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Journal de bord

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Par   •  14 Décembre 2018  •  Fiche  •  2 090 Mots (9 Pages)  •  570 Vues

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  1. Patronage politique

Référence :

BOMBARDIER, Denise (17 avril 2013). Patronage politique. Le Journal de Montréal. Récupéré de https://www.journaldemontreal.com/2013/04/17/patronage-politique

Résumé :

Le parti québécois a toujours été vus comme un parti modèle. C’est ce qu’on peut juger quand nous voyons la période de gouverne de René Lévesque. Il dénonçait toutes activités de patronage étant immoral, au point où lors des choix de postes à la fonction québécoise, Lévesque ne favorisait pas ses partisans à l’acquisition de ces postes. Dans l’article, Denise Bombardier, nous fait remarquer que le parti québécois, qui essaye tant de percevoir une image vertueuse au sein de la société et de la gouverne, n’est pas aussi irréprochable qui l’en a l’air. En fait, ceux qui dénonçait tant les autres partis de l’opposition, dont le parti libéral avec Jean Charest en tête pour ces activités de patronage qui l’a pu entreprendre lorsqu’il était chef au pouvoir, on prouvait qu’ils n’étaient pas mieux en pratiquant de même le patronage politique, De cela, l’auteure de l’article prend l’exemple qui illustre les actions de favoritisme au sein du parti québécois, Pauline Marois. Cette dernière a un parcours comme chef du gouvernement « teinté de patronage ». Des nominations qui ont renforcé des amitiés préétablies de la chef.

Ce que l’auteure tente d’expliquer est que les positions à la fonction ne doivent pas être destiner seulement à l’opposition pour ne pas être pointé du doigt pour avoir été accusé de favoritisme. C’est le comportement décevant du parti québécois qu’il entreprend en accusant tout autres partis qui pratiquent ce genre de nomination, mais dès qu’il est sujet de parler de leur parti, le PQ est selon eux-mêmes le parti qui ne dégage que de la vertu et que leurs nominations ont été choisis seulement par leurs compétences.

Le lien avec un concept étudié en cours :

Le terme abordé dans cet article est le concept du patronage politique tels qu’il a été expliquer en cours. Le patronage politique est le fait que des individus qui sont hors de la scène politique entretiennent des relations avec de haute figures de la politique, pour que « tous deux améliorent leurs moyens de pouvoir face à d’autres acteurs du système politique. » (Lemieux, 1977, 1990).  Dans le cas de la figure politique, sois un ministre par exemple, cette façon de faire l’aidera à dominer ses adversaires politique lors de la course au pouvoir. Par ce fait, il obtiendrait de l’argent, des votes, de l’information, etc. Alors que l’individu qui transige avec ce dernier, cherche dans son cas, « des postes dans la fonction publique, dans le cabinet de ministre ou dans l’entourage politique » (Lemieux 1977, 1990).  Dans la plupart des cas, des hauts postes de la fonction leur s’en donner, sans avoir l’expérience ou la capacité qui devrait être acquis. Et cela se fait par a bonne relation entretenue entre les deux.

Critique:

Nommer des individus à prendre place sur la place politique en ayant peu ou aucune capacité politiques est corrompt le système d’une façon. Il est vrai que Jean Charest est alloué des postes à certains, comme l’un des gestes de patronage qu’il entreprenait et la reproche des autres partis est justifié. Mais, c’est l’air audacieux que prend le Parti Québécois qui est toutefois dérangeant. Car, il est vrai que l’action de patronner est ma, mais c’est le fait d’y faire part et de nier toute nomination, de recruter des personnes dans leur cercle politique ou d’accepter de l’argent de ces derniers pour financer ses projets comme les élections qui est contrariant. Ne devrait-il pas avoir des mesures plus sévères pour limiter ces activités frauduleuses? Il est vrai que ce problème est connu partout dans le monde, mais est-ce que c’est le fait d’entreprendre ces actions c’est par peur de ne pas avoir les capacités d’être le premier ou la première ministre sans avoir à chercher des individus qui les supporterons leur donnerons plus de votes pour gagner en échange de passe pour une meilleure fonction, si ce ou cette dernière gagnerais?

  1. Conseil des ministres

Référence:

BOVET, Sébastien (11 octobre 2017). Philippe Couillard remanie en profondeur son Conseil des ministres. Radio-Canada. Récupéré de https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1060768/quebec-couillard-remaniement-ministre 

Résumé :

Le premier ministre du Québec, Philippe Couillard a amélioré son conseil des ministres en effectuant un remaniement de plusieurs poste ministériel occupant une chaise dans le conseil. Il ajouta cinq nouveaux visages à son entourage, dont André Fortin, qui s’occupera des dossiers des Transports, Isabelle Melançon pour l’Environnement, Marie Montpetit pour les Cultures, Filomena Rotiroti qui sera présidente du caucus et Véronyque Tremblay qui sera délégué aux Transports. Le remaniement ne veut seulement pas dire qui aura des ajouts au groupe ministériel mais aussi des changements de poste pour certains ou exclusion pour d’autres, comme c’est le cas de Rita Desantis qui était responsable de l’Accès à l’information et de la Réforme des institutions démocratiques. Ce changement est dû au fait que le premier ministre qu’il a des priorités pour le futur de son parti et que ce changement serait favorable pour les prochaines élections.

Le lien avec un concept étudié en cours :

Le terme abordé dans cet article est le conseil des ministres. Le conseil des ministres est un organe politique qui est responsable de la réalisation d’une planification stratégique des priorités gouvernementales. Ce conseil est présidé par le premier ministre et ce dernier choisi qui prendra la place autour de la table pour discuter de la prochaine action gouvernementale. Les ministres choisis sont donnés un « portefeuille », c’est-à-dire qu’ils sont responsables d’un ministère. Lors des réunions, souvent hebdomadaire, chaque ministre doit donner son consensus sur les portefeuilles discutés. L’existence de ce conseil, entraine le premier ministre d’être au courant des activités de tous les ministères et par les conseils de ses ministres, il peut avoir une meilleure position sur ce qui doit être fait pour la société québécoise.

Critique:

L’action du remaniement que le premier ministre, Philippe Couillard a entrepris est une bonne action à faire dans un conseil. En fait, lorsque que les activités gouvernementales sont stagnées et que le premier ministre envisage une prochaine élection, l’action est justifiée et avantageuse.

  1. Bureaucratie

Référence :

HARRISON-JULIEN, Pasquale (10 mai 2016). L’intégration d’un élève transgenre freinée par la bureaucratie. Huffington post Québec. Récupéré de  https://quebec.huffingtonpost.ca/2016/05/10/l-integration-d-un-eleve-transgenre-freinee-par-la-bureaucratie_n_9888308.html?utm_hp_ref=qc-bureaucratie

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