Économie générale: la concurrence pure et parfaite
Analyse sectorielle : Économie générale: la concurrence pure et parfaite. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar chalzone • 23 Février 2015 • Analyse sectorielle • 1 933 Mots (8 Pages) • 906 Vues
Economie Générale
Atomicité : il faut un grand nombre d’offreur et de demandeur afin d’éviter le monopole
Concurrence pure & parfaite :
• Atomicité
• Homogénéité
• Parfaite mobilité des facteurs de production
o Capital
o Facteur travail
• Liberté d’entrer et sortir du marché
• Transparence, information parfaite
Doc 1 : 1. Asymétrie d’information : le vendeur en sais plus que l’acheteur sur un produit, il va abuser de sa position, dissimuler certaines informations. L’acheteur peut même renoncer à son achat au point que la demande finissent inexistante.
L’information sur les produits vendus peut être apportée par les offreurs envoie un signal sur la qualité des produits vendus auprès des acheteurs.
DGCCRF : Direction Générale de la Consommation, de la Concurrence et de la Répression des Fraudes
Tous ces contrôles faits par l’état sont mis en place pour instaurer un climat de confiance dans le commerce.
Le marché va fonctionner de façon favorable des lors ou il y a un climat de confiance.
Comment instaurer la confiance sur les marchés ?
2) Une monnaie inspire confiance lorsqu’elle traduit une valeur de pouvoir d’achat constant. Il faut qu’elle soit acceptée par tous, partout, à n’importe quel moment. Lorsqu’une monnaie scripturale est aisément convertible en monnaie fiduciaire. La banque centrale assure la stabilité de la monnaie grâce à des taux directeurs. Ce qui revient donc à lutter contre l’inflation.
Externalité : une externalité et un effet positif ou négatif de l’action d’un agent économique sur le bien être d’autre agent économique sans que le marché ne prenne en compte cet impact, c’est à dire sans compensation monétaire. Il y a externalité quand il y a une divergence entre le cout ou le bénéfice privé qui est supporté (ou reçu) par un agent économique et le cout ou le bénéfice social qui est supporté (ou reçu) par la collectivité.
Marché de la pollution : pour répondre à l’externalité sur la pollution, l’état a mis en œuvre le principe du pollueur-payeur. Pour que le cout privé d’une externalité négative soit à la hauteur du cout social, il faut taxer les responsables de cette externalité négative en instaurant une taxe égale aux couts engendrés par la pollution.
Chaque entreprise doit être autorisé à polluer pour sa production et pour cela détenir des droits à polluer. Elle va se les procurer sur un marché ou se confrontent l’offre et la demande. Les entreprises qui n’utilisent pas tous leurs droits pourront les offrir sur le marché face aux entreprises qui n’en dispose pas suffisamment et qui seront en demande de droit à polluer. La quantité de droit à polluer est définie par l’état dans l’optique de limiter globalement la pollution.
Bien publique : bien indivisible (plusieurs personnes peuvent le consommer en même temps et aucune personne ne peut être exclu de sa consommation). On appelle cela la non rivalité des agents dans la consommation des biens publics.
Avantage comparatif :
Sans avantages absolue
o Spécialisation
Production + quantité de volume (économie d’échelle)
• Coûts unitaires plus bas = prix plus bas
CHHSCT : Comité d’Hygiène Sécurité de des Conditions de Travail
Document 4 : Par l’existence d’économies d’échelle
1) Une économie d’échelles est une baisse du coût unitaire de production au fur et à mesure de l’augmentation des quantités produites. On voit que l’augmentation de la production est plus que personnel à l’augmentation des quantités des facteurs de production. Possible grâce à ne amélioration de l’organisation de travail, amélioration du rendement, aux nouvelles technologies, grâce à l’augmentation des ressources humaines. Dans un rendement constant, l’augmentation de la production est strictement proportionnelle à l’augmentation des quantités des facteurs de production utilisés. Les rendements décroissants, cela signifie que l’augmentation de la production est moins que proportionnel à l’augmentation des quantités de facteur de production utilisé. Cela s’explique par des couts supplémentaires générés par la hausse de la production et par l’augmentation de la taille de l’entreprise.
Schumpeter : « Destruction créatrice »
2) La spécialisation passe dans une phase d’internationalisation qui généré une augmentation des richesses produites globalement, c’est grâce à l’économie d’échelle que les pays font le choix de la spécialisation et de l’échange international car il devient nécessaire d’échanger pour se procurer les biens qu’ils ne produisent plus.
Il existe une inégalité des facteurs de production selon les pays ce qui explique que les pays vont se spécialiser dans la production qui possède le facteur qui est le plus propice.
C’est le fait qu’un facteur soit abondant dans un pays qui fait que son coût sera relativement plus faible que dans un pays où il est moins abondant.
Document 6 : Un commerce de produits similaire entre pays semblable
Le commerce interbranche est l’échange entre les nations de produits complémentaire de nature différente issue de branche de production différente.
Le commerce intra branche est l’échange entre les nations de produits similaire, de même nature qui est issue de la même branche de production. Ce commerce repose sur les avantages comparatifs et la logique de l’échange international. C’est la spécialisation des pays qui fait qu’ils importent des biens différents de ceux qu’ils exportent au sein du commerce interbranches, mais également on remarque l’existence d’échanges internationaux dans des produits similaires.
Les pays qui vont échanger entre eux laissent supposer que ce sont des pays qui ont des dotations en facteurs de production différents. Les pays en voient
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