Point fort et point faible du Protocole de kyoto

Point fort et point faible du Protocole de kyoto

Le protocole de Kyoto est né en 1992 dans le prolongement du sommet de la terre tenu à Rio de Janeiro. Le protocole est l’aboutissement d'un long processus de négociations à l'échelle internationale. Celui-ci a pour but de diminuer l’effet de serre sur la terre. Plusieurs États en font partie, au moins 191 pays ont signé en 2011. Mais est-ce que le protocole de kyoto fait état de toutes les personnes qui devraient être impliquées cette démarche pour sauver la terre ? C’est ce que nous allons tenter de découvrir en expliquant les points faibles et les points forts du protocole, ainsi que de la surconsommation et de l’empreinte écologique qui en découle.

Un point faible du protocole de kyoto est qu’en l'absence des États-Unis et des grands pays émergents, dont la Chine, devenus le premier émetteur mondial de CO2, ceux-ci produisent beaucoup et devrait diminuer de beaucoup leur émission de gaz à effet de serre, mais cela toucherait leur économie et additionnellement des coûts importants. Le principal point faible, selon Anne FARTHOUAT, est le système de contrôle et d'évaluation des projets en cours. Certaines personnes n’hésitent pas à moduler les règlements trop vagues à leur avantage. Aussi le protocole de kyoto, ne parle que pour les États et non les pays, ou les personnes. Ce qui serait très important, car chacun de nous a un impact sur ce qui se passe en ce moment sur notre planète. Il n’y a pas juste les États qui peuvent changer le monde les petites personnes aussi. Ce qui n’aide pas le protocole de kyoto, c’est que le monde ne vit que pour faire de l’argent, donc ils ne sont pas prêts à laisser tomber leur projet pour sauver la terre. Comme le Canada par exemple qui se retire du protocole, il se retire parce qu’ils ont découvert une importante ressource en hydrocarbure, aussi ils sont propriétaires de 3 grandes réserves mondiales de pétrole et le Canada se classe troisième dans la production gazière de la planète. La principale force de l’architecture de Kyoto, ce sont les objectifs quantifiés et les échanges de permis, ceux-ci en réduisent le coût, lequel, selon les objectifs de stabilisation retenus, peut s’avérer considérable. Ceci bénéficie pour finir à l’environnement, d’autant que le changement climatique est un problème de long terme. Un autre avantage des échanges de permis au plan national est d’offrir aux gouvernements la flexibilité de régler finement la balance entre allocation gratuite et mise aux enchères. Ceci peut faciliter l’acceptation de la réglementation nouvelle par les pollueurs installés. Malgré tout, il faut rester positif, car on peut constater que bien des gens mettent en œuvre des projets pour diminuer la consommation de gaz à effet de serre. On commence à voir des éoliennes un peu partout au Québec, même des gens en font installer dans leur cours (plus petit que ceux en Gaspésie, mais quand même, c’est le geste qui compte). Certains programmes sont mis en place pour permettre aux gens de se sentir impliqués dans cette controverse. Par exemple, les gens recyclent beaucoup plus qu’avant et nous sommes chanceux dans notre région les bacs bleus sont plus gros que dans le grand centre ce qui nous permet de recycler d’avantages, de plus en plus les gens font du compostage, le covoiturage est de mise et nous sommes de plus en plus solliciter à l’utiliser. Il reste encore beaucoup de travail à faire, mais nous pouvons constater que nous sommes sur la bonne voie.

Malgré tout, la surconsommation reste un problème de taille, que le protocole de kyoto de prend pas en considération. Nous vivons dans un monde où nous avons toujours besoin de plus et mieux que l’autre. La publicité ne nous aide pas a moins consommer, mais tout le contraire, elle nous mène dans le vice. Prenons par exemple une personne qui s’achète une nouvelle planche à neige. Elle voudra s’acheter un nouveau manteau, parce que

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