La formation professionnelle dans les milieux de travail depuis sa conception jusqu’à sa réalisation

Dans quelle mesure l’approche ergonomique du travail vous permet-elle de penser la complexité de la formation professionnelle dans les milieux de travail depuis sa conception jusqu’ à sa réalisation.

Dans la deuxième parti ou il me demande continue ma réflexion à travers un article, de mon choix et qu’il soit en rapport avec ma première partie, après plusieurs recherche j’ai trouvé que le livre de l’auteur Damien Cru intituler « Le risque et la règle : Le cas du bâtiment et des travaux publics » conviendra parfaitement à la continuité de ma pensée, pendant cette deuxième partie je vais utiliser ma première partie et après essayer de confirmer ou réfuter mes réflexion dans cette dernière puis d’essayer au même temps d’avancer dans ma pensée.

Texte du premier parti :

Introduction :

Les cours d’ergonomie mon permis de comprendre la complexité du milieu professionnel et la relation complexe qui subsiste entre les 2 pôles les penseurs (directeur, manageur, ingénieur …) et celui des exécuteurs (ouvrier, fossoyeur …)

Quand un penseur va faire appel à un formateur pour faire une formation qui va du point de vue du penseur permettra la résolution du problème que ce dernier perçoit, les formateurs eux même vont se diviser en 2 types de formateur :

- Premier type de formateur qui n’introduit pas les 2 pôles dans son produit

- Formateur qui introduit va introduire les 2 pôles dans sa formation

Deuxième parti :

J’ai choisie livre « Le risque et la règle : Le cas du bâtiment et des travaux publics » de Damien Cru car l’auteur été tailleur de pierre pendant une dizaine d’années, puis délégué à la sécurité à l’organisme professionnel du BTP (OPPBTP, comité de Paris) puis chargé de mission dans le réseau Anact-Aract et enseignant à l’Institut des sciences et techniques de l’ingénieur d’Angers enfin en 2005 il est devenu consultant en prévention des risques professionnels (AOSST, Paris) et chercheur associé au Laboratoire d’ergonomie et d’épidémiologie de la santé (LEEST, Université d’Angers). A partir de son expérience il été un exécuteur quand il a travaillé tailleur de pierre pendant 10 ans puis il est devenu formateur prévention des risques professionnels a travers la formation qu’il a eu dans OPPBTP (organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics).

En relation avec mon introduction Damien Cru il a côtoyé les 2 pôles celui d’exécuteur quand il été tailleur de pierre et celui de penseur quand il est devenu délégué à OPPBTP (organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics) dans son livre « Le risque et la règle : Le cas du bâtiment et des travaux publics » il va expliquer les problèmes qu’il a eu dans son travail quand il été délégué à OPPBTP dans les chapitre suivant :

• La coupure entre la technique et le facteur humain.

• Le souci constant de tenir sa place de préventeur.

• L’idéologie défensive de métier et ses manifestations symboliques.

• Une idéologie défensive de cadres.

Puis il va donner à la fin de son quelque conseil pour devenir un bon formateur :

• La langue de métier.

• Perspective d’une démarche participative en prévention.

Je commence par l’extrait du livre de Damien Cru :

Le paragraphe 5 du chapitre « Une idéologie défensive de cadres. »

« Si les agents d’encadrement ont des comportements défensifs différenciés, tous se retrouvent dans l’impossibilité d’échanger sur le travail concret et tous se retrouvent dans un discours dominant articulé en deux points :

•le processus physico-chimique en œuvre dans l’usine n’est pas dangereux en lui-même ; nous autres ingénieurs et agents d’encadrement savons bien que techniquement il est fiable, que la sûreté a été étudiée et mise en œuvre sans lésiner sur les investissements ; le seul risque vient des opérateurs qui ont perdu la conscience professionnelle dont ils faisaient preuve il y a quelques années encore ;

•la perte de la conscience professionnelle et la détérioration de l’ambiance de travail à l’usine sont dues à la montée de l’individualisme, phénomène social général, qui n’a rien à voir avec le travail ; il n’y a qu’à observer la désaffection des clubs sportifs locaux ou la désyndicalisation…

Ce discours et ses variantes (les conduites des ouvriers sont infantiles ; il n’y a aucun problème, que chacun fasse son travail) revient à dédouaner le travail et son organisation de toute influence dans la dégradation de l’atmosphère de travail et sur l’accomplissement du travail lui-même. »

Dans cette extrait du livre qui s’accorde avec mon introduction sur le fait qu’il y a une relation complexe entre ingénieurs/agents d’encadrement et les opérateurs dans laquelle le pole penseur va voir les exécuteur comme des enfants « les conduites des ouvriers sont infantiles » et que les exécuteur manque de conscience professionnelle due à leur individualisme et que les processus physico-chimique dans l’usine ne comporte pas de danger .

Je passe après au deux type de formateur le premier type qui vas juste réaliser la formation son consulter l’opérateur juste suivre les consigne de l’agent d’encadrement ou de l’ingénieur.

Texte du premier parti :

Premier type de formateur qui n’introduit pas les 2 pôles dans son produit :

Il existe des formateurs qui vont juste crée la formation que les penseurs leur demande de faire, sans faire intervenir les exécuteurs dans la procédure de la création de formation ce qui va aboutir dans la plus par des cas au non emmagasinement et conceptualisation du savoir-faire donner par le formateur, car l’exécuteur va considérer cette formation comme inutile ou quelle lui permet pas de ʺBien faire son travailʺ car peut-être le problème ne se trouve pas là ou l’ingénieur imagine mes autre part , ce qui vas par la suite crée des perte de production et d’argent car le penseurs qui va prendre commende d’une formation chez un formateur va perdre de l’argent car la formation de point de vu des exécuteurs est inutile car pour eux elle ne répond pas vraiment

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