STAPS la psychologie clinique
Cours : STAPS la psychologie clinique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Salah Belrai • 26 Septembre 2019 • Cours • 992 Mots (4 Pages) • 587 Vues
La psycho physiologie
Lors de ce TD de psychologie, nous devions à travers deux extrais de revus, répondre à quelques questions sur la thématique du cortex frontal et plus général, la psychophysiologie ou clinique. En antiquité déjà, un grand médecin grec Galien avait émis l’hypothèse que le cerveau et la motricité étaient lier, aujourd’hui nous savons que cette hypothèse est vraie, à partir de ce constat, nous avons étudier le cortex frontal, et ce que pourrai arrivé si cette zone du cerveau venait à être endommager. D’après l’étude parut dans « Nature Neuroscience » en 2009, les facteurs de motivation influence la prise de décisions grâces aux facteurs cognitifs.
Nous avons donc étudié les lobes préfrontaux et leurs implications au travers de cas clinique, c’est-à-dire, de personne ayant un dysfonctionnement du cerveau, et suite à l’étude de cas de Madame R et de Monsieur T nous avons pu noter qu’il n’y avait en apparence aucun problème ni déficit physique (paralysie ou trouble physique) mais en revanche l’apparition de trouble important de la personnalité qui ont des impacts sur les émotions et l’intellect.
Gerald Edelman dans « biologie de la conscience » nous dit que « le cortex préfrontal est l’un des principaux exemple de centre conceptuel cérébral » c’est-à-dire que c’est à cette zone même que nous formons des concept qui nous permettent de nous adapter, de réagir et d’interagir avec notre environnement ; le cortex préfrontal a donc une fonction organisatrice qui planifie l’action et régule les émotions, l’exemple le plus concret est celui de la motivation qu’on peut devisé en deux parties qui sont la motivation intrinsèque (lorsque l’envie de faire quelque chose est issu de notre propre volonté) et la motivation extrinsèque (lorsque l’environnement nous pousse à agir).
Selon le dictionnaire Larousse, un cortex est une partie périphérique des hémisphères cérébraux, ou siège les fonctions nerveuses les plus élaborées telles que le mouvement volontaire et la conscience.
Le cortex préfrontal est la partie la plus évoluée du cerveau, et la partie antérieure du cortex du lobe frontal. La croissance du cortex préfrontal s’effectue doucement chez l’enfant et elle est déterminée par leurs interactions avec l’environnement social. Le cortex est, en autre, associé au jugement intuitif et à l’humeur car il est étroitement relié au système limbique, siège des émotions. C’est le développement considérable de cette région qui distingue l’être humain des animaux.
Les liens entre le cortex préfrontal et les émotions sont visibles par lobes préfrontaux qui jouent un rôle un rôle déterminant dans trois domaines : la mémoire et la gestion de la planification, la programmation et le contrôle de l'action et également la gestion de l'émotion. Les médecins ont démontré en s'appuyant sur le cas de Phineas GAGE que la lésion des lobes préfrontaux entraînait un changement surprenant de personnalité. Une partie du cerveau préfrontal peut être détruit sans altérer les fonctions de base mais en provoquant des changements dans le comportement comme la perturbation de la conduite émotionnelle. Pour Monsieur T, il y a un rejet affectif, une indifférence totale, Il ne se rend plus compte des conséquences parfois désastreuses, ses réponses à la douleur sont diminuées alors même qu'il la ressent. Comme monsieur Gage ou monsieur T, tous les autres patients atteint d'une dégénérescence ou d'une lésion touchant les lobes préfrontaux ont ces symptômes ; en effet, la présentation d'images émotionnelles n'est plus éprouvante et les laissent impassibles, ils n'éprouvent plus rien et sont devenus « froids ».
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