Comment la mondialisation estompe-t-elle l’identité des cultures autochtones et impacte-t-elle notre environnement ?

Tess
GUILLOT
1ère L

Fiche de Synthèse TPE 2015-2016

Thème  : Ethique et responsabilité
Disciplines : Histoire-Géographie et Sciences économiques et sociales
Sujet : Les cultures autochtones
Problématique : Comment la mondialisation estompe-t-elle l’identité des cultures autochtones et impacte-t-elle notre environnement ?
Membres du groupe : Camille FRERE, Elise LECOMTE, Lisa POGGIONOVO, Tess GUILLOT

Cette année, dans le cadre des TPE nous avons décidé de porter notre attention sur le sujet des cultures autochtones et plus particulièrement des cultures autochtones face à la mondialisation. Les questions initiales qui se sont alors posées étaient de définir les termes du sujet et son véritable sens. Nous avons découvert que la mondialisation d’un point de vue géographique est  « une interaction généralisée entre les différentes parties du monde ». La définition la plus intéressante selon moi est celle que l’on a trouvée pour l’autochtone qui est « Se dit d'une personne originaire du pays où elle habite. » Cette définition nous a fait comprendre qu’au final nous sommes tous des autochtones. Il était donc important pour nous de préciser quelles cultures autochtones nous voulions étudier et notre choix s’est porté sur des peuples qui subissent la mondialisation tels que les Amérindiens, les Papous, les Maoris et les Kayapos .                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Notre Groupe est constitué de quatre personnes de classes différentes : Elise (ES), Camille (L),   Lisa(L) et moi (L). Le fait d’avoir un grand groupe présente des avantages et des inconvénients. En effet, nous avons eu l’avantage de travailler sur un thème commun aux deux classes qui nous a permis de nous mettre ensemble.Cependant, dès la deuxième séance un sujet de discorde est apparue quant au  thème et au sujet que l’on voulait traiter.  J’avais proposé le thème de « l’aléatoire, l’insolite, le prévisible » car je suis intéressée par  les médecines aléatoires mais certaines filles voulaient parler de l’environnement qui correspondait plus au thème « éthique et responsabilité ». Ce sujet ne faisait pas l’unanimité dans le groupe et a bien failli nous séparer. Aussi nous sommes nous posées et calmées pour réfléchir et nous avons finalement décidé de garder « éthique et responsabilité », de donner une place à l’environnement dans notre problématique mais de ne pas en faire le sujet principal. Ainsi est née une autre problématique.

En suivant les pistes de recherches, les mots « responsabilité » ,  « normes d’ailleurs » ; « cultures » ;  «  responsabilité envers les générations futures » nous ont menées à faire des recherches sur ce sujet , nous poussant à trouver des mots qui généralisent toutes ces petites recherches .Sont ressortis les termes cultures , mondialisation et autochtones . Une fois ces mots clés trouvés nous avons essayé plusieurs formules de langage afin de produire une problématique correcte et intéressante.

Notre problématique actuelle est donc : En quoi la mondialisation estompe- t-elle l’identité des cultures autochtones et impacte-t-elle l’environnement ? Pour  y répondre nous avons crée un plan en 4 parties :I) La mondialisation, II) Les conséquences, III) La lutte pour la sauvegarde des identités et en IV) Les solutions . Mais au final nous avons fusionné les deux dernières parties car elles se complétaient très bien et seules elles étaient incomplètes.

Suite aux recherches  effectuées, nous nous sommes penchées sur la production que nous souhaitions mettre en place. Dans un premiers temps nous voulions nous costumer comme le voulaient les traditions et faire une émission (type Envoyé Spécial) dans lequel un reporter raconte ce qu’il a vu et appris dans chacune des cultures étudiées. Finalement aux vues du temps que nous avait pris nos recherches et la difficulté de réalisation des costumes et d’un plateau télé, nous nous sommes réorientées sur l’idée de  quatre jeunes femmes parties dans des cultures autochtones différentes dans un but ethnologique et humanitaire qui réalisent une vidéo où elles rapportent leur souvenirs et ce qu’elles ont appris au cours de leur voyage .De ce fait, ce qui nous a donné le plus de difficultés fut le montage de la vidéo(difficile pour des novices dans ce domaine) et trouver le temps de nous réunir lors des plans et séquences où nous devions toutes être présentes .

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