La psychologie cognitive
Résumé : La psychologie cognitive. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mebe021 • 21 Avril 2022 • Résumé • 3 024 Mots (13 Pages) • 424 Vues
CHAPITRE 1
QUESTION #1
Afin de répondre à la question, pour moi l’idée que je me suis fait sur la psychologie cognitive était en grande partie la matière sur la mémoire. Je pensais que le cours parlerait des principales approches concernant la mémoire. Le sujet m’intéressait avant tout. Par contre à la suite de l’introduction, j’ai compris que le cours parlerait de plusieurs notions, tel que la mémoire mais plus précisément sur la mémoire à court et long terme. Ainsi, l’approche du traitement de l’information, l’évolution de la psychologie cognitive, les relations entre la cognition et les autres domaines, ainsi que l’organisation de ce livre seront également vue dans ce cours. Nous pouvons également retrouver plusieurs études de cas concernant la recherche d’expert. Aussi, nous retrouverons beaucoup d’exemple qui seront à l’appui pour chaque explication donnée. Voici une phrase écrite par Ulric Neisser (1967) à la page de l’introduction. Cette courte phrase nous donne un bref résumé du sujet qui sera abordé.
« La psychologie cognitive concerne tous les processus par lesquels l’input est transformé, réduit, élaboré. Stocké, retrouvé et utilisé. «
La psychologie cognitive est d’identifier et décrire le processus nécessaires à la réalisation de toutes les tâches auxquelles nous sommes confrontés et qui impliquent des activités mentales comme la perception, l’attention, la mémorisation, le raisonnement, la résolution de problème, par exemple.
Alors pour répondre à votre question voici la différence entre Neisser et moi concernant le cours sur la psychologie cognitive.
CHAPITRE 2
QUESTION # 4
L’expérience de Philipps en 1974 au sujet de caractéristiques présumées du registre sensoriel, nous apprend que selon les théories des gabarits, les formes ne sont absolument pas « décrites ». (p. 34)Mais bien plutôt, les gabarits sont des entités holistiques ou non analysées que nous comparons avec d’autres formes, en évaluant dans qu’elle mesure les formes se recouvrent. (P. 34) Une interprétation du registre sensoriel est présentée très clairement par lui dans l’une de ses expériences.
En voici un extrait : Les sujets voyaient des formes réalisées par un remplissage aléatoire des cellules d’une matrice carrée. La première forme était présentée durant 1 seconde et était suivie, après un intervalle de temps variables, par une forme, soit identique, soit similaire. La tâche du sujet consistait à décider aussi vite que possible si les deux formes étaient les mêmes ou si elles étaient différentes. Nous pouvons constater le résultat par ceci : L’intervalle interstimulus- le temps écoulé entre les deux formes - était de 20, 60, 100,300 ou 600 secondes. Lorsque les deux formes étaient présentées aux mêmes endroits, la précision diminuait à mesure que l’intervalle interstimulus augmentait. Ce résultat suggère que les sujets utilisaient un registre sensoriel se dégradent rapidement.
Pour répondre à la question, l’image sensoriel se dit une partie de la mémoire qui, le temps d’une fraction de secondaire, conserve l’information sensorielle non analysée, permettant ainsi un éventuel examen après la fin de l’excitation physique par un stimulus. (p :424)
Donc sensoriel pour : Les sens (toucher, sentir, odorat)
Tandis que l’image visuel, ce dit par un registre sensoriel maintient l’information visuelle durant environ un quart de seconde. (p. 424)
Visuel pour : Image mentale, voir quelque chose (objet, être vivant, ou un concept, par exemple.
QUESTION #6
Tout d’abord, les théories des traits sont cependant très générales et peuvent être utilisées pour de nombreuses formes dont les visages. (p.38) Les traits tels le nez, les yeux ou la bouche sont utilisée comme descriptifs commun, cependant plusieurs variables existent rendent la tâche plus complexe que de simple ligne ou courbes, c’est donc des traits complexes. (p.39) Les traits de bas niveau permettent de distinguer entre les différents types d’un même traits de bas niveau permettant de distinguer entre les différents types d’un même trait complexe, comme lorsque l’on décrit le sourire d’Angelina Jolie en tant que combinaison particulière de courbe, par exemple. (p 39)
Les traits distinctifs selon la connaissance que nous avons des autres ethnies aident à distinguer les visages.
CHAPITRE 3
QUESTION #3
En fait, la théorie du filtre élaborée par Broadbent précise que ce goulot opère, soit au niveau de l’étape de la perception, soit au niveau de la reconnaissance; quant à l’attention, elle est représentée par un filtre précédant chacune de ces deux étapes.
Treisman lui a modifié la théorie du filtre de façon à ce que celle-ci tienne compte de la reconnaissance occasionnelle de mots en provenance d’un canal ignoré, sans toutefois le rejeter complètement.
Les mots importants, ainsi que ceux qui sont attendus, peuvent donc être reconnus à partir du canal ignoré, à condition que leur seuil soit suffisamment bas pour être atteint par le message ignoré. (p. 84)
QUESTION #7
Afin de répondre à la question, je vous répondrai que les théories de la capacité portent sur la quantité d’effort mental nécessaire pour réaliser une tâche. La capacité est donc l’effort mental. (p. 68) Des activités mentales différentes demandent des quantités d’attention différentes; certaines se contentent d’un petit effort mental, d’autres nécessitent plus d’effort. Lorsque l’apport d’attention est insuffisant le niveau de la performance diminue. (p.69) Le niveau d’activation peut -être contrôlé en retour par les tentatives de satisfaire les exigeantes des activités en cours; ceci pour autant que l’ensemble des exigences n’excède pas la limite de la capacité. Le choix des activités à favoriser est influencé à la fois par des dispositions permanentes et par des intentions temporaires. (p.69)Les dispositions permanentes reflètent les règles de l’attention involontaire. Les intentions temporaires reflètent nos objectifs spécifiques, c’est – à –dire les objectifs que nous avons à un moment donné. (p. 69) L’interaction entre attentions volontaire et involontaire est démontrée par des résultats. Par exemple : Si l’indice du haut
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