Le marché des droits à polluer

Parmi les  enjeux de ce marché, plusieurs se demande la question par rapport à l’efficacité de ce marché

La première avantage ce que le marché donne un choix libre et souple pour les entreprises. Elles peuvent arbitrer entre investir pour réduire la pollution et donc vendre des quotas ou bien continuer à  polluer et acheter des quotas .souvent les entreprises choisissent la solution la plus avantageuse économiquement .en effet, vendre des quotas imposent un investissement alors que acheter des quotas imposent le coût d’achat. Les entreprises choisissent donc la solution la moins coûteuse ca dépend de la quantité des quotas émis par l’état.

Le marché des droits à polluer a aussi des inconvénients, le prix de quota est volatile, il varie beaucoup .il existe deux raison de cette volatilité,  l’offre de quotas dépend des possibilités techniques et la demande de quotas dépend de la production et de la croissance économique. Ainsi, les entreprises ont peur d’effectuer des investissements coûteux car ils ne savent pas si ca va être rentable. Puis, les entreprises ne sont pas affectés de la même manière.il existe les grandes entreprises leaders sur le marché qui répercutent le prix du quota sur le prix de vente, ces grandes entreprises peuvent aussi embaucher des équipes de traders pour acheter des quotas aux meilleurs prix alors que les petites entreprises sur le marché de concurrence ne peuvent pas le faire. Le prix du quota pèse donc économiquement  plus sur les petites entreprises

.d’une façon ce marché une solution limitée pour réduire la pollution. Les entreprises qui polluent vont faire des lobbies et menacer de délocaliser pour éviter la perte de la compétitivité si le prix du quota est élevé, elles demandent donc que les quotas attribués par l’état soient nombreux .la chine par exemple s’est spécialisée dans le recyclage de gaz dangereux. Elle vend les quotas à prix bas. Cela n’encourage pas les entreprises à réduire la pollution. Mais la limite principale ce que l'horizon temporel est différent : la pollution est un phénomène a long terme, irréversible et cumulatif    qui affectent les générations futurs. En revanche, la quantité de droits à polluer dépend de la politique présente et dépend aussi des aspirations des générations présentes.

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