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Psychologie de la communication

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Par   •  11 Février 2013  •  Cours  •  1 066 Mots (5 Pages)  •  1 156 Vues

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Psychosociologie de la communication :

L'influence sociale : l'obéissance ou la soumission à l'autorité ( Exp. Stanley Milgram) :

Elle pose deux questions fondamentales :

• qu'est ce que l'Homme ?

• Qu'est ce qui le détermine ?

Anna Harent pense que leur personnalité est moins importante que la situation.

E F A : Erreur Fondamentale Attribution.

/> Attribution causale

Chaque comportement à une cause. ( lien de la cause à l'effet).

Pour n'importe quel comportement, il y a différent facteurs de causalité :

• dispositionnels : identité d'une personne.

• Situationnels

E F A : c'est surestimé le poids des facteurs dispostionnels face aux facteurs situationnels.

Milgram pense que n'importe qui mis dans des conditions particulières peut torturer à mort quelqu'un. ( la situation l'emporte sur la personnalité).

Procédure de Milgram : 1960

• Les sujets sont des hommes recrutés par petite annonce dans la presse locale.

• Participation à une recherche sur l'apprentissage/mémorisation

• Sélectionnés en fonction de l'âge et niveau socio-culturel

• Convoqués par l'équipe de 2 à l'Université de Yale :

- Parmi les sujets convoqués : un sujet « naïf » et un « complice »

- Le tirage au sort est truqué : le sujet naîf aura le rôle du « professeur » ( infligé à l'autre un choc électrique au cours de la tâche d'apprentissage).

• Un générateur électrique allant de 15 à 450 volts.

• On demande au sujet naïf d'infliger le choc électrique à chaque mauvaise réponse.

Attention : les chocs électriques sont fictifs. ( la personne sur la chaise, le complice, joue son rôle).

Il est demander au sujet naïf d'augmenter l'intensité des chocs à chaque mauvaise réponse d'au moins volts.

• A partir de 75 volts : le complice gémit.

• A 120 volts : il crie que c'est douloureux.

• A 135 volts : il hurle.

• A 150 volts : il refuse de continuer l'expérience. ( si le naîf continue = torture).

• A 180 volts : il crie qu'il ne peut plus supporter.

• A 270 volts : il crie d'agonie.

• A 300 volts : il ne répond plus aux questions.

Incitations à poursuivre l'expérience : 4 niveaux d'injonction :

1) « continuez s'il vous plait, je vous prie de continuez »

2) « l'expérience exige que vous continuez »

3) « il est obsolument indispensable que vous continuez »

4) vous n'avez pas le choix, vous devez continuez »

( Si le sujet refuse d'obéir à la suite de la 4ième injonction, l'expérience prend fin : les quatres injonctions doivent être à la suite ).

2 mesures :

• Le choc électrique moyen auquel les sujets naïfs refusent de continuer l'expérience ( malgré les quatres injonctions)

• le pourcentage de sujet qui obéissent jusqu'au bout ( 450 volts) malgré les supplications de la « victime ».

Résultat :

• 2 personnes sur 3 qui ont obéit jusqu'au bout. ( 450 volts).

• En moyenne , on est a 82 volts.

A partir de 315 volts : 65 % des naîfs continuent jusqu'au bout. ( homme ou femme)

En l'absence de l'expérimenttateur, on descend à 20 % (275%)

L'expérience rélaisée hors de l'université : 47,5% ( 315volts)

Le sujet naïf a le choix du niveau de choc : 2,5% 82 volts.

/< Le fait de lui laissé une petite liberté, cela amène les individus à refuser de

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