L'impact de la mondialisation sur le réchauffement climatique
Étude de cas : L'impact de la mondialisation sur le réchauffement climatique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar thomasthz • 4 Novembre 2020 • Étude de cas • 2 812 Mots (12 Pages) • 1 462 Vues
Sommaire :
Introduction
- I) L'impact de la mondialisation sur le réchauffement climatique
- 1) Les différentes conséquences
- Sociales
- Economiques
- Sanitaires
- 2) Les acteurs
- II) Les différentes stratégies écologiques mondiales
- 1) De l’accord de Paris (COP21) à la conférence de Madrid (COP25).
- 2) Enormément de paroles...et les actes alors ? La Chine, exemplaire.
- III) Des solutions plus écologiques et durables à l’avenir :
- 1) Que peut-on attendre de l’accord de Glasgow (COP26) ?
- 2) Un changement nécessaire de la société
- 3) Mais également adopter une économie verte
Conclusion
Conclusion
Intro : Dans le contexte actuel, les gouvernements des différents pays doivent se mobiliser pour répondre à une problématique majeure qui est comment faire face aux conséquences du réchauffement climatique. Ils doivent donc établir différentes stratégies pour concilier les enjeux environnementaux, sociaux, économiques et sanitaires. La situation actuelle en 2020 est plus qu’alarmante selon certains scientifiques et experts. Les conséquences peuvent être dévastatrices d’ici 2050 si aucune mesure pour résoudre ce problème n’est envisagée. Avant de voir les différentes stratégies adoptées par les pays responsable entre guillemets de ce réchauffement climatique. Nous allons voir les différents acteurs et les conséquences du réchauffement climatique à cause de la mondialisation et pourquoi il est essentiel de réagir.
Acteurs du réchauffement climatique :
Le réchauffement climatique est principalement dû à l’émission de gaz à effet de serre qui sont d'origine naturelle pour la plupart.
La plupart des gaz à effet de serre sont produits en sur abondance par les humains.
Quels sont les pays responsables du réchauffement climatique ?
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Ce sont les pays industrialisés du Nord qui sont les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre avec toutefois une palme pour la Chine (La chine, devenu la manufacture de l'occident, est désormais au premier rang.), qui vient de se hisser depuis peu devant les Etats-Unis Pourtant responsables de près d'un tiers des émissions. Avec respectivement plus de 10 milliards et 5,2 milliards de tonnes de CO2 émises en 2013, la Chine et les Etats-Unis sont loin devant l'Union européenne (3,4 milliards), l'Inde (2,4 milliards) ou encore la Russie (1,8 milliard).
Cependant, les émissions de CO2 dans les pays industrialisés devraient être divisées par 3 d'ici 2050 sous l'effet des évolutions technologiques et des contraintes politiques. Au contraire, les pays en voie de développement dont les populations vont doubler et se hisser aux niveaux de consommation des pays industrialisés, devraient multiplier par 6 leurs émissions de CO2 ! En 2050, leurs émissions seront alors 7 fois supérieures aux pays industrialisés. On peut facilement imaginer que le taux d’émission de gaz à effet de serre doublera d’ici 2100.
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CHINE
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USA
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L'exploitation pétrolière dans les économies du Golfe et le fait que ces pays soient peu peuplés explique en grande partie ce ratio par habitant très élevé. Les pays développés comme la France font partie du haut du classement. Leur population possède une empreinte carbone élevée. Ainsi une remise en cause collective de notre société doit être envisagé pour sauver la planète.
Gaz à effet de serre :
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En particulier, Il faut savoir qu’en France le secteur qui produit le plus de gaz à effet de serre est celui du transport avec plus de 28% (Viennent ensuite l’agriculture et le tertiaire).
Il est clair que l’impact de l’homme sur la planète est donc plus que néfaste. L’homme est le principal acteur du réchauffement climatique.
CONSEQUENCE ENVIRONEMENTALE :
Les conséquences du réchauffement climatique sont nombreuses. Cette augmentation de la température provoque de nombreuses catastrophes naturelles qui elles-mêmes impactent nos écosystèmes et les populations. Il faut savoir que le nombre de catastrophes naturelles a doublé ces 20 dernières années en raison du changement climatique.
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Certains changements plus lents sont aussi en route (sécheresse ou fonte des glaciers) à cause de cela des villes comme New York, Miami, Tokyo, ou encore Amsterdam sont menacées par les eaux et pourraient être totalement englouties d’ici 2050.
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On peut aussi noter une nette acidification des océans élevées dans l’eau en raison de la hausse des concentrations de CO₂ dans l’atmosphère.
Les écosystèmes sont directement menacés par les changements de température et surtout les différentes espèces présentes. On peut citer l’ours blanc comme exemple emblématique.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat estime que 20-30% des espèces seront exposées à un risque accru de disparition si la température augmente de 1,5 à 2,5 degrés. En 2019, on compte 400 espèces éteintes durant cette décénie.
CONSEQUENCE SOCIAL :
10 % de la population mondiale, soit 600 à 700 millions de personnes, habitent désormais dans une zone menacée par la montée des eaux. Pour rappel, une île habitée a déjà été rayée de la carte, en 2006 : il s’agit de Lohachara, dans le delta du Gange, en Inde. Une douzaine d’autres îles indiennes seraient aussi sur le point de disparaître d’après l’Université Jadavpur de Calcutta. Les pays les plus menacés restent l’Egypte et les Pays bas dont d’immenses superficies sont situées en dessous du niveau de la mer.
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