Psychologie cognitive.

Conception psychologique actuelle de la pensée Mercredi 18/01/2017

(rattrapage du premier cours du lundi 16/01/2017 )

Séance 1 ( deuxième partie) 

Psychologie clinique

Freud travaille sur la question de la paralysie qui on une cause organique et/ ou une  incapacité de pense ou représenter une partie de son corps= altération de la représentation

Idée précise que les mots agissent sur les maux.  Comprendre un symptôme ne veut pas dire pour lui que ça va le soigner. Du cote du médical c'est nécessaire que le savoir est du coté le praticien.

La différence forte entre la définition du symptôme vu par une approche clinique  et l'approche psychanalytique on va pas parle du même symptôme  santé pas même symptôme que psychanalytique . Du cote de la clinique psychanalytique y a un symptôme de que le sujet parle, le symptôme et dans la parole du sujet et faut le prendre comme eu point fort de la différence du symptôme de la santé et psychanalytique c'est le même terme mais pas la même chose et la question du soin ne va pas non plus être le même

autre point de différence Lagache ( fonde la psy clinique comme discipline universitaire ) il explique comment l psy clinique va être un meltipot de toute les théories qui existe on est pas loin du préalable de la psychologie intégrative il propose des but de la psy clinique expliquant que celle ci en s’intéressant a l'interaction doit avoir 3 but :  conseiller, guérir, éduquer et rééduquer .

Pour avancer ça , ca suppose que on a une idée de ce qu'est l'individu de ce que doit être une maladie  ( george gardihem, le normal et le pathologique ) qu'est ce que les pathologique

autre philosophe michel foucault parle aussi de ca et explique que les rapport sexuel qui sont véhiculés dans la société.  (Naissance de la clinique, foucault )

Le symptôme  (résistance (s'oppose a l'existant)  selon Freud) ne sera pas étudier de la même façon  ( éradiquer d'un coté)  

pulsion ressurgit même si on la calcule pas elle doit sortir obligatoirement mais peut être sous une autre forme )  ( la clope )

le symptôme doit être constater objectivement, peut être vu par des outils = symptôme objective par des trucs clinique vu par des examens. Subjectif ( angoisse à peut être un signal : signe prémonitoire d'une maladie, affection ou état / état morbide( mauvaise santé)  => guérison passe par la disparition de cet état. Un symptôme peut être refoulé ou déplacé . Le conditionnement fait partie le symptôme a la surface mais ça veut pas dire qu'il est  partie . Le symptôme = conflit inconscient qui donne naissance a un compromis ( = symptôme = entre une désir refoulé et une exigence refoulante.

Phobie des cheveux = a l'origine du symptôme c'est la crainte qu'il éprouve  l’égard de son père et qu'il ressent auprès de sa mère mais ce qui ressort c'est la crainte de son père ( complexe d’œdipe)  tendresse de sa mère et crainte de son père ça va être refoulé et renvoyé dans l'inconscient car c'est trop complexe pour le sujet et a la place ce qui apparaît c'est la phobie des cheveux c'est l'expression du conflit , il fait un lien entre le cheval et le père ( Freud du travail dans la représentation de l'inconscient

il en parle dans psychopathologie de la vie quotidienne

symptôme = certain signe d'un certain nombre d'association  = représentation ( affect et d'une représentation )

Psycho clinique : processus inconscient

symptôme : pour Lacant du coté analytique le symptôme c'est le mutisme sur le sujet parlant c'est quand on ne pas dire ce qui se passe vraiment . C'est plutôt quand le sujet ne parvient pas a dire quelque chose ( le cas du Hans ( chevaux ))

normal et pathologique : la conception du normale et du pathologique approche épistémologique. Du cote de l'approche psychanalytique, le normal et la pathologie pas de différence intrasecte  ( l’hypocondriaque dans le médical, un sujet existe a travers la maladie , la pathologie )

quel est le symptôme que le sujet façonne pour faire reconnaître son existence.

On peu chercher des signes dans l'observation et la parole du patient

Dora ( faire recherche c'est une patiente de Freud) y a des symptôme dans la parole de Dora et y a des trou elle arrive pas a parlait de certain moment de sa vie

si il  y a des symptôme observable et dans la parole on peut voir que ce dont le patient se plaint le médecin ne voit pas les même symptôme, on interprète le symptôme quand on est pas avec le patient ou c'est le patient qui nous donne ses symptôme. C'est le clinicien qui doit faire avec le langage du patient qu'il rencontre. Freud disait que il s'agit pour nous de prendre les délires des malades mentaux comme des communications sans les soumettre aux exigence de la pensé normale.

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