Stages service de soins post-opératoires et de rééducation
Rapport de stage : Stages service de soins post-opératoires et de rééducation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 13 Juin 2013 • Rapport de stage • 1 983 Mots (8 Pages) • 1 077 Vues
Introduction
Je vais vous parlez d'une situation que j'ai vécu lors de mon quatrième stage que j’ai effectué en service de Soins de Suite et de Réadaptation. Il s'agit d'une situation, pour laquelle je n'ai pas été en capacité d'aider un patient autant que je l'aurai voulu. Mr B et où je me suis trouvé confronté à une famille qui s’inquiétait. Je vais dans un premier temps vous décrire la situation. Dans un second temps je vais l'analyser.
Description de la situation
Cela s'est passer le Mardi 9 Avril 2013. Il était au environ 10h30. La matiné s’était déroulé comme à son habitude, on avait relevé les températures et tensions artérielles des patients, servi les petits déjeuner et effectués plusieurs toilettes. Il me restait une toilette au lavabo à faire. Il me fallait prendre en charge Mr B qui avait 75 ans. Ce monsieur était une personne plutôt grande et imposante, les cheveux blanc, les yeux marrons. Mr B était admis dans ce service après un passage en service de médecine pour des acouphènes , des visions et des troubles du rythme. Les transmissions de la veille m'avaient appris que sa femme était décédée il y a quelques mois. Suite à ce drame et ces problèmes de santé qui ce sont enchaînés, Mr B avait été hospitalisé a plusieurs reprises en service de médecine. Ce patient était mal entendant , ce qui rendait la communication difficile. Il avait été aussi dit que lors de présence d’acouphènes et de visions il fallait l'occuper pour lui faire penser à autre chose et voir si les acouphènes et les visions s'atténuaient.
Je suis allé au chariot de soin, j'ai pris le matériels nécessaire pour effectuer la toilette au lavabo de Mr B. J'ai frapper à la porte de sa chambre et je suis rentré. Mr B occupait une chambre simple, à l'entrée de sa chambre, à droite se trouvait la salle de bain , en face de la porte contre le mur se trouvait une table et une chaise contre la mur a gauche. Le lit, le fauteuil et l'adaptable se situé du coté de la fenêtre contre le lit et de l'autre coté du lit il y avait une table de chevet et un placard.
Lorsque je suis rentré dans la chambre j'ai vu l'homme assis sur la chaise en face la porte. Je lui dit « Bonjour ». Je me suis approché et j'ai vu une femme assise sur le lit a droite de Mr B.
Le regard de la femme était tourné vers Mr B, elle avait l'air inquiète. Elle m'a regardé et m'a dit « ça va pas ! » . Cette femme était la fille unique de Mr B. Suite a ce que sa fille vient de me dire, je me suis avancé a coté de Mr B et j'ai vu qu'il avait les yeux fermés et il se bouchait les oreilles.
J'ai pausé ma main sur son épaule gauche, il s'est retourné, il n'avait pas encore vu que j’étais rentré et je lui ai demandé en articulant « ça va pas Monsieur? ». Il m'a répondu : « non ça bourdonne, ça bourdonne, ça n’arrête pas ». Il avait les larmes aux yeux tant sa le faisait souffrir. Je suis donc aller voir l’infirmière, pour savoir si elle pouvait lui donner quelque chose pour faire passer ses « bourdonnements ».
L’infirmière préparait les médicaments, je lui ai dit : « Excuse moi, Mr B me dit qu'il a des « bourdonnements » , est ce que tu peux donner quelque chose pour le soulager ? ». Elle m'a répondu qu'elle était au courant car elle venait de passer dans sa chambre 10 minutes juste avant moi,et qu'elle lui avait donné un médicament pour le calmer. Il fallait attendre un peu que ça face effet. Je suis retourné au coté de Mr B pour lui répéter ce que l'IDE m'avait dit.
J'ai frapper à la porte, je suis rentré et je me suis approché a nouveau à coté de Mr B pour lui expliquer qu'il fallait patienter quelques minutes encore. Je me suis positionné de façon a ce qu'il puisse lire sur mes lèvres et je lui ai expliqué : « Mr B, l’infirmière est venu tout a l'heure et elle vous a donné un calmant contre vos « Bourdonnements ». Vous devez patienter encore un peu pour que cela face effet ». Il a tourné sa tête sur le coté droit. Je me suis redressé et sa fille m'a dit « vous savez c'est pas facile de voir son père comme ça » il y a eu un temps de silence nous sommes tout les deux restés statiques, sans voies pendant quelques secondes. Sa fille me dit : « Vous savez, j'ai pas l'habitude de le voir comme ça mon père s'est pas quelqu'un qui pleure ».Je ne savais pas quoi répondre, ni comment la rassurer. Je lui ai simplement dit :« je vous comprend, sa ne doit pas être facile de voir comme sa. Mais on est la pour vous aidez». Il y a eu a nouveau un moment de silence et nos regard se sont tournés vers Mr B qui avait toujours sa tête tourné sur son coté droit , il se bouchait toujours les oreilles. Ne savant pas comment faire j'ai dit à la fille que je repassais dans un instant et quelle nous appelles en cas de problèmes.
Je suis aller chercher l’infirmière, mais occupée, elle n'a pas pu répondre à mes questions. J'ai donc patienté quelques instants, environ 5 minutes, durant lesquelles je me suis souvenu de se qui avait été dit lors des transmissions des jours précédent : occuper Mr B pour le faire penser a autre chose. Je suis donc retourné allé voir le patient.
J'ai frapper à la porte, je me suis approché de lui et j'ai posé ma main sur son épaule. Il c'est retourné vers moi et je lui ai dit : « est ce que cela commence à aller mieux ? » il a répondu « un peu » j'ai repris : « je voulais vous faire la toilette vous vous sentez prêt où vous préférez attendre encore un peu ?» Il m'a répondu : « Je préfère encore attendre un peu, dans 5 minutes. » J'ai fais oui de la tète et ai dit en articulant « Je reviens dans 5 minutes » j'ai regardé dans la salle de bain si il y avait tout le matériels nécessaire et je suis sorti. Je suis allé remplir le chariot de linge.
Quelques minutes après je suis retourner voir Mr B.
J'ai frapper a la porte, je suis rentré et quand Mr B m'a vu arrivé il s'est
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