Théorie de l'évolution

Théories de l’évolution

Tout d’abord, il faut savoir qu’il y a trois théories de l’évolution. La première étant le transformisme exposée par Lamarck au début du XIXème siècle. Aussi appelée Lamarckisme, les principes de cette théorie sont que les êtres vivants sont adaptés à leur milieu et qu’ils se transforment en fonction de celui-ci. Cela expliquerai le long cou des girafes, les pattes palmées des oiseaux aquatiques,… . Selon lui, les espèces ne disparaissent pas, elles se transforment. Les girafes ont un grand cou car elles devaient se débrouiller à l’époque dans la savane. Pour cela, elles doivent aller manger des feuilles dans des arbres hauts. C’est donc comme ça, si on croit la théorie de Lamarck que les girafes ont eu un long cou.

Ensuite, vient la théorie de Darwin qui se base sur trois points. Le premier dit que toute espèce animale présente des variations et des différences entre les individus. Puis, vient l’hérédité qui occupe une place importante. Enfin, tout cela amène la sélection naturelle. C’est-à-dire que les individus les mieux adaptés à leur environnement survivent alors que les autres succombent. Par exemple, si, lors d’une période de sécheresse, les girafes qui ont les plus longs cou survivront car elles pourront atteindre plus de feuilles. Tandis que celles avec de petits cou succomberont. C’est d’ailleurs sur ce genre de théorie qu’Hitler prônait la supériorité de la race aryenne.

Finalement, il y a le néodarwinisme, aussi appelé « théorie synthétique ». Celle-ci reconnait les mutations génétiques et la sélection naturelle comme facteur d’apparition des nouvelles espèces. La différence principale entre le darwinisme et le néodarwinisme est que C. Darwin n’a pas inclut la génétique mendélienne (partie de la génétique dont la transmission des caractères suit les lois de Gregor Mendel. C’est-à-dire, les trois lois concernant les principes de l’hérédité biologique.) alors que le néo darwinisme l’inclut. Le néodarwinisme prend en compte la mutation, la variation, l’hérédité, l’isolement et la sélection naturelle.

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