Analyse du marché du chocolat au Japon puis au Brésil
Mémoires Gratuits : Analyse du marché du chocolat au Japon puis au Brésil. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 5 Novembre 2014 • 619 Mots (3 Pages) • 932 Vues
Étude pays du Japon puis du Brésil
Analyse du marché du chocolat au Japon puis au Brésil
Synthèse des opportunités et des menaces sur ces 2 marchés
Force et faiblesses de l’entreprise quant à sa capacité à attaquer ces marchés
Sélectionner un marché et présentez un positionnement ainsi que les grandes lignes du plan de marchéage que l’entreprise pourrait mettre en place.
Étude pays du Japon
Le Japon est aujourd’hui la troisième puissance économique mondiale derrière la Chine et le leader américain, les U.S.A. Avec un taux de croissance estimé à 1.5% pour l’année 2014, ce pays vient de traverser une période de récession liée à une crise de son modèle économique et des catastrophes naturelles.
(Principaux indicateurs économiques selon la COFACE)
C’est durant la crise économique internationale datant de 2008 que l’économie japonaise a commencé a perdre de sa superbe. Avec une économie en grande partie basée sur les exportations, le Japon a subi la baisse de régime de ses principaux partenaires. Cela signifie que le Japon est tributaire de l’état de santé de l’économie mondiale. Et ce n’est qu’avec la reprise de l’activité commerciale des U.S.A et de la Chine en particulier que l’économie japonaise a repris la marche avant.
En parallèle du ralentissement des exportations, l’autre conséquence du ralentissement de l’activité mondiale a été l’augmentation des prix à l’import. Et quand on sait que le Japon est une île important la plus grande partie de ses besoins, c’est la balance commerciale qui en pâti. Le gouvernement vient donc de lancer une politique de restriction budgétaire et monétaire. Il faut dire que la dette publique atteint près de 200 du PNB%. Les conséquences directes des différentes mesures doivent permettre de relancer l’activité, rendre encore plus compétitif l’économie et la rendre attractive aux yeux des investisseurs. Dans une moindre mesure, l’économie japonaise est soumise aux mêmes défis que la France.
En plus d’être dépendante de ses exportations, l’économie japonaise est dépendante de son industrie qui compte pour 30% de son PNB et centralise 2/3 des emplois du pays. Cela laisse donc très peu de place à l’agriculture et aux plantations de cacao, qui sont donc inexistantes. Le café et le riz représentent presque l’ensemble des productions agricoles du pays, et 5% d’emplois.
En ce qui concerne les échanges internationaux du pays, ils repartent à la hausse après la crise économique et environnementale causée par le tremblement de terre et la fissure au sein du réacteur nucléaire de Fukushima. Cela concentre 30% du PIB japonais environ. Malgré un regain d’activité, les exportations japonaises souffrent désormais d’un contrôle quasi-systématique de la qualité environnementale et sanitaire de leurs produits. Il est donc probable et envisageable que des mesures similaires sur les importations japonaises soient également prises en contrepartie. On parle ici de barrières non-tarifaires, ou de protectionnisme caché.
Au niveau des systèmes
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