Cours sur l'état de santé des français
Étude de cas : Cours sur l'état de santé des français. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Coline Grellet • 28 Janvier 2019 • Étude de cas • 1 985 Mots (8 Pages) • 745 Vues
Chapitre I.
L’Etat de santé des Français
L’état de santé des français apparait globalement bon mais la mortalité prématurer (avant 65 ans) reste l’une des plus forte de l’UE.
En outre, les inégalités sociales, géographique, perdure entre les hommes et les femmes, entre certain territoire, catégories socio-professionnelle et groupe de population.
Pour certaine pathologie on constate des pathologies préoccupent ou des progrès peuvent être réalisé (prise en charge, prévention).
Les lois actuelles (9 aouts 2004) définissent des objectifs de santé à atteindre pour la population.
- L’état de santé avec la mortalité prématurée élevée
L’espérance de vie à la naissance est l’une des plus hautes de l’UE : 86 ans chez les femmes et 73 ans chez les hommes (+ 3 ans en 10 ans pour les hommes).
L’espérance de vie à 65 ans est parmi le taux le plus élevé (22 ans chez les femmes et 17 ans chez les hommes). Cet allongement ne s’accompagne pas globalement d’une dégradation de l’état de santé.
Les taux de mortalité est l’un des plus bas d’Europe. Le taux de mortalité infantile est aussi bas.
La mortalité prématurer est forte causé surtout par les maladies cardio-vasculaires mais l’importances de ses maladies diminues depuis 10 ans (prévention, plus techniques médicale).
Généralisation des trithérapies qui est liées et réduit le taux de mortalité du SIDA. Le dépistage de très nombreux cancers avec des campagne d’information et de dépistage.
La mortalité prématurée évitable est liée au cancer et pathologie provoqué par l’alcool, le tabac, accident de la route ou suicide.
- Une surmortalité des hommes et un moins bon état de santé des femmes et fragilité des personnes âgées
Il y a une différence entre les hommes et les femmes avec un paradoxe si on observe la morbidité ou état de santé déclaré.
Les femmes se disent en mois bonne état de santé que les hommes mais déclarent moins de maladie ou de limitation fonctionnelle et on plus recours aux soins.
Cette mortalité prématurer chez les hommes sont essentiellement liées au comportement à risque, ce qui explique les écarts d’espérance de vie.
Le nombre et l’importances des problèmes de santé augmente avec l’âge faisant apparaitre des pathologie (articulation, problème sensorielle, troubles psychique…)
- Des disparités sociales importantes
A âge et sexe égal, l’existence des problèmes de santé est liée à la position sociale et niveau d’éducation.
Il apparait un gradient selon la catégorie professionnelle et le niveau d’étude. Ces disparités peuvent être liées aux comportements socio-professionnels, famille, école, loisirs et l’exposition au risque qui est moindre plus on monte dans l’échelle social.
Pour pallier ces disparités la PUMA, la CMU, les PASS ont été mise en place pour but de permettre l’accès à des conditions de soins de droit commun. En matière d’accès au soin les obstacles financiers expliquent les refus de soin (prothèse dentaire, lunette…), pour les publics précaires et les étudiants.
- Les disparités géographiques importantes
A partir des données par région ou département on constate des disparités territoriales fortes en matière de mortalité et morbidité. Il existe un gradient nord/sud en matière de santé plus fortement marqué pour les hommes (sud plus favorable en matière de santé).
- Des déterminants de santé multiple dont beaucoup sont contenue
Les déterminants de santé sont multiples. Leur connaissance permet de cibler des actions de préventions pour certain groupe de population et modifié l’incidence des problèmes de santé.
Ils peuvent être d’origine comportemental (alcool, tabac, sédentarité, alimentation, prise de risque…), exposition dans la vie quotidienne et en milieu de travail (environnement chimique, pollution, physique, biologique…), social (stress et environnement socio-culturel des personnes).
- La consommation totale d’alcool qui diminue mais se fait à risque chez les hommes surtout
L’alcool à des conséquences sur beaucoup de maladies (cancers, psychique, suicide) qui entraine une mortalité prématurée surtout chez les hommes. Toute fois la consommation d’alcool consommé es plus faible mais l’alcoolisation excessive à augmenter.
1/3 des personnes de plus de 18 ans qui on une consommation d’alcool considéré à risque. On appel d’alcoolisation excessive ponctuelle pour les ¾ et pour d’autres cela s’appelle alcoolisation chronique. L’alcool touche tout le monde homme, femme et toute catégorie socio-professionnelle.
- Le tabagisme
Problème de santé important ayant des conséquences sur la mortalité et la morbidité. Le tabagisme est responsable de grands nombre de cancers (poumons, tube digestive) qui cause à elle seule une surmortalité de 30% avec 65 ans. Cela entraine aussi des problèmes cardio-vasculaire, respiratoire…
Obligation pour les personnes de mettre en place des lieux pour les fumeurs, interdiction de la publicité du tabac, paquet sans étiquette.
- Le développement du surpoids et de l’obésité qui appelle à des évolutions en matière d’alimentation et exercice physique
L’excès de poids et la sédentarité sont causés de beaucoup de maladie tel que le diabète, les maladies cardio-vasculaire, mal-être…
Aujourd’hui 11% des adultes sont touchés par l’obésité et 5% d’enfants. Le risque d’obésité et de surpoids apparait le plus nettement chez les catégories de personne défavorisées.
L’action est prise en charge par les PNNS (4) qui présente un ensemble de mesure pour limiter le surpoids et l’obésité et accompagner vers une activité physique.
- Les conditions de travail
Il y a 4 indicateurs dans la loi relative de santé publique permettent de suivre la répercussion sur la santé des conditions de travail :
- Accident routier mortelle liés au travail
- Les contraintes articulaires
- Le bruit
- L’exposition aux agents cancérigènes
Prévention de travail pour une existence moindre sur l’état de santé.
- Les suicides et les traumatismes fréquent chez les hommes, les jeunes et responsable de la morbidité chez les personnes âgées
La France à les taux de suicide les plus élevé au sein de l’UE avec une inégalité homme, femme puisque chez les hommes c’est l’une des causes les plus importantes de mortalités. Une variabilité est aussi marquée selon les régions (plus dans le nord de la France).
Les taux de suicides sont à corrélé avec la dépression. La formation des aides au soin est maintenant mise en place dans le repérage et le traitement des état dépressifs.
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