Carrés magiques 2016
Étude de cas : Carrés magiques 2016. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gersal2000 • 2 Avril 2019 • Étude de cas • 1 821 Mots (8 Pages) • 395 Vues
Carré magique 2012
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La croissance économique
En cette année la croissance économique française est négligeable : en euros constants, le produit intérieur brut ne varie quasiment pas, après avoir crû de 1,7% et de 2,0% en 2010 et 2011 respectivement.
Les entreprises réduisent leurs investissements et leurs stocks. En 2012, l’investissement de l’ensemble de l’économie baisse . Cette diminution dans la consommation s’explique principalement a la baisse de l’investissement des entreprises non financières.
Les ménages diminuent leurs investissements, surtout dans le marché immobilier. Les administrations publiques sont aussi touchées leurs investissements cessent de croître en 2012, particulierement pour les bâtiments et travaux publics.
Le taux d’inflation
En moyenne par an, les prix ont augmenté de 2,0 % en 2012 après avoir profresé de 2,1 % en 2011. En laissant de cote le tabac , les prix à la consommation ont augmenté de 1,9 % entre 2012 et l’année précedante .2012 a été caractérisé par une forte augmentation des prix des produits alimentaires de 3,0 % en moyenne dans toute l’année. Même si l’évolution est encore forte les prix de l’énergie ont ralenti en moyenne annuelle ,5,2% par rapport a 12,3 % en 2011.Cette évolution est liée aux prix du pétrole.
Le taux de chômage
En 2012, on compte 2,8 millions de personnes au chômage au sens du BIT. Après avoir fortement augmenté lors de la crise des sub-primes , le chômage avait diminué en 2010 et en 2011. Cependant à partir du troisième trimestre de 2011, le chômage est reparti à la hausse. En 2012, en moyenne annuelle, le taux de chômage s’élève à 9,8% de la population active.
Le chômagewds2 progresse respectivement de 0,7 point et 0,5 point chez les 25-49 ans et les 50-64 ans, les jeunes d’entre 15-24 ans sont le plus touchés. En fin d’année 2012, plus d’un jeune actif sur quatre est sans emploi .
Le solde du commerce extérieur
Le déficit extérieur des biens et services en valeur, diminue en 2012 pour s’établir à 45,0 milliards d’euros (soit 2,2% du PIB).
Cette optimisation du solde extérieur de la France, s’explique par l’augmentation des exportations accompagnée d’une stabilité des importations.
Pour plusieurs produits manufacturés, la réduction du déficit s’explique principalement par une ammélioration performante à l’exportation, c’est le cas de l’aéronautique (livraisons d’Airbus) par exemple La réduction du déficit résulte surtout au ralentissement des importations.
Les exportations de la France diminuent en 2012, progressant de 2,4 % en volume, après un haut taux de 5,4 % en 2011 : ceci est due a une faible demande dans les pays de la zone Euro , mais restent dynamiques vers le reste du monde.
Les importations de la France baissent de 1,1 % en volume : elles pâtissent du recul de la demande intérieure, ainsi que du fort mouvement de réduction des stocks.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1288404
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1563699
Carré magique de l’année 2013
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La croissance économique:
Selon les données de l’INSEE, en 2013, le PIB français augment que de 0,3%. Il y a une augmentation de la consommation de la part des ménages après une baisse en 2012.Au contraire il y a une baisse des investissements, chose qui ne pasait pas depuis la crise de 2009, donc ceci entraine une baisse des dépenses de la part des entreprises et des ménages. Les investissements des entreprises non financières reculent aussi. En 2013, il y a aussi un recul dans la situation des sociétés non financières (SNF), leurs valeurs ajoutées se diminuent donc, leur excédent brut d’exploitation baisse donc leur taux de marge perd 0,9 points par rapport à 2012, mais après finit par se stabiliser à 29,7% .
Le taux de chômage
Selon l’INSEE en 2013, plus de 2,8 millions de personnes vivaient en chômage en France Métropolitaine. Comme on a déjà remarqué, le chômage part à la hausse de nouveau en 2012. En moyenne en 2013 le taux de chômage se stabilise à 9,8% de la population active étant âgés d’au moins 15 ans.
Pour analyser le taux de chômage il faut séparer les différentes catégories d’âge : de 15-24 ans : de 25-49 ans et de 50-64 ans.
Il y a une hausse légère dans le cas des jeunes âgés (15-24ans), seulement de 0,3 points. Contrairement en 2012, il décroit pour après raugmenter, jusqu’à se s’établir en 23,9%.D’une autre part, les personnes qui font partie de celle d’entre 25 à 49 ans ont un taux de chômage de 9,1%, et la classe la plus agée connait un taux de chômage seulement de 6,5%.
Carré magique de l’année 2014
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La croissance économique
En 2014, la croissance économique progresse que de 0,2% du PIB, selon l’Insee, ceci est du a l’augmentation du pouvoir d'achat lié à cause de la désinflation. Il y a une diminution de la croissance économique par rapport a l’année précedente, la croissance du PIB en 2013 était de 0,7%.
Il y a plusieurs facteurs qui résultent dans cette baisse de la croissance économique, comme par exemple une baisse de l’investissement mais aussi une balance commerciale négative.Malgré ceci il y a une augmentation du pouvoir d’achat, cette augmentation a été permise par la stabilité des prix entre autres facteurs comme la préstations sociales. En revanche, le recul de l'investissement est accentué
En 2014, l’investissement de l’économie en général est en déclin juste comme l’année précedente , il a reculé de 1,6% après avoir diminué de 0,8% en 2013.
Le taux d’inflation
Le taux d’inflation chute, il passe de 0,9% à 0,5% entre 2013 et 2014.
Les prix de l’énergie expliquent cette baisse. Un chiffre aussi bas est rappelle 2009 où les prix augmenten que de 0,1% en moyenne sur l’année. La déflation en France devient un risque réel.
Dans les produits alimentaires, il y a une chute des prix du blé (-19%) et du maïs (-21%). Du côté énergétique, la facture diminue également avec la baisse du cours du pétrole. Les prix du logement et de la santé diminuent de même.
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