Sujet: La flexisécurité est-elle une solution au chômage français ?

Sujet 1 : Dans quelle mesure une réforme du marché du travail peut-elle permettre de résorber le chômage en France ? / La flexisécurité est-elle une solution au chômage français ?

INTRO : crise des surprimes : situation hétérogènes concernant le chômage suivant le degré de flexibilité du marché du travail + Ex de taux de chômage (7,6% en 2009 maintenant 10,8 en Fr.) + Etude du FMI 1994 : « ce sont essentiellement le niveau élevé du SMIC en des cotisations patronales, la générosité des alloc chômage et certaines pénuries de main d’œuvre qualifié qui freinent la création d’emploi durable » + réforme du marché du travail : évidence pour résorber le chômage + déjà beaucoup de réforme depuis 80’s et encore dans le futur.

PB : on peut se demander si les actions structurelles sur l’offre et la demande de travail, déjà entamées depuis les années 80, sont-elles efficaces afin de réduire significativement et durablement le chômage en France ?

Notre démarche consistera à exposer les réformes du marché du travail comme condition nécessaire mais insuffisante à la diminution du chômage en France.

I – Les rigidités du marché du travail responsable d’une partie du chômage

Taux de chômage après les 30G : environ 8%. Plus période basse (7,4% :2008) et plus haute (12% : 1994) => une partie du chômage est donc structurel (=durable). Principale cause : rigidités du marché du travail (justifie les réformes engagées depuis 80’s).

Nous étudierons donc les principales rigidités et les reformes engagés ou à faire afin de remédier à une partie du chômage.

        A – La rigidité du salaire sur le marché du travail français

• PIGOU : le chômage provient d’un déséquilibre particulier du marché du travail ayant pour origine la rigidité et la baisse du salaire réel.
• Le marché est composé : d’une offre de travail (l’individus rationnel se trouve incité à sacrifier du loisir à mesure que le taux de salaire aug. => fonction croissante du salaire net) & d’une demande de travail (provient des Entreprises : veulent maximiser leur bénef. => fonction décroissante du salaire net)
• Plein emploi : offre = demande : point d’équilibre
• Si coût du travail > productivité : individu non embauché
• 1994 : CIP (CDD mois de 26 ans : 80% du SMIC) non accepter (pays qui l’on adopter : taux de chômage des jeunes < qu’en France).
• Rigidité salariale : charges payer par l’entreprise : aug. Le coût du travail
• 2010 : CUI (Contrat unique d’insertion) = allégement des charges patronales
• 1986 : exonération des charges pour l’emploi des jeunes

• Les reformes concernant le SMIC ou le coût du travail peut permettre d’éviter le chômage structurel.

        B – Les législations sur l’emploi

• Législation sur l’emploi : empêche le plein emploi
• Contrat de travail = rigidité (EX : CDI difficile à rompre, préavis)
• Augmente le coût de licenciement (indemnité, procédure de licenciement)
• Etude par l’OCDE : l’Indicateur de Protection Sociale montre que la protection de l’emploi est corrélée positivement avec la durée du chômage
• Insiders / Outsiders

• Une trop grande protection salariale est désincitative pour la demande de travail qui n’est pas à son niveau optimal.  

II – Toutefois, le réformes peuvent être également préjudiciables pour l’emploi

 Nous allons montrer dans cette partie que les réformes proposées par les libéraux ont une efficacité toute relative à la fois au niveau Macro & Micro.

        A – Ces réformes peuvent engendrer du chômage Keynésien

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