La franchise
Mémoires Gratuits : La franchise. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mitzi • 7 Janvier 2014 • 467 Mots (2 Pages) • 899 Vues
A)Contrat de franchise
Les droits du franchiseur :
Le réseau a le droit de demander et de vérifier la situation fiscale, comptable et financière, l’assistance du franchiseur pour l’ouverture du magasin.
Ces vérifications ont pour seul objectif de soutenir le franchisé et le conseiller. Travailler sous une même enseigne demande du respect mutuel et de la performance de la méthode.
Les droits du franchisé :
Le franchisé reste indépendant financièrement et juridiquement. Donc c’est le franchisé qui prend toutes les décisions pour son entreprise, gestion et administration.
Le franchisé peut être conseillé par son réseau uniquement dans son domaine.
B)
Le DIP est un document d’information contractuelle qui a été créé pour permettre à un franchisé de s’engager avec un réseau en toute connaissance de cause. Il est fournit 20 jours minimum avant la fin du contrat.
L’idéal est de faire analyser le DIP et le projet de contrat avec un avocat afin d’évaluer les conséquences juridiques pris par les deux parties du contrat et de prendre les conseils d’un expert comptable pour la partie financière.
Nous pouvons aussi rencontrer d’autres franchisés de la marque. Il est bon de savoir le parcours du franchiseur, d’où est ce qu’il vient, ce qu’il a fait, ses réussites ou ses échecs éventuels.
Un chiffre d’affaire ne veut rien dire c’est le résultat qu’il faut regarder.
Le franchisé doit aussi se renseigner pourquoi certains du réseau se sont retirés.
L’exécution du contrat :
Les apports obligatoires du franchiseur au franchisé :
-Le transfert du savoir (faire concept)
-L’aide à l’obtention des fonds nécessaires au projet
-L’assistance du franchiseur pour le lancement de l’ouverture du magasin
-Les apports initiaux obligatoires du franchisé au franchiseur
-L’aménagement de sa boutique
-Le financement totale de l’opération
DEUXIEME TRAVAIL :
La SA DECANDCO n’a pas eu droit de changer les tarifs car par les tribunaux il est reconnu qu’un devis n’est pas valable trois semaines mais trois mois au-delà, le consommateur pourra se voir opposer une augmentation des tarifs sous respects du régime des prix donc il n’y aurait pas dû lui faire de variation de prix.
S’il n’approuve pas, elle contactera en premier lieu la DDCCRF pour essayer l’amiable.
Le tribunal d’instance compétent pour les sommes allant jusqu’à 76.000
TROISIEME TRAVAIL :
A)
La procédure d’ouverture d’offre du marché
...