Psychologie Générale : l'introspection
Cours : Psychologie Générale : l'introspection. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Melanie Millet • 8 Juin 2020 • Cours • 664 Mots (3 Pages) • 2 107 Vues
1- Après avoir défini l’introspection, vous exposerez son principal inconvénient.
L’introspection, c’est l’étude de la conscience par elle-même.
Le principal inconvénient de l’introspection est que c’est une méthode qui reste critiqué. Selon Bergson, pour qui le système repose sur l’intuition, l’introspection ne peut pas représentée une observation exacte car il faudrait que le sujet qui observe et l’objet qui est observé soient bien distincts l’un de l’autre.
2- Définissez la conjecture.
La conjecture se définit comme une opinion qui est fondée sur les apparences et sur les probabilités.
3- Pourquoi dit-on que le souvenir est à la fois plus pauvre et plus riche que ce qui a été vécu ?
On dit que le souvenir est à la fois plus pauvre et plus riche que ce qui a été vécu parce que le souvenir est plus pauvre car il perd un peu de sa précision, il peut être déformé et le sentiment de certitude n’est plus forcément garanti.
Mais le souvenir peut être aussi plus riche de ce qui a été vécu car l’avenir se projette sur le passé. L’introspection devient alors la rétrospection (action de regarder dans le passé) puisque le souvenir permettrait de faire une distinction entre le sujet et l’objet. Cela représente quelque chose d’accompli qui ne peut pas être remodifier par la suite par le sujet.
4- Après avoir défini l’analogie, expliquez, en donnant des exemples concrets, la méthode analogique de la psychologie en deuxième personne.
L’analogie se définit comme un rapport, une ressemblance d’une chose avec une autre.
La psychologie en deuxième personne n’a pas forcément besoin d’un raisonnement car nous pouvons comprendre intuitivement ce que l’autre vit quand un lien affectif existe. Quand on observe autrui, on peut comprendre ce qu’il ressent par exemple quand il est stressé, triste, nous allons pouvoir le deviner par ses gestes ou attitudes.
La vraie analogie voudrait elle que l’on remarque cela par des signes (rougeurs, sueurs) alors que parfois ce n’est pas nécessaire. L’analogie a donc des limites en tant que réalité psychologique.
5- Quelle est la conception de Scheler sur la vraie pitié ?
La conception de la pitié selon Max Scheler est que la sympathie serait une authentique connaissance d’autrui et il l’oppose à la contagion affective.
Pour lui, la vraie pitié est une sympathie authentique et que c’est tout autre chose.
Si nous avons pitié, c’est parce qu’on compatit et non parce que nous vivons la même situation. La sympathie dépasse la réalité car il n’est pas nécessaire de vivre des émotions et des situations pour les comprendre et compatir.
6- Partagez-vous ce point de vue ? Justifiez votre réponse (environ 10 lignes).
La vision de Max Scheler me parait plutôt vraie car elle
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