Types de stocks logistiques
Dissertation : Types de stocks logistiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar danielberg1 • 3 Janvier 2021 • Dissertation • 1 084 Mots (5 Pages) • 395 Vues
- Les 6 différents types de stock sont :
Stock de machines : (machine outils, véhicules…) : Stock rare car la majorité des machines sont réputées onéreuses et si je constitue un stock de machine alors j’immobilise une somme monétaire importante sans affectation particulière. Pour en constituer un il faut que la machine soit très peu chère, et que le délai d’attente acceptable par le client soit faible.
Stock de MP : Il y a des flux entrants et des flux sortants et internes. Par définition les MP font partie des flux entrants qui sont caractérisés par un aléa qui est non maitrisable : Raisons techniques (machine du fournisseur qui tombe en panne) / Raison économique : pas d’argent / Raisons administratives voire politiques : mon fournisseur est dans un pays étranger et les relations entre le pays fournisseur et la France se sont brutalement dégradées.
En tant que gestionnaire il faut prévoir ces aléas, d’où la constitution d’un stock.
Le stock d’encours : Produits qui sont en phase de transformation. Les encours de production sont des produits internes. Il correspond à 80% des durées de réparation des pannes. ex : il faut 10H pour réparer une panne (entre 5min et 3 semaines) —> Du coup il faut avoir 3 semaines d’encours. Il faut donc 80% d’encours donc 48h de stock
Stock de marchandises : Les marchandises sont achetées et revendues en l’état sans processus de transformation majeure. Ce sont des flux sortants. Ces flux sortants sont confrontés à la demande et donc aux aléas de la demande. Ce sont les prévisions de ventes qui vont aider pour ces aléas.
Produit finis : Ce soit des aboutissements des processus de transformations majeur. Ce sont des flux sortants. Ces flux sortants sont confrontés à la demande et donc aux aléas de la demande. Ce sont les prévisions de ventes qui vont aider pour ces aléas.
Stock de fourniture : Il est de moindre importance stratégique. Sauf dans les secteurs à forte valeur ajoutée intellectuelle, c’est à dire cabinet de conseil, laboratoire de recherche et dans le monde de l’enseignement.
- Question de Recherche
En vous basant sur le cours et sur des recherches personnelles, décrire l’apport de l’école néo-classique dans l’émergence du commerce international.
L’école néoclassique
Le commerce international a fait l'objet d'une première analyse scientifique au tournant du 18e siècle, l’école néoclassique s’oppose à la doctrine mercantiliste, qui y voyait un jeu à somme nulle. Amorcée par Adam Smith, cette nouvelle analyse du commerce international, visant à montrer au contraire que le commerce entre nations procure un gain net, sera approfondie par David Ricardo.
Ce sont les créateurs de la stratégie push and pull.
Pour les classiques (Smith et Ricardo), le prix d’un produit est proportionnel à des quantités de travail et de capital (facteur de production).
Adam Smith prône un commerce libre d’entrave à l’échelle internationale qui s’oppose aux idées du Mercantilisme car :
- Le commerce international permet d’écouler les excédents et de se procurer des biens utiles pour lesquels existe une demande
- Le commerce international stimule la division du travail
- Chaque pays souhaite se spécialiser en développant les activités où il dispose d’un avantage absolu.
Pour Ricardo:
- A l’intérieur de chaque pays, il n’existe aucune entrave à la libre circulation des marchandises, du travail, des capitaux…
- A l’échelle international, il en va de même pour la libre circulation des marchandises mais ce n’est plus le cas pour la circulation du travail et des capitaux
- Dans chaque pays les biens sont soumis à la concurrence pure et parfaite,
- Les produits s’échangent en proportion des quantités de travail nécessaire à leur fabrication
- La production d’un bien exige la mise en œuvre de facteur travail et capital dans des proportions précises et fixes
- Il n’y a à priori aucun désavantage à produire un bien en grande série
Pour Ricardo, la condition nécessaire et suffisante pour qu’il y ait échange international est qu’il existe une différence de couts comparatifs dans l’activité pour laquelle le cout comparatif est le plus faible. Les écarts de cout résultent des différences de climat, d’avantages naturels ou des acquis propres à chaque pays.
Les théories classiques et néo-classiques reposent sur la comparaison des pays considérés 2 par 2.
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