets de répétition, mais reste largement présent autant dans les publicités actuelles que dans un certain type d’approche autour de réseaux internet selon lequel diffuser le plus d’information et si possible le plus rapidement permet de mieux communiquer et donc de mieux nous comprendre.
Dans cette approche communiquer plus signifie également de réduire au maximum les bruits parasites pouvant altérer la qualité de l’information diffusée. C’est la raison pour laquelle les deux maîtres mots sont transparence et réactivité, pour que la communication soit de qualité.
.3 L’approche holistique- tiep can toan dien
Il est important de bien s’apercevoir que le terme de « communication » nécessite toujours un objet. Le verbe est soit transitif « On communique quelque chose à quelqu’un » soit intransitif « On communique avec quelqu’un ». Or, progressivement le terme s’est imposé sans adjonction d’objet, comme si le fait-même de communiquer pouvait exister en soi. Chacun pourra faire le test. Il suffit de se rendre le soir à la sortie de n’importe quel type de bureaux ou d’usines et d’interroger les salariés sur les problèmes rencontrés dans leur organisation. Trois fois sur quatre en moyenne, la première réaction sera d’accuser le manque de communication : « On ne communique pas assez » et cela sous ses différentes variantes
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