POL6020 politique social de la vieillesse
Dissertation : POL6020 politique social de la vieillesse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar thehammer • 13 Octobre 2015 • Dissertation • 2 572 Mots (11 Pages) • 1 380 Vues
Réflexion personnel
La politique Canadienne et Québécois ainsi que la politique de la vieillesse
Introduction
La vieillesse est inévitable, malheureusement la fontaine de jouvence n'existe pas et toues les inventions inimaginables ne pourront pas nous empêcher d'avancer en âge. Après cette constatation irréversible et dans tous les cas fatales, il nous reste que l'option de l'accepter. La retraite est donc seulement une étape dans notre vie occidentale, après avoir travaillé nous nous reposons enfin après toutes ses années de dur labeur.
Par contre je me pose plusieurs questions: Est-ce c'est vraiment le modèle humain et social de vie souhaitable? Est-ce que j'ai peur de la retraite? Comment prévoyons-nous la retraite et comment celle-ci va évoluer dans notre société futur? Ce sont des questions qui ne me passait pas par la tête avant le cour de politique sociale de la vieillesse. Ce cour ma permit d'étoffer ma conception de la vieillesse et de la voir dans un cadre politique et social plus complexe.
Dans ce court essais, qui fait suite au texte précédent produit au début de la session, je vais mettre en contexte mes réflexions ainsi que l'évolution de ma pensé face à la politique sociale de la vieillesse.
Évolution de ma réflexion et de mes positions
Contrairement à la majorité des étudiants du cour, je ne suis pas issu d'un programme de gérontologie. Je n'ai même jamais eu de cour touchant ce milieu donc cette matière m'était toute nouvelle. J'ai suivis un programme en technique de gestion au cégep pour ensuite me diriger en administration à l'université où j'ai suivit un certificat en administration publique et plusieurs cours économie. Je n'ai pas besoin d'expliquer mon dépaysement face au sujet par contre j'ai observé une différence face a mes points de vue et mon apprentissage. Le cour a pour objectif principal, je crois, d'inciter les étudiants en gérontologie à s'intéressé à la politique social mais dans mon cas je suis plutôt un étudiant en politique qui c'est finalement intéressé à la vieillesse. Le cour de politique sociale de la vieillesse n'a pas changé mon opinion sur la politique canadienne et québécoise déjà polarisé. Par contre il ma permis des réflexions et à développer un aspect qui m'était encore inconnu de l'organisme politique canadien.
Je crois toujours fermement qu'il y au palier gouvernemental de trop au Canada. Le modèle qui date de 1867 est pour ma part dépassé et une réorganisation est nécessaire. Le palier de gouvernement municipal très près de la population est incontestable et de loin le plus légitime, même s'il est aussi le pouvoir le moins puissant. Il y a aussi les paliers provincial et fédéral qui se disputent les pouvoirs principales au pays dont les plus importants revient au gouvernement central, le fédéral. La centralisation des pouvoirs est pour ma part négative car elle ne représente pas les populations distinctes qui compose le Canada et les valeurs de celle-ci. Les provinces par contre sont beaucoup plus près des individus et peuvent mieux répondre aux besoins demandé. Le gouvernement fédéral devrais disposer seulement de pouvoir de gestion de territoire, contrôle, émancipation de la population et défense national. Certain pouvoir fédéral comme la gestion des ponts n'ont pas lieux d'être et ne fait que compliquer la bureaucratie canadienne qui est déjà à mon avis beaucoup trop lourde. Est-ce que nous avons raté nôtre coup en tant que québécois en 1980 et 1995 d'affirmer notre nation et de changer la gestion de notre province? On ne le saura malheureusement jamais, mais sans n'avoir qu'une vision séparatiste de notre province, une réforme et une réorganisation des pouvoirs principaux nous permettrait sûrement une émancipation plus facile du Québec dans un Canada où les provinces sont par le fait même désunis.
Les politiques sociales de la vieillesse m'apparaissent maintenant plus complexe que lors de ma première réflexion. Je pensais que ces politiques était axés à l'entour du système de santé seulement et qu'elle se définissaient par ce système. Tout au fil du cour, j'ai découvert qu'il y avait beaucoup plus que cela, allant des systèmes d'hébergement jusqu'au programme de retraite, de soutien à domicile et des mesures humaines comme le programme "milieu de vie". Je voix qu'il y a bien plus que des mesures fiscales mais aussi des programmes pour aider et soutenir nos ainés. Je comprend qu'il y a encore beaucoup de lacune mais plusieurs bonnes intentions sont déjà là. Il a aussi toujours place à amélioration de la part de nos dirigeants et je suis certain que ces programme social vont aller qu'en s'améliorant.
La politique de la vieillesse au Québec
Comme élaboré lors du texte précédent la gestion des politique sociale de la vieillesse et les régimes de retraite devrait exclusivement venir de la province afin de maximiser la gestion ainsi que l'efficience et réduire la bureaucratie. Nous devrions bien sûr revoir notre gestion provinciale afin de réduire la corruption et les dépenses inutiles. Les impôts ne doivent pas seulement servir qu'à maintenir notre niveau de vie mais ils doivent aussi permettre l'amélioration constante de notre société. Il y a plusieurs politiques sociales qui ont été vu en classe et dont ma réflexion portera. La politique du soutien à domicile, la politique de l'hébergement, le travail, la retraite et les revenus des aînés ainsi que le logement social.
La politique du soutien à domicile
Avec l'hébergement hybride, je crois que le soutien à domicile et le soutien des proches aidants est la vois de l'avenir dans les politiques sociales de la vieillesse. Le soutien à domicile devrait être plus financé, il y a encore malheureusement plusieurs manques. Les CHSLD coutent trop cher et ne sont pas socialement intéressante pour les personnes âgés. Même avec des mesures comme l'orientation "milieu de vie" la meilleur solution est d'après moi de soutenir les ainés en manque d'autonomie ou qu'ils ont seulement besoin de soins.
Avec les mesures de soutien à domicile accrue et avec un vrai soutien des CLSC plusieurs personnes pourront vivre chez eu encore et ne pas se retrouver perturbé après être placé dans un centre. C'est une pierre deux coups car avec ces mesures de soutien le gouvernement réduit les problèmes sociaux lié CHSLD et permet une vieillesse plus agréable. Par contre le Québec est encore en arrière en se qui traite du soutien à domicile, selon les calculs, il devrait investir un 611 millions[1] de plus pour avoir un système efficient. Le virage commence à se faire et l'idée des CHSLD commence à être désuète.
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