Changements climatiques

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L’atelier de formation et de sensibilisation aux changement climatiques organisé par l’association Marocaine des sciences régionales (AMSR) en partenariat avec l’institut national de l’aménagement et d’urbanisme qui a eu lieu le 28 février 2017 qui a connu la participation de (Mr.Adidi, Mr.Bennis, Mr.sinan, Mr.Hajib, Mr.Mastere, Mr.Benchakroun, Mr.Sabir, Mr.Lahssini, Mr. El hassani,  Mme Lamzah et Mme M’Hammedi) a traité les points suivants pendant 2 sessions :

1. 1ère session :

• Mr Adidi  

Les climato septiques affirme que l’action de l’homme n’a aucun effet sur le climat ce qui n’est pas réelle puisque les villes édifiées par l’homme sont les émetteurs de 80% des gaz à effet de serre de plus le model d’urbanisation horizontale se fait au détriment des forêts et des terres agricoles, le transport utilisé par l’humain émet des gaz on adopte un système d’assainissement inadéquat et l’exemple le plus flagrant est celui de salé qui a montré la vulnérabilité de ce système. En conséquence le monde subit une transition climatique, au Maroc par exemple on passe d’un climat méditerranéen à un climat subtropicale avec 2 grandes saisons : l’hiver et l’été.

• Mr Khattabi

La différence entre le réchauffement climatique globale et les changements climatiques est la suivante : la 1ère notion concerne l’augmentation de la température tandis que la 2ème évoque la hausse des températures et d’autre phénomène comme les inondations, les tempêtes, l’élévations du niveau de la mer.... Ce qui s’explique la dégradation de l’atmosphère par les polluants tels que les aérosols, le smog et certains gaz à l’instar de l’oxyde de carbone, l’ozone 1 et le gaz carbonique dont les proportions augmentent au fil des ans et cause le dérèglement de la température et l’augmentation de l’acidité de l’océan et ainsi la baisse de O². L’activité anthropique fait que ce qu’on consomme des produits combustibles dépasse de 50% ce que peut produire la terre surtout que les gaz émis  viennent des ville des villes surtout des secteurs de l’industrie de l’énergie et celui du transport la solution réside donc dans la minimisation de l’émission par l’utilisation de l’énergie renouvelable au lieu des combustibles fossiles, par l’utilisation de technologies propre, soit par l’adaptation et se sont les pays en voie de développement qui sont influencés par les changement climatiques sans être les producteurs de la pollution puisque les pays industrialisés (Etats-Unis, pays de l’OCDE) choisissent de délocaliser les industries polluante vers les pays du sud pour échapper aux impôts et dévier la loi de l’environnement adopté dans leurs pays et souvent inexistant dans les pays pauvres.

• Mr Sinan

Selon la 3ème communication nationale qui traite les changements climatiques au Maroc ce dernier émet 100.5 millions de CO² dont 60% est émis par le secteur de l’énergie c’est la raison pour laquelle le Maroc prévoit de réduire de 40% l’émission par la mise en place de stations d’énergie solaire qui permettront d’atteindre 52% de la puissance électrique par des sources d’énergie renouvelable et cela deviendra concret grâce à la station nour 1 et nour 2. Le Maroc souffre également de la de surexploitation de l’eau ce qui le pousse à adopté des actions qui seraient en mesure de protéger la nappe phréatique tel que la construction des barrages la mises en place de systèmes d’irrigation basée sur goutte à goutte, le traitement de l’eau pluviale et sa réutilisation …

• Mr Hjib

Les changements climatiques affectent non seulement le milieu atmosphérique et aquatique (océans, fleuves, lacs, nappes aquifères) pollué par les métaux lourds et les déchets toxiques, mais également  les sols victimes de la dégradation physique (par disparition, érosion et lessivage) biologique (baisse taux matière organique) et chimique (métaux lourds, acidification, PCB, DDT)ce qui nuit au êtres vivant qui s’y trouvent et engendre la dégradation des écosystèmes .On note avec inquiétude la modification des régimes migratoires en Afrique et en Australie, le changement physiologique de quelques espèces et le changement de répartition d’autres espèces dans le monde sans parler de la disparition de plusieurs espèces qui n’ont pas pu supporter les changements climatiques.

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