Lecture cursive, Christophe Colomb, Journal de bord

Lecture cursive d’extraits

Christophe Colomb, Journal de bord :

Suite à une rencontre avec les indigènes, le navigateur conçoit qu'il serait plus préférable pour eux de se lier d'amitié avec les peuples autochtone afin d'envisager des échanges plutôt que de faire régner la violence et la répression.

Commerce de marchandise (lignes 9 à 14) où les Colons échangent facilement des babioles et des pacotilles contre des biens de plus grandes valeurs aux tahitiens naïfs.

Commerce d’humains (traite des noirs) aux (lignes 39 à 45) soumettent les tahitiens à l’esclavage et au christianisme (culture religieuse Portugaise) du fait de leur obéissance. Il envisage de les déporter.

Bartolomé de las Casas, Brève relation de la destruction des Indes :

Choqué par la condition indigène en Amérique le prêtre dominicain espagnol dénonce les pratiques des Colons et se déclare militant de leur cause en défendant leur droits.

Extermination, génocide (lignes 3 à 8) où les Espagnols ont éradiqués la civilisation des indigènes par les guerres de religion (lignes 9 à 10) par la torture (ligne 10 à 13) restreint de force aux peuples soumis, qui a causé le déclin de leur civilisation, ils ont amené avec eux que vols, violences, massacre et cruauté à des peuples auparavant doux et paisible. Sous prétexte d’apporter la civilisation ils les exploitent.

Atala, Châteaubriand :

Au cours d'une expédition l'explorateur tombe né à né avec une mère qui fait le deuille de son fils (scène à l'allure tragique)

Génocide (lignes 101 à 102) anéantissement de leur nation par la force et la répression.

Naissance du droit de la propriété (lignes 105 à 106) chose méconnue de ces peuples où tout appartient à tous, notions de partage.

Voyage au bout de la nuit, Céline :

Commerce marchand (lignes 7à 8) où les Européens achètent du caoutchouc brut aux noirs récolteurs rémunérés par une poignée de sous, des heures voir des mois de labeur du fait de leur ignorance car ils méconnaisse la valeur de l’argent et les marchands peu scrupuleux s’en servent pour faire marcher leur business flamboyant qui est de l’ordre de l’escroquerie (lignes 30 à 31 et 46 à 47).

Racisme (lignes 13,35,37 à 39) dut à un sentiment de supériorité de la part des Européens.

But : S’enrichir

Léopold Sédar Sanghor, Hosties noires :

Il représente le racisme dans son poème comme une injustice venant de la part de l'état Français qui à fait appel durant la première et la seconde guerres Mondiales aux Tirailleurs Sénégalais, militaires de l'armée coloniale qui ont était envoyé au front et très souvent en première ligne victime d'un lourd tribut sur les champs de batailles Français. L'auteur dénonce l'état Français de ne pas rendre l'hommage

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