Assurance securiplus
Étude de cas : Assurance securiplus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar reg031 • 1 Juin 2017 • Étude de cas • 266 Mots (2 Pages) • 729 Vues
Question #1.
Assurances Sécuriplus est une société qui a adopté le principe de la division du travail en se basant sur la pensée de Smith, la division et la spécialisation du travail, en répartissant les activités de l’entreprise sous trois divisions (vie, industrielle et médicale). Chaque division avait sa propre spécialité. La division vie vendait des assurances-vie, qui étaient venduesprincipalement aux particuliers. Elle représentait 50% des revenus de primes de l’entreprise. La division industrielle vendait des polices assurances-accident, invalidité à long terme et maladie. Ces assurances agissaient comme avantages-sociaux auprès des employés des organisations qui les achetaient. Elle représentait 20% des revenus de primes. Finalement, la division médicale vendait des plansd’assurances médicament et dentaire. Elle représentait 30% des revenus de primes. Chaque division était gérée comme des entités virtuellement indépendantes. Elles avaient toutes leurs propres directions : équipe de vente, service administratif et son personnel de bureau. Le fait de diviser ces différentes divisions, permet d’avoir des employés spécialisés pour chacune des tâches.
Lorsque nousportons attention à l’organigramme de la division médicale (figure 1), nous pouvons constater la double vision du travail: le directeur de la division médicale au sommet, suivi vers le bas, de quatre directions différentes (services administratifs, ventes, réclamations médicaments, réclamations soins dentaires) qui ont a diriger chacune leurs employés ce qui permet la réalisation des objectifs. « Lapensée taylorienne repose, entre autres, sur la division verticale du travail entre personnes qui conçoivent et celle qui l’exécutent. Ce type d’organigramme nous démontre le principe de l’organisation scientifique du travail. » (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.37).
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