Le commerce extérieur français en 2010
Commentaire de texte : Le commerce extérieur français en 2010. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar camcats • 16 Décembre 2013 • Commentaire de texte • 314 Mots (2 Pages) • 616 Vues
Le commerce extérieur français en 2010
La chute de l’euro est le reflet de la crise de la dette souveraine. Après plusieurs années de croissance vigoureuse, l’économie mondiale ralentit subitement. L’activité mondiale souffre d’un choc financier extraordinaire et de la persistance des cours élevés de l’énergie et d’autres produits de base. De nombreux pays avancés sont proches de la récession ou s’y engagent, alors que la croissance s’affaiblit aussi dans les pays émergents. Force est de constater que la crise économique aura sévèrement touché la France en terme de commerce extérieur.
En 2OO8, le solde commercial français enregistre un déficit historique de 55,7 milliards d’euros qui s’explique notamment par la hausse de la facture énergétique. En moins de dix ans, le solde commercial français est en effet passé de 14,3 milliards d’euros à -55,7 milliards d’euros. En moins de dix ans, le solde commercial français est en effet passé de 14,3 milliards d’euros à -55,7 milliards d’euros. Ces chiffres sont considérables et révèlent un réel malaise de la part des PME françaises. Les PME peinent à s’imposer sur la scène internationale. Ils n’étaient plus que 90 855 en 2010, soit environ trois fois moins qu’en Allemagne et deux fois moins qu’en Italie.
Le taux de change est le prix d’une monnaie exprimé en une autre monnaie. Il varie généralement selon l’offre et la demande sur le marché des changes : lorsque le taux de change d’une monnaie augmente par rapport à une autre, on parle d’appréciation de la devise (et de la dépréciation dans le cas contraire). L’euro n’en finit plus de dévisser face au dollar. Le 26 avril 2006, elle passait sous la barre de 1,24 dollar, en raison de craintes persistantes de récession. La dépréciation de l’euro est une bonne nouvelle pour l’économie européenne, mais ses effets bénéfiques devraient rester limités face à la crise, car les exportateurs souffrent du ralentissement de l’activité mondiale.
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