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Anthropologie culturelle / sociale

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Par   •  17 Octobre 2017  •  Cours  •  1 138 Mots (5 Pages)  •  787 Vues

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Anthropologie culturelle/sociale :

→ l’être humain sous l’aspect social, rapport aux autres et à l’environnement

• Tout part de l’Est de l’Afrique. C’est le « berceau » de l’Humanité.

• Au tout départ, l’être humain vit en petit groupe. Ce sont des chasseurs/cueilleurs (omnivores).

Il faut donc développer des stratégies de chasse, développer des outils.

C’est de là d’où vient l’élevage et l’agriculture.

Pour chasser l’Homme a dû se déplacer ⊕ stratégie de groupe.

• Pour qu’un Homme puisse se nourrir de manière satisfaisante, il nécessite de 10km2. Donc en vivant en groupe, il faut trouver un plus grand espace et se déplacer ⇒ c’est ce phénomène qui va expliquer l’immigration permanente des Hommes (se déplace de 30 à 50km/an en groupe).

• Grandes capacités de l’Humanité :

- capacité d’adaptation (≠ climats)

- capacité de modifier un territoire

• L’espèce se répand dans toutes les directions, dans tous les continents ⇒ différents outils se développent en fonction des différents environnements.

• Le fait de modifier/aménager son territoire constitue un risque (écologie).

L’espèce humaine se trouve en rivalité avec les autres espèces ⇒ grande responsabilité dans la disparition d’une grande partie des espèces animales.

→ Ce n’est pas la planète qui est en danger mais les autres espèces et l’équilibre global. Un déséquilibre constitue un risque pour l’Homme.

• L’espèce humaine a conquis tous les espaces même ceux qui n’était fait pour elle.

ex : la Lune, les fonds marins, …

Comment tout cela existe comme action des groupes d’Homme?

• Ils sont structurés et non une simple juxtaposition d’individus.

• Chacun d’entre nous se perçoit comme un être autonome, entièrement libre et désireux ⇒ tensions permanentes entre deux mots : le besoin et le désir.

→ Le propre de l’espèce humaine est le désir, au delà du besoin. Le désir vient de la nécessité de vivre en groupe. Il n’y a pas d’humain qui puisse vivre seul.

• Il y a deux oppositions fortes entre les besoins du « moi » de l’individu et l’encadrement du groupe qui va me limiter. Il y a un partage des rôles au sein du groupe (ex : distribution des tâches d’un travail). Le groupe va rendre nécessaire l’échange (services, marchandises,…) ⇒ échanges matériels, concrets.

• Il existe aussi l’échange symbolique (ex : don)

Symbole : qui fait sens pour tout le monde, signe de reconnaissance (reconnaitre qu’on appartient au même groupe)

→ du grec « 6uV »

→ contraire du diabolique : ce qui désunit

Sémiotique : science des significations

• Toutes les sociétés sont constituées de symboles, de signes.

• Il y a opposition et rivalité entre l’individu et le groupe. Il faut comprendre se qu’il se passe lorsqu’il y a contact, rencontre entre des individus. ⇒ il y a une différence entre la sphère privée et la sphère publique (on ne se comporte pas de la même manière).

Que se passe-t-il lors de la rencontre ?

• La communication se fait lors d’une rencontre, d’une mise en relation.

Lorsqu’on est avec une personne que le connait pas, il y a un conduite d’évitement.

Dans un espace public, nous sommes libre d’être avec qui on veut. Mais dans un espace confiné (ex : dans un ascenseur), la présence de l’individu étranger est une contrainte. Nous sommes soumis à sa présence. Donc pour éviter un contact (visuel ou autres) on commence à se préoccuper à tout ce qu’il se passe autour : on regarde notre téléphone, des affiches, etc.

⇒ comportement anxiogène.

• On ne

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