ADM1002 - TN1 - Série B
Cours : ADM1002 - TN1 - Série B. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar LenaBengal • 22 Avril 2016 • Cours • 1 808 Mots (8 Pages) • 834 Vues
Question 1.
Faites une liste de 20 activités concrètes de John R. Porter en tant que directeur général du Musée de Québec.
1. Dès son arrivée au musée en 1993, John R. Porter communique sa conception du Musée et de sa direction prochaine à l’ensemble du personnel.
2. Dans les premières semaines, il se familiarise avec le Musée, son personnel, ses structures et ses pratiques.
3. Il organise un plan triennal qu’il soumet au conseil d’administration en décembre 1993.
4. Il renouvelle l’équipe de direction du Musée. Il apporte des changements à la structure de l’organisation dès son arrivée en 1993, puis en 1995, 1997 et en 2000.
5. Il entreprend un travail de mise en valeur des lieux.
6. Il revoit la programmation complète du Musée dès son arrivée puis fait un suivi de celui-ci tout au long de son mandat.
7. Avec la préparation de l’exposition Québec plein la vue, John R. Porter développe et renouvelle certaines formes de partenariats. Tout au long de son mandat, John R. Porter rencontre et collabore avec des partenaires au Québec et à l’étranger afin de signer des ententes.
8. Afin de mettre en valeur les collections du Musée, il organise la révision de l’inventaire et voit à ce que l’on accélère le processus de restauration. De plus, la vocation de l’ensemble des salles d’expositions est révisée et les collections sont redéployées à l’été 1994. La superficie totale d’air d’exposition s’agrandit.
9. Il organise dans la même période une tournée de sensibilisation auprès d’une vingtaine d’entreprises d’envergure. On révise également le contenu et le design de l’ancienne publication des Amis du Musée ; le Bulletin du Musée du Québec nait.
10. À compter de 1994, John R. Porter dépose à différentes instances gouvernementales un mémoire démontrant que le Musée du Québec a besoin d’un meilleur taux de financement.
11. Il développe des façons d’augmenter les revenus autonomes du Musée. Pour ce faire, il accroît la rentabilité de la librairie-boutique, réaménage le restaurant et met à disposition des espaces locatifs.
12. En 1996, vu les revenus à la baisse du Musée, John R. Porter négocie avec les employés une réduction du temps de travail et des salaires.
13. En plus des rencontres hebdomadaires et des rencontres individuelles, il réunit chaque année ses gestionnaires pour discuter des grands enjeux.
14. Grâce aux démarches de toutes sortes auprès de divers intervenants, le Musée acquiert 3 œuvres importantes de l’artiste Jean-Paul Riopelle.
15. En 1997, on convertit les données et numérise une partie des collections dans le cadre de la création d’un système de gestion et d’information permettant la diffusion des œuvres du Musée dans Internet. Ce projet est fait conjointement avec le Musée d’art contemporain de Montréal et le Musée des beaux-arts de Montréal, ce qui les oblige à travailler à la création d’un site Web commun et à l’intégration des infrastructures technologiques.
16. Pendant la préparation de l’exposition Rodin à Québec, John R. Porter doit faire face à une menace de grève d’une partie des employés.
17. John R. Porter a dû négocier avec le Musée Rodin suite à la réception des marbres qui n’étaient pas ceux prévus pour l’exposition.
18. L’exposition Rodin à Québec est si populaire qu’on décide de prolonger les heures d’ouverture du Musée. Le Musée sera également ouvert nuit et jour lors des deux dernières journées d’exposition.
19. Convaincu du succès de l’exposition Rodin à Québec, John R. Porter décide d’hypothéquer toutes les activités d’acquisition, d’éducation et de programmation prévues pour l’année budgétaire 1998-1999, afin d’y parvenir.
20. John R. Porter a participé à plusieurs congrès, séminaires et conférences publiques. Il a accordé plus d’une centaine d’entrevues. Il a également participé à plus de 200 publications.
Question 2.
Pour chaque activité que vous avez énumérée à la question 1, dites quels rôles le directeur général accomplit en la réalisant (voir manuel p.20-23).
1. Dès son arrivée au musée en 1993, John R. Porter communique sa conception du Musée et de sa direction prochaine à l’ensemble du personnel.
Le rôle de leader
2. Dans les premières semaines, il se familiarise avec le Musée, son personnel, ses structures et ses pratiques.
Le rôle d’observateur
3. Il organise un plan triennal qu’il soumet au conseil d’administration en décembre 1993.
Le rôle d’entrepreneur et le rôle de diffuseur
4. Il renouvelle l’équipe de direction du Musée. Il apporte des changements à la structure de l’organisation dès son arrivée en 1993, puis en 1995, 1997 et en 2000.
Le rôle d’entrepreneur
5. Il entreprend un travail de mise en valeur des lieux.
Le rôle d’entrepreneur
6. Il revoit la programmation complète du Musée dès son arrivée puis fait un suivi de celui-ci tout au long de son mandat.
Le rôle d’entrepreneur
7. Avec la préparation de l’exposition Québec plein la vue, John R. Porter développe et renouvelle certaines formes de partenariats. Tout au long de son mandat, John R. Porter rencontre et collabore avec des partenaires au Québec et à l’étranger afin de signer des ententes.
Le rôle de négociateur et le rôle d’agent de liaison
8. Afin de mettre en valeur les collections du Musée, il organise la révision de l’inventaire et voit à ce que l’on accélère le processus de restauration. De plus, la vocation de l’ensemble des salles d’expositions est révisée et les collections sont redéployées à l’été 1994.
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