Histoire des institutions : Les forces traditionnelles (l'église, l'empire et la royauté)
Fiche : Histoire des institutions : Les forces traditionnelles (l'église, l'empire et la royauté). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Miaa2222 • 27 Septembre 2021 • Fiche • 959 Mots (4 Pages) • 424 Vues
Histoire des Institutions – Semestre I
Chapitre IV:Les forces traditionnelles (l'église, l'empire et la royauté)
Le moyen âge féodal doit tenir compte de 3 puissances qui tout en participant au mécanisme s'inscrivent dans un cadre plus large que la seigneurie et répondent à des buts différents: il s'agit d'une part de l'empereur et du pape qui exercent leur influence sur toute l'Europe occidentale. L'autre puissance c'est évidemment le roi de France. La royauté est aux mains des Capétien depuis 87, à l'origine le roi de France ne joue un rôle que très modeste, il apparaît comme un grand seigneur certes mais qui n'est pas nécessairement le plus puissant du royaume mais qui parmi ses possessions personnelle a le couronne de France qui reçoit le sacre royal à ce titre: ce qui aura pour effet de lui consacrer un statut à part dans le monde féodal. À la suite d'un patient travail, le roi va apparaître progressivement comme la seule puissance politique en France. Ce qui sera accompli au XIV ème siècle à peu près.
Première section: L'ÉGLISE
Dans la société chrétienne du moyen-âge l'église à naturellement un rôle majeur, cependant elle à subit l'influence du monde féodale dans lequel elle a vécu et au X ème et XI ème siècle, l'église est menacée.
La restauration de son autorité à partir du milieu du XIème
Comment sa puissance se confirme.
Paragraphe I. L'église menacée par la féodalité
La féodalité à eu une influence sur le personnel ecclésiastiques à deux niveaux distincts:
A-D'une part les évêques sont des seigneurs
B-D'autres part ils sont désigner par d'autres seigneurs aux mépris des règles ecclésiastiques et de la nature de leurs fonctions
A.La confusion du rôle entre ecclésiastiques et seigneurs:
Les ecclésiastiques assument des tâches laïques depuis l'époque franque. Le roi Franc avait déjà accordé des immunités ecclésiastiques (interdiction de prélever des impôts sur leurs terres). Il est aussi arrivé que des ecclésiastiques reçoivent des fonctions comtales de la part du roi: ces comptes sont devenus les vassaux du roi et ont reçu un bénéfice.
Ces ecclésiastiques sont incaparés par des tâches temporelles et tiennent souvent une cour féodale. Certains en viennent même à prendre les armes et combattre. LE moyen age connait des ordre monastiques guerriers. La confusion entre ecclésiastiques et laïque est d'autant plus grande que les terres d'églises ne reviennent pas toujours être tenu par des ecclésiastiques mais aussi par des laïques (ex: Hugues Capet). Ainsi les ecclésiastiques ont reçus des seigneuries et en oublie le rôle religieux et spirituel que doit avoir l'église «quelle belle chose ce serait d'être archevêque de Reims s'il ne fallait pas chanter la messe».
B.LA désignation des seigneurs ecclésiastiques aux mains des laïques
Traditionnellement les ecclésiastiques sont censé se désigner entre eux. L'évêque est élu par les clercs et les fidèles du diocèse . L'abbé, lui est élu par les moines de son monastère. Avant-même la féodalité, de puissants princes laïques ont désirés contrôler cette nomination à la tête d'un monastère ou diocèse. Un grand propriétaire qui va édifier une église sur son domaine va souhaiter choisir la personne qui va assurer le culte. Les rois eux-même veulent imposer à la tête d'une diocère l'évêque qu'ils souhaitent ou à la tête d'un monastère l'abbé qu'ils souhaitent.
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