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LES TECHNIQUES DU COACHING OU COMMENT CONNAITRE, RESPECTER ET AIMER LES AUTRES

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Par   •  2 Septembre 2020  •  Dissertation  •  1 562 Mots (7 Pages)  •  652 Vues

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OU COMMENT CONNAITRE, RESPECTER ET AIMER LES AUTRES

        Etant donné qu’il sera aussi mon 1 er client, je vois un accueil simple, enthousiaste, dans un esprit et un visuel confiant à pouvoir l’aider ou faire en sorte que cela puisse se faire.

        Je lui proposerai de s’assoir où il lui convient et où il se sent le mieux, aussi bien sur un canaper, qu’un fauteuil ou tout simplement sur une chaise.

Puis je m’installerai face a lui en évitant toutes « barrières »  entre nous comme un bureau ou une table par exemple.

Garder un acte simple de lui a moi sans qu’un stress ou un enfermement claustrophobe puisse s’installer, garder plutôt l’esprit d’un endroit libre et ouvert.

Je continuerais en lui proposant quelque chose à boire puis le questionnerai à ce moment-là sur le fait du pourquoi être venu jusqu’à moi, qu’il m’expose son ou ses soucis, ses angoisses, ses questionnements, ses hésitations ou tout simplement en quoi je pourrais l’aider et le guider.

        Après avoir entendu le récit de l’exercice je pense que pour pouvoir calmer sa peur d’un nouvel échec il faudrait commencer par valoriser ses points fort, le fait qu’il en soit déjà arrivé là dans sa carrière tout en lui rappelant qu’il faudrait utiliser ces points forts comme il l’a fait pour en arriver là.

        Et je pense que lui dire que s’être donné un nouveau but qui le fera avancer ou qu’il l’épanouira peut-être dans sa vie est une bonne chose, que rien n’est impossible et qu’il faut juste pouvoir s’en donner les moyens et toutes les possibilités qui peuvent s’offrir a lui.

Et que moi, je vais être là pour lui, pour avancer ensemble, pouvoir travailler sur son projet et créer ensemble un schéma qui pourra l’aider dans cette nouvelle épreuve.

        Je lui demanderai aussi quand aura lieu son épreuve et voir le temps que cela nous laisse pourquoi pas envisager, par la suite, planifier plusieurs séances si le besoin s’en fait ressentir.

        Je lui ferai comprendre aussi que cela reste avant tout un travail personnel et que moi je suis là pour le soutenir, l’aider à avancer et trouver les bonnes pistes pour ça.

Que cela peut prendre du temps mais qu’il ne faut pas se décourager et qu’il faut s’imposer une certaine rigueur a venir aux séances, aux heures dite c’est déjà un minimum et qu’au-delà de l’aide apporté en séance, un travail sur lui ou de petits exercices personnel de tous les jours est aussi a faire mais que je reste là pour l’épauler et le guider.

        Puis voir à se poser des questions à ce qu’il voit comme un problème, comme :

        Pourquoi ressent-il cette angoisse ?

        Comment voit-il l’idée que je puisse l’aider ?

        Savoir si au-delà de ses angoisses, il pense connaitre son sujet d’oral ?

        S’il voit ses derniers échecs comme de réels échecs et pas une remise en question ?

        Si pour lui l’échec est une vraie souffrance ?

        Savoir pourquoi son angoisse arrive maintenant après tout le chemin déjà fais professionnellement ?

        Je pense que d’écrire ces questions, qu’elle soit visible sur papier peut déjà aider son esprit à visualiser les choses.

        A partir de là, cela donnera un sens plus ciblé a la séance et on pourra voir ensemble comment créer un schéma de travail et de possibilités.

        Le fait d’échecs à du le démoraliser ou le toucher dans sa confiance en lui et donc avant même de pouvoir analyser et travailler sur ses angoisses je pense que le mieux dans un premier temps est de lui redonner une estime de soi et une dynamique qui le feront avancer sur la suite.

        Toujours dans l’état d’esprit de le remotiver à se retrouver, je vois dans l’idée de penser positivement dans la discussion, de lui conseiller une posture corporelle droite, une tête haute mais sans être d’apparence strict, justement avoir comme une aisance du corp détendu, sans pression sur les épaules et penser à toutes les choses joyeuses qu’il a pu vivre et qu’il vivra par la suite.

        Et essayer de faire cela le plus souvent possible et de garder en tête que dés le matin au réveil il y pense et garder le fait qu’il est quelqu’un de bien avec pleins de réussite dans sa vie, ça sera déjà une première piste pour qu’il sente bien et lui donner du courage et plus d’estime.

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