ADM7012 TN2
Étude de cas : ADM7012 TN2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar marjohebert • 19 Octobre 2015 • Étude de cas • 5 427 Mots (22 Pages) • 2 956 Vues
ADM 7012
Retraite et planification successorale
Commencez la rédaction de votre travail à la page suivante.
Introduction
Le régime enregistré d’épargne-retraite est un outil d’épargne en vue de la retraite. Il a plusieurs caractéristiques très distinctes. Un bon planificateur financier doit maitriser ces caractéristiques s’il veut bien conseiller ses clients quant à son utilisation. Le REER permet d’investir de l’argent, à l’abri de l’impôt. Les cotisations effectuées donnent droit à un retour d’impôt, selon la fourchette d’imposition de l’épargnant. Lors de la retraite, ou au maximum 71 ans, les sommes accumulées doivent être converties en FERR, ce qui procure une rente de retraite à son bénéficiaire.
À la suite de cette page, vous trouverez six résumés d’article traitant du REER. Différents thèmes y sont abordés, comme par exemple ses principals caractéristiques, le fractionnement du revenu, ceux qui sont saisissables ou non, les erreurs à éviter lors des cotisations, et ses différences avec le compte d’épargne libre d’impôt.
Finalement, vous trouverez à la fin de ce travail une résolution de situation, celle de Gilles Labonté, qui se demande quelles sont les meilleures stratégies à adopter en vue de sa retraite, et aussi pourquoi commencer si jeune à cotiser au REER.
Dix erreurs à éviter avec votre REER
Par MSN finance
Ce texte écrit sous forme de diaporama, nous présente les différentes erreurs que les gens font souvent avec leur REER. Il tend à nous rappeler les bonnes pratiques à utiliser lorsque l’on investit pour sa retraite, en nous démontrant des erreurs typiques.
La première erreur à éviter est de prendre trop de risque pour notre épargne-retraite (1.1). Il est important de respecter sa tolérance au risque si on ne veut pas voir disparaitre nos précieuses économies. Sans quoi, il est possible que notre qualité de vie à la retraite soit grandement affectée. Si on veut quand même prendre de grands risques, on doit utiliser de l’argent dont elle n’aura pas besoin dans sa vie future. Si le risque s’avère payant, ce sera un bonus!
Un autre conseil est de cotiser à son REER de façon régulière, et non une fois par année (2.1). Il est beaucoup plus facile de mettre de l’argent de côté de façon périodique, que de mettre un seul gros montant à la fin de l’année. C’est aussi beaucoup moins stressant pour le budget. Les gens qui ne connaissent pas d’avance leur droit de cotisation devraient périodiquement mettre de l’argent de côté dans un compte garanti et le verser dans leur REER à la fin de l’année.
Une autre erreur fréquente est de cotiser de façon mécanique, c’est-à-dire les yeux fermés sans avoir réfléchi à nos objectifs et nos besoins financiers (3.1). Il est important de travailler en étroite collaboration avec un bon conseiller financier qui sera en mesure de nous guider avec nos objectifs d’épargne pour la retraite.
La prochaine erreur à éviter est d’attendre à la prochaine année pour préparer sa retraite si on a atteint le plafond de cotisation (4.1). En effet, ce n’est pas parce que notre plafond de cotisation REER est atteint que l’on doit sauter une année entière pour continuer de bâtir notre retraite. Nous pouvons à la place cotiser jusqu’à 5500$1 dans un CELI, où les intérêts ne sont pas imposables. Une autre stratégie qui pourrait être utilisée si nos droits CELI sont utilisés à pleine capacité aussi, ce serait de nos rembourser plus rapidement nos dettes en commençant par celle où l’intérêt est le plus élevé. Une saine gestion financière commence par la libération des dettes.
Une autre erreur que les gens font souvent, est de seulement compter sur leurs cotisations REER pour s'assurer d'avoir une belle retraite (5.1). Le REER n'est pas la seule façon d'investir. Il y a plusieurs autres véhicules d'investissement (l’immobilier, les autres comptes de placements, etc.), et un professionnel de la planification financière peut nous aider pour trouver les stratégies dans le but d'atteindre nos objectifs pour la retraite.
La prochaine erreur qui est présentée, est d'investir trop rapidement dans un prêt REER (6.1). Il peut être avantageux pour certain s'ils veulent sauver de l'impôt, mais il doit être remboursé très rapidement pour que les intérêts ne viennent pas amoindrir l'économie gagnée. Avant de faire un tel prêt, l'aide d'un comptable et d'un conseiller financier est requis.
La prochaine erreur énoncée est de cotiser autant à son REER lors d'une année plus difficile financièrement (7.1). Il est préférable au contraire de réduire ou d'arrêter ses cotisations REER pour ladite année. D'un côté cela permet de se garder de l'argent pour se refaire un peu financièrement, et de l'autre côté l'avantage est de garder ses déductions REER pour les années où le revenu est plus élevé.
L'erreur suivante est d'oublier son conjoint lors de nos cotisations REER (8.1). Rien ne nous empêche de cotiser au REER de notre conjoint et celui-ci a atteint son plafond et pas nous. Cela permet de faire grossir le REER de la personne avec le taux d'imposition le plus faible et de recevoir la réduction d'impôt pour la personne avec le taux d'imposition le plus élevé.
Ensuite, une erreur fréquente est les gens qui utilisent le REER comme le CELI (9.1). Il ne faut pas oublier que le REER donne droit à des déductions d'impôt, donc il est imposé lors de son retrait. Le CELI quant à lui n'apporte pas de déductions fiscales, mais ses retraits ne sont pas imposables non plus. Un bon équilibre entre ces deux types de placements st d'ailleurs fortement conseillés.
Finalement, la dernière erreur à éviter est de demander des déductions REER lorsque l'on ne paye pas d'impôt (10.1). Nous avons le droit de reporter indéfiniment nos cotisations REER. Il est donc judicieux de les reporter jusqu'au moment où on paye plus d’impôts. Les années où nous en aurons besoin, nous serons très heureux de les avoir repoussés.
Régimes enregistrés d’épargne-retraite
Par Invesco
Ce texte nous décrit en
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