Contrôle des armes à feu au Canada
Analyse sectorielle : Contrôle des armes à feu au Canada. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar danaedcouture7 • 8 Décembre 2020 • Analyse sectorielle • 3 009 Mots (13 Pages) • 389 Vues
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Les citoyens sont interpelés alors qu’il y a de nouveaux développements sur la règlementation des armes à feu au Canada.
Ayant comme effet une rivalité sur le contrôle des armes à feu, le gouvernement et les citoyens se doivent d’être informés et d’évaluer les problématiques d’un moins grand contrôle des armes à feu. Un point de vue favorable à ce plus grand contrôle est présenté dans cette analyse incitant ses lecteurs à considérer davantage l’obtention d’une communauté informée et en sécurité.
Des témoignages de médecins et du service de police de Toronto évoque les aspects dévastateurs que créer les armes à feu et les crimes armés pour la population et pour l’économie du pays. La santé mentale touche une grande partie de la population, un manque d’évaluation des sujets concrétise le besoin d’un contrôle plus important des armes à feu.
Les criminels et la défense sont des sujets apporter par les autres individus. Ils créent un doute sur la nécessiter de ce plus grand contrôle. La généralisation selon laquelle le crime organisé serait la source du problème explique le manque de validité de l’argument. De plus, l’immigration et les crimes haineux évoque que la défense n’a pas de tendance positive.
En conclusion, il faut prendre en considération qu’en plus des argumentaires proposés, Statistique Canada révèle qu’en plus du manque de contrôle des armes à feu, il y a un manquement des informations des armes à feu et des crimes liés. Le gouvernement a besoin de rester subjectif et transparent dans sa position et c’est aux citoyens canadiens de favoriser les besoins de son pays.
Préambule
Depuis les années 2000, les armes à feu au Canada sont sujet de débat chaud au sein de la population. Divers projets de loi ont été analyser comme par exemple les lois : C-10A, C-24, C-19, C-42, C-71. Toutes ces projets de loi ayant comme but d’améliorer la sécurité des canadiens et de contrer aux aspects négatifs et aux problématiques des années antérieures. Les débats chauds remettant constamment en question la liberté et la légitimité qui découlent de ce sujet controverser sont importants dans notre démocratie.
Le premier ministre du Canada est Justin Trudeau. Celui-ci est dans un gouvernement minoritaire et représente l’idéologie politique libéral. Le gouvernement a dernièrement instauré un nouveau décret interdisant plus de 1 500 modèles d’armes à feu de type militaire au Canada. Plusieurs se sont opposé à ce décret et à son programme de rachat des armes prohibées. Cette nouvelle rivalité sera le sujet principal de cette analyse.
Un citoyen canadien âgé de plus de 18 ans ayant comme objectif d’obtenir un permis d’arme se doit de faire une démarche à plusieurs étapes. Cette démarche débute avec une formation du Cours canadien dans le maniement des armes à feu à utilisation restreinte. Après avoir réussi les examens, les postulants se doivent de demander un permis de possession et d’acquisition à la GRC, en vertu de la Loi 9 sur les armes à feu. La décision se retrouve donc dans les mains de trois personnes de la GRC qui se doivent d’évaluer le demandeur à savoir si celui-ci n’est d’aucunes mauvaises intentions.
Ces informations législatives concernant la possession d’armes au Canada seront essentielles dans la mesure où nous considérons le nouveau contexte de rivalité concernant le contrôle des armes à feu et que nous défendons le plus grand contrôle des armes à feu.
Pour défendre une position plus protectrice des citoyens canadiens et pour vous initier à un raisonnement rationnel, serons présentez des analyses objectives dans une optique qui appuie ceux qui adhèrent à l’idéologie en faveur d’un plus grand contrôle des armes à feu.
Il sera également important de considérer les arguments des contestateurs de cette plus grande domination des exigences en les opposants à une vision favorable à davantage de protection au sein de la société.
Les fonctions régaliennes étouffées
Les armes à feu ont diverses utilités. Comme par exemple la chasse, le tir de précision, la défense, mais celle qui cause des répercutions majeures est l’agression. Malgré le fait que l’agression n’est qu’une des quatre utilités, elle représente un danger ainsi que plusieurs problématiques pour la sécurité de la population.
En 2019, de nombreux médecins spécialisés en urgence dénoncent l’usage abusif des armes à feu. Cette dénonciation amènera avec elle un grand mouvement en faveur d’un plus grand contrôle sur les armes à feu. Les médecins qui se sont prononcés sur le sujet affirme qu’un grand nombre de citoyens font face à des blessures graves, pouvant causer la mort, à la suite d’homicides ou d’autres crimes à mains armées. Ils affirment que cet abus provoque un débordement dans les hôpitaux. Ils font appel aux représentants politiques en soutenant qu’une réglementation plus sévère aurait comme effet une diminution des victimes.
Considérons alors le nombre d’homicides au Canada à partir d’une étude de Statistique Canada en 2019. Le nombre d’homicides s’élève à 678. La proportion de ces homicides commis à l’aide d’une arme à feu est de 2/5, soit 261. La tâche principale des médecins et de tout autres professionnels de la santé est de venir en aide aux malades et blessés.
Par ailleurs, il est à considérer que tous les frais médicaux qu’engendre ces crimes violents, pourrait être réduit dans l’optique où il y aurait un contrôle plus important sur les armes à feu au pays. L’argent épargner sur cet aspect pourra être mise dans divers programmes pour un plus grand contrôle des armes. Cette dernière vision économique semble quelque peu froide puisqu’il faut également considérer que cette situation engendrerait une diminution des homicides à mains armées, et parallèlement, une diminution des victimes de ces crimes violents.
En situation de pandémie mondiale, le débordement des hôpitaux est inévitable. Il faut donc considérer que la prise en charge d’une fusillade ou d’homicides dans les hôpitaux pourrait être éviter dans l’optique où le contrôle des armes serait plus grand et une priorité pour le gouvernement.
Il faut également tenir compte des effectifs de police du pays. Les homicides, directement lié à la criminalité au pays, sont en augmentation et cela demande davantage de d’autorité policière. En 2018, Toronto a connu un haut taux d’homicide et de criminalité, plus que
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