L’intérêt de la psychanalyse
Commentaire de texte : L’intérêt de la psychanalyse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Cannelle Hovelaque • 25 Janvier 2017 • Commentaire de texte • 1 846 Mots (8 Pages) • 4 386 Vues
Le philosophe Freud, écrit un texte sur l’intérêt de la psychanalyse. Il y critique a l'intérieur les méthodes de l’éducation. Certaines croient détruire les pulsions qui s’expriment chez l’enfant. Freud exprime les méthodes, telles que la canalisation, la redirection de ses pulsions vers d’autres formes,pour qu'elle puissent être moins sauvage et plus conforme dans la société humaine.
Freud affirme grâce a la première phrase que l'éducation par répression du désir est pour lui inefficace. " Une violente répression d'instincts puissants exercés de l'extérieur n'apporte jamais pour résultat l'extinction ou la domination de ceux-ci ". Il juge qu’il est impossible d’empêcher un instinct nature, et que l'Homme, est mené par des nécessités corporelles innées telles que la reproduction, la protection de soi, et cela par la violence si nécessaire, afin d’assurer la survie de l’espèce. Ces besoins apparaissent généralement sous l'aspect de désirs et de pulsions, et l’individu va vouloir se calmer en les exprimant. Tout homme va se libérer de son excitation par un acte sexuel ou par un acte de violence quelconque tel qu'un viol ou bien un meurtre. Ces pulsions sexuelles ou agressives sont perçuent comme étant inconvenant pour tout être humain vivant en société, le respect des autres et la dignité sont des principes inconditionnels. Ces désirs, arrivant dès le plus jeune âge, c’est dès la naissance qu’un individu est entouré et éduqué. La première des réactions qu’un éducateur aura face à l’expression d’une pulsion sera de la réprimer, c'est-à-dire de punir l’individu, de lui crier dessus,et de lui faire la « morale », parfois, l'éducateur en vient au mains. L’individu en question se rend alors compte de son erreur et se retiendra de ne plus céder à ce désir. Mais, ce désir ne se supprimera pas, contrairement à ce que pensent certaines personnes. Un désir est récurent, même quand celui ci est satisfait lorsqu'il parvient a le faire, après un certain temps, l'envie se manifestera de nouveau. On ne pourra jamais dominer les instincts d'individu, sauf si l'éducation par la violence en vient a la mort.
Néanmoins, Freud critique une méthode que pratiquement tout le monde utilise. Il est vrai que toute violence est déconseillée, et souvent même interdite. Cependant, les caprices sont des désirs comme beaucoup d’autres. Céder à tous les caprices des enfants n'est pas pour le moins une bonne façon d'éduquer. Mais, beaucoup de personne on suivit une éducation qui réprime certaines pulsions et n’ont pas eut de souci lié à leur éducation lorsqu'ils grandissaient. Certaines personnes sont plus impulsives que d’autres, ainsi, on ne peut généraliser une méthode éducative comme étant universellement efficace ou non.
Freud met en avant la psychanalyse afin de montrer que la méthode répressive n’est pas seulement inefficace, mais aussi néfaste. Il dit je cite, " La psychanalyse a souvent eu l'occasion d'apprendre à quel point la sévérité indubitablement sans discernement de l'éducation participe à la production de la maladie nerveuse ". La « psychanalyse » est une science inventée par Freud, et vise l’étude du psychisme, c’est-à-dire au conscient et à l’inconscient des individus : la conscience est pour lui la capacité de percevoir le monde et de se percevoir soi-même. L’inconscient constitue tous ce qui est en nous et tout ce qui échappe à la conscience, tout ce dont on ne se rend pas vraiment compte. Freud affirme cela et crée un lien entre l’éducation et le psychisme. Selon lui, le psychisme est structuré par trois entités majeures en interactions directes les unes avec les autres et avec la réalité même: tout d'abord, le « ça », qui représente les pulsions, les désirs et veut que chacun de ses désirs soit réalisé totalement et sans délai, puis le « sur-moi », qui est issu de l’intériorisation de l’éducation, des normes sociales et de l’image du père. Et pour finir le « moi » est la partie consciente de l’individu, en lien direct avec le principe de réalité.
Pour une bonne santé psychique, le « ça » et le « sur-moi » doivent être équilibré : une expression des pulsions mais dans le respect des valeurs sociales. Ici, Freud parle de la situation ou le « sur-moi » est en excès : l’apparition d’une maladie nerveuse est donc plus probable. Freud a alors fait l’observation clinique de bon nombre de malades hystériques (dites « hypocondriaques » ) et à remarquer, par exemple, que les individus à l’éducation religieuse, donc plus stricte à l’égard des pulsions, on plus de chance de tomber dans la névrose.
La cause est selon lui, le refoulement, qui est un mécanisme de défense inconscient du moi contre la souffrance qui consiste à repousser dans l'inconscient des représentations telles que des images et des souvenirs, qui sont généralement liés à une pulsion. Les idées gênantes pour l’individu sont alors « enfermées » dans la partie inconsciente du psychisme. Mais ceci étant toujours présent, les pulsions continuent à vouloir refaire surface. Le « moi » est alors en situation de malaise : il doit continuellement refouler ces idées là et peut donc finir par s’épuiser à un moment ou un autre. C’est ainsi que la névrose risque apparaitre. C’est là l’un des effets négatifs du refoulement (violent et constant) des pulsions. Freud déclare donc que cette « violente répression d’instincts puissants […] occasionne un refoulement qui installe la propension à entrer ultérieurement dans la névrose » Cependant, un individu névrosé, ne peut être inséré dans la société des hommes. C’est pourquoi une éducation qui réprimande les désirs du corps peut-être contre-productif.
La psychanalyse nous apprend aussi, « au prix de quel préjudice de la capacité d’agir et de la capacité de jouir, la normalité exigée est acquise ». Alors, même si aucune maladie
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