Economie: la concurrence parfaite
Cours : Economie: la concurrence parfaite. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar myxdu34 • 28 Janvier 2013 • Cours • 1 061 Mots (5 Pages) • 752 Vues
La concurrence « parfaite » : c’est lorsqu’il y a autant d’offreurs que de demandeurs. Les produits sont tous les mêmes et le consommateur choisit selon le prix.
La concurrence oligopolistique : Plus de demandes que d’offreurs. Faible nombre de vendeurs.
La concurrence monopolistique : tous les produits sont différents, chaque producteur à des caractéristiques spécifiques sur son produit.
Le prix d’équilibre : c’est le prix pour lequel la quantité demandée d’un bien est égale à la quantité offerte de ce bien. Demande = offre.
Monnaie métallique/divisionnaire = les pièces de monnaie.
Monnaie fiduciaire = billets + pièces
Monnaie scripturale = virement, carte de crédit, chèque.
3 fonctions de la monnaie :
intermédiaire des échanges (=instrument de paiement permettant d’acquérir des biens)
Unité de compte (permet d’évaluer et mesurer la valeur d’un bien)
Réserve de valeur (= permet de différer les achats)
La monnaie doit être crédible et donc être stable en interne et en externe.
La masse monétaire : quantité de monnaie en circulation dans une économie.
M1 = monnaie fiduciaire
M2 = M1 + monnaie scripturale
M3 = M2 + titres de créance
Marché en concurrence pure et parfaite : atomicité de l’offre et de la demande, homogénéité des produits, liberté d’entrée et de sortie du marché, et transparence du marché. Si l’un de ces facteurs n’est pas présent, le marché n’est pas en CPP.
L’autorité de la concurrence : elle a pour mission de veiller au respect des règles de la concurrence fixées par l’Etat.
Un bien public : c’est un bien d’indivisibilité (= pour tous) et de non exclusion (= personne ne peut être exclu de la consommation d’un bien).
Externalité : situation économique dans laquelle l’action d’un agent a des effets (positifs ou négatifs) sur les autres agents.
L’Etat peut alors encourager les externalités positives grâce à des subventions, ou des crédits d’impôts mais il peut aussi lutter contre les externalités négatives par des taxes ou des interdictions.
Depuis 1945, les échanges progressent en volume plus vite que la production. Le commerce mondial représente aujourd’hui l’équivalent du tiers du PIB mondial. 70% des échanges sont réalisé dans la Triade : Amérique du Nord, Europe et Japon.
Les FMN : entreprises qui contrôlent des filiales dans plusieurs pays et dont la stratégie et l’organisation sont conçues à l’échelle mondiale.
Balance des transactions courantes : elle retrace l’ensemble des échanges entre un pays et le reste du monde c’est-à-dire les échanges de biens et de services, les revenus versés et reçus et la balance commerciale elle enregistre la transaction de marchandises.
Le solde commercial : différence entre les importations et les exportations. Un solde négatif traduit une sortie de devises, et un solde positif traduit une entrée de devises.
Le solde de transaction courante : c’est l’indicateur mensuel retenu en termes d’analyse des échanges.
Le taux d’ouverture : (importation + exportation)/2 /PIB x100
Le marché des changes : il permet la confrontation de l’offre et de la demande d’une monnaie nationale avec les autres monnaies et la détermination de son prix. Ce marché fonctionne en continu. Les acteurs de ce marché sont les grandes banques et les Banques Centrales de tous les pays.
Le taux de change : c’est la valeur de la monnaie nationale exprimée en monnaie étrangère.
Le coefficient d’élasticité du prix : permet de mesurer la demande par rapport au prix. La demande baisse quand le prix s’accroît.
Résultat négatif : demande élastique c’est-à-dire lorsque le prix va augmenter, la demande va fortement baisser.
Résultat entre -1 et 0 : demande rigide : la demande ne baisse pas en fonction du prix.
Résultat positif : demande anormale : la demande augmente quand les prix augmentent.
La théorie de
...