La Concurrence Pure Et Parfaite
Mémoire : La Concurrence Pure Et Parfaite. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yannis42700 • 12 Octobre 2014 • 1 304 Mots (6 Pages) • 1 531 Vues
Equilibre partiel : on étudie un marché en faisant comme si les autres marchés n’avaient pas d’influence sur celui-ci
Courbe d’offre sur un marché : agrégation des comportements individuels (de même pour la demande)
Concurrence Pure et Parfaite (CPP) essentielle dans le raisonnement marginaliste (L.Walras)
CPP : plusieurs conditions fondamentales :
homogénéité du bien
atomicité (pas d’influence sur le px et qté fixée du marché)
Le comportement du producteur en CPP
Différentes sortes de coûts :
Coût total : Facteurs de production (Capital + Travail). Il dépend de la quantité produite.
Prix d’une unité de travail x nombre d’unité de travail + prix d’une unité de capital x nombre d’unité de capital.
Coût moyen : Coût total / Nombre d’unité produites.
> Coût variable : Partie du coût qui dépend de la production.
> Coût fixe : Ne dépendent pas du volume de production. Ex. Achat ou location d’un bâtiment. A Long terme, tous les coûts sont des coûts variables. Lorsque l‘entreprise se développe, elle s’agrandit.
Coût marginal : Logique de raisonnement marginaliste – quel coût pour une unité de production en plus ?
La variation du coût total / la variation de la quantité produite.
Le coût marginal est la dérivée de la fonction de coût total par rapport à la production.
Maximisation du profit du producteur en régime de concurrence parfaite
Le nombre d’unités produites vendues à un prix p = Recettes.
Profit = Recettes – Coût total.
P(Q) = R(Q) – CT(Q).
Le prix est une constante, il ne dépend pas de la quantité produite. Le producteur n’a pas de pouvoir de manipulation sur le prix.
A quelle condition maximise –t –on les profits ?
La dérivée première de la fonction profit est prix – coût marginal. (p - Cm = 0).
Je vends lorsque le prix est supérieur au coût marginal. Le producteur continue à produire lorsque le prix est supérieur au coût marginal. Il va arrêter de produire lorsque le résultat est inverse : il n’aura pas intérêt à produire si ce que lui rapporte la vente d’une unité est inférieur au coût marginal.
La production qui maximise correspond au prix = coût marginal.
L’équilibre général
Equilibre partiel = analyse d’un marché en faisant comme si les autres marchés n’avaient pas d’influence sur le marché étudié (ex. si il y a augmentation du prix des poires, on ne le considère pas dans l’analyse du marché des pommes).
Equilibre général = Quand on analyse des marchés en équilibre général, on tient compte de l’équilibre d’ensemble des marchés, ce qui suppose que l’on tienne compte de l’interdépendance entre les différents marchés.
La CPP a été théorisée par Walras (Eléments d’économie politique pure) et définie par des conditions :
L’homogénéité des biens. Les caractéristiques du bien échangé sont précises, connue de tous. Quand 2 biens sont distincts (ex. crayon vert / crayon bleu), il y a 2 marché distincts.
Atomicité. Condition qui porte sur les agents : Les agents sur le marché sont nombreux du côté de l’offre / de la demande, ils sont anonymes, noyés dans la masse. Les agents sont preneurs de prix (il s’impose à eux, ils n’ont pas de pouvoir sur ce prix).
Plusieurs temps : • Fin du XIXe s - Walras (utilité marginale qui s’oppose à la valeur travail)
• Années 1950 – Modèle Arrow Debreu : Précise les modèles de Walras.
• Années 1970 – Résultats négatifs avec l’avènement de la concurrence imparfaite.
Walras
On doit mettre en évidence les flux et mouvements éco du marché en s’inspirant des méthodes qui mettent en évidence la dynamique du mouvement de manière pure. D’avoir une sorte d’idéal type du marché.
Il y a interdépendance des marchés. Equilibre simultané sur tous les marchés.
L’idéal type chez Walras est le marché à la Criée (marché aux poissons + Bourse). Il existe donc un crieur de prix Le marché est centralisé par un secrétaire de marché /
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