Notre économie change jour après jours et, en ce sens, elle est toujours nouvelle

L’ECONOMIE NORMATIVE

Introduction :

« Notre économie change jour après jours et, en ce sens, elle est toujours nouvelle. »

L'économie normative est l'étude de la manière de satisfaire au mieux les besoins des hommes vivant dans une société nommée. Elle dicte donc les règles à suivre pour atteindre la situation la plus satisfaisante.

Les phénomènes spécifiques auxquels s’intéresse l’économie sont : les phénomènes de production, de consommation, de distribution et d’échange de marchandises en particulier sur le marché, afin de satisfaire les consommateurs. L'économie normative correspond ainsi à l'économie politique qui dit ce qu'il faut faire à l'inverse de celle qui observe et analyse ce qu'il se passe. Certains aspects de l'économie sont justement fondés sur cet aspect normatif : en tentant de parvenir toujours à un équilibre, des organismes ont été créés afin de dicter les normes qu'il fallait respecter. De même, en théorisant les comportements des individus, la micro économie décrit le comportement rationnel que celui-ci doit adopter pour maximiser l'utilité, le profit ou le rendement en conséquent L’économie normative propose des recommandations fondées sur des jugements, de valeur personnelle. L’économie en temps que science sociale écrit dans son étude certains comportements humains. Ses dernières sont fortement indépendant des opinions des individus et des groupes sociaux. C’est pourquoi les propositions normatives qui expriment les préférences ont d’importante conséquence pratique sur l’activité économique et sur les jugements portés par les économistes.

1. La notion de la rareté : la science économique existe parce que la rareté des biens est la loi générale.

La notion de la rareté peut être définie par le fait que tous les biens ne sont pas définis en quantité illimité. Toute les activités humaine qui on pour objectif de luté contre la rareté sont considère comme des activités économique.

1. L’économie au gouvernement : elle consiste a utilise des méthodes de recherche est de les adaptes au  problème de la vie économique.

Ces problèmes tournent sur les questions suivantes :

• La croissance économique
• L’inflation
• Le déficit extérieur
• Le déficit budgétaire

• C’est une augmentation soutenue du produit intérieur bruit sur une longue période.

Taux de croissance économique (2014) = PIB 2014 – PIB 2013 * 100 / PIB 2013

La croissance correspond à l’ensemble de richesse crées dans l’économique.

Taux de croissance économique = PIB X – PIB X-1 * 100 / PIB X-1

Si le taux de croissance augmente, le chômage diminue

• Le taux d’inflation est une hausse généralisée du niveau des prix sur une période donnée. (INSEE : institut national de la statistique et des études économique) stabilité des prix est du ressort exclusif de la banque centrale.

• Déficit commercial on parle de déficit commercial lorsque les importations de biens et services.

• Déficit budgétaire (état) c’est lorsque les dépenses de l’état sont supérieur aux recettes budgétaire.

Pacte de stabilité :

• Limité du déficit budgétaire à 3 % PIB (4%PIB)
• Limité de la dette publique à 60% PIB (93%PIB austérité budgétaire 10%.

1. Certains pensent que leur désaccord provient principalement de différences sur les valeurs, mais des études montrent également une absence de consensus sur les faits. Les économistes apparaissent excessivement confiants dans leurs estimations, un biais classique d’expertise. En s’appuyant sur l’exemple de la fiscalité, l’article souligne que la distinction faits/valeurs est trop réductrice. Concernant les questions distributives, il n’y a pas de mesures neutres du point de vue des valeurs. Ce qui est mesuré dépend souvent de l’écart à une norme. La mesure est ainsi la différence entre les faits et les valeurs. Elle n’est donc ni entièrement normative.

1. Biens économique: les biens économique sont les moyens qui permettent de satisfait les besoins.

• Biens gratuits : sont les biens qui sont disponibles à quantité illimitées (exemple  l’air, le soleil). Ils ne sont pas générer par le système productif.

• Biens collectifs : ils ne sont pas généralement acquis sur le marche. Ils sont produits et mis à la disposition de la collectivité soit par l’état, soit sous tutelle, soit sous sa surveillance.

• Biens privés : Un bien privatif (ou bien privé) est un bien divisible dont il est possible d'établir un prix couvrant au moins le coût de production. Il s'oppose à la notion de bien public.

Ainsi, les personnes ne désirant pas acquérir un bien privatif sont exclues de sa consommation.

1. Un bien public pur demeure entier quelque soit le nombre de personnes qui l’utilisent. Il est impossible d’exiger un prix et d’exclure un usage. C’est pourquoi une phase est un bon exemple de bien public.

1. L’éducation est un bien public qui connait la maladie des services publics. Celle-ci réside dans le coût et l’accessibilité. A cause de l’augmentation, la possibilité d’exclusion peut s’imposer à l’individu.

1. Toute crise entraine un choc qui modifie l’équilibre initial d’une économie. Les prix et les quantités à modifie car il suivre la loi du marché.

1. Les effets de la hausse des prix  constituent des modifications des secteurs R. Sur le plan normatif il entraine des changements de structure. Concernant la révolution française les effets réels sont les effets déclencheurs.

1. Récession économique ou crise économique : elle implique une intervention de l’état afin de relancer l’économie à travers  de ses dépenses publiques.

• Crise finance = l’intervention de l’état (ou du gouvernement) apparait nécessaire pour sauver le système bancaire.

• Il faut une intervention du gouvernement afin de maîtriser l’évolution des prix. Cela s’effectuer donc par le contrôle de la masse monétaire.

Exercice :

1.  Arthur Cécile PIGOU (1911) propose une explication de la faible performance de l’économie de marche. Il développe une approche de la politique appliqué:

• Analyse de l’intérêt général
• Analyse des coûts et des bénéfices externe qui sont liés à la faiblesse du système des prix.

Les coûts est les bénéfices externes jouent un rôle important qui se répercute sur la qualité de la vie. Ils permettent d’expliquer pourquoi les mécanismes de marché ne sont pas efficaces à la protection de l’environnement.

L'économie du bien-être est une théorie économique au service de l’évolution des situations sociales et de la décision public. Son étude porte sur les critères qui permettre de juger ou de comparer la qualité  des situations sociales.

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