Commerce Intra Et Interbranche
Mémoire : Commerce Intra Et Interbranche. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 7 Mars 2014 • 403 Mots (2 Pages) • 1 557 Vues
LANCASTER : les consommateurs ne demandent pas les biens pour eux- mêmes mais pour les services susceptibles d’être offerts par ces biens, pour les caractéristiques de ces biens.
Transposition de l’analyse au niveau international : les acheteurs achètent des produits étrangers à condition que les produits étrangers disposent de caractéristiques différentes de celles du produit d’origine.
Exemple : la France exporte des voitures de gamme moyenne et importe des voitures de luxe.
B) Les facteurs d’offre :
Les facteurs de demande n’expliquent pas tous les commerces intra- branche.
1) La division internationale des processus productifs (DIPP).
Elle a été développée dans les années 80.
Il y a DIPP dès lors qu’au moins l’un des composants entrant dans la fabrication d’un bien est produit dans un pays autre que celui où le bien est assemblé.
Traditionnellement, la DIPP caractérise la production de voitures.
La DIPP peut expliquer les échanges intra- branche dans la mesure où les composants sont importés par le pays qui fait l’assemblage sachant que ce pays va ensuite exporter des automobiles. Ce pays a bien réaliser un commerce intra- branche à partir du moment où les composants appartiennent à la même branche que celle dans laquelle les automobiles sont classées = niveau de désagrégation relativement faible.
Aujourd’hui, on considère que ces échanges sont plus des échanges intra- firmes que des échanges intra- branche (échange entre filiales de différentes F.M.N). Ces échangent intra- firmes prennent de l’importance et représenteraient entre 20 et 30% des échanges internationaux : secteur automobile, électronique, informatique…
2)La concurrence imparfaite.
Elle a été développSÙ entre la fin ‹es annéìv 80 et le débu des anƒ6es 90.
O’est0lù forme marché qui pe™øet d’e>5liquer les éch9ºges.
E‚£mple : les éco™mies dÌQchelle : l’aug:¯ntatioœëdes quantités .ïoduitez@entraî4e une bp<sse deå'coûts †nitaire[Vde proÕVctioÚ,Öce qui µ
gmenteÐzes pro1Åts.
L’\!onomie ui pro3
it le 'Òus estÇ a plus¿úompéti „ve.
Poɨ être §Ëmpétitýù, il f ót vendÜô à l’é 4anger k
ur augµ!nter sf5prodÉc ´on. Ma=v l’entÿ]prisò ÇLaura p¼ intérnq à p˜o" ire l’=<sembleW#es vóŸ:tés d’ q même œodui62¿¹où l’i=érêt d+Ñse sq›Ö˜aliserµeans laîïrodu»ãn de qÞ%lques á[riétºP ®ui ser§mt enVuõýe veÌ ä s à l’M@rangjrï/our ©^ 9oiter ¥Þ max$mï£ lesúÈDânomies'6’éch•I¬és.
C±Ð„ un éc Ðnge )•@ ype Ûÿša- braœhe pg+kuue l˜º(xntrepr„²es éG Ç gèreԇ˙nt ado@ er l¹àÄme r¡-Hnnem n8Ýet pô®í;ire j 3variªt„È non‚šZduit42Gar l` 'ys d¯¢±/part@ßqˆs co Ú]?mateÈßwÉy trgµ7 nt lpÄÃ!compl7–„augme|E¥tion`l}DleurÁ éÝn- êB÷ dan±J©é
...