Histoire de la famille

Histoire de la famille 

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famille : en se référant aux règles de droit, il n'existe aucune définition précisé proposée, parce que le droit appréhende la famille a travers les éléments qui la structure cad mariage, filiation, et rapports découlant de ceux-ci.

La famille est alors un groupe de personnes unis par des liens de parenté et d'alliance. L'individu s'insère dans ce groupe par l’intermédiaire de ceux qui l'y font entrer, on peut faire entre un individu dans un groupe par 2 manière ; la naissance= lien naturel, de sang

                                le recours a un lien de droit, juridique a savoir l'adoption

Quand on parle de groupe, cette taille est variable on distingue le groupe restreins( personnes vivant sous un même toit sous la direction d'un chef de maison et avec des ressources communes)  et large ( on y rajoute alors les collatéraux).

Même cette notion de famille restreins est changeante selon les époque.

La parenté : c'est le lien familial qui repose sur la communauté de sang, mais peut aussi reposer sur un lien de puissance. Elle peut être directe ou collatéral ( descendant d'une souche commune ou toute deux soumise a un même lien de puissance).

Cette parenté se calcul en degré( distance séparant deux parents). Donc en ligne direct le ligne de degré va correspondre au nombre de générations séparant deux personnes.

On parle également de degré quand on envisage la ligne collatérale.

Le droit romain compte un nombre de degré égale au nombre de génération entre l'un des parents et la souche commune puis entre la souche commune et l'autre parent, en revanche le  droit germanique compte le nombre de génération séparant une personne de la souches communes, cette méthode est reprise par le droit canonique. Ce droit canonique connaît aussi la parenté spirituelle découlant de la participation a un même sacrement( essentiellement le baptême )

il y a aussi l'affinité de l'alliance qui existe entre une personne et les parents de son compagnon.

En principe le droit devrait uniquement envisagé la parenté légitime découlant du mariage, mais pour des raisons évidente cette règle souffre de nombreuses exceptions.

La famille en tant qu'institution est essentielle en effet on la retrouve a toute les époque, il semble alors que celle-ci soit une nécessité imposée par la nature. Cette famille joue un rôle social de 1er plan, si la famille va mal la société va mal, alors tout ce qui va détruire la famille va avoir des répercussions fatales sur la société, raisons pour laquelle les pouvoirs en place ont toujours tout fait pour que la famille aille bien. Cette famille n’évolue alors pas en vase clos, elle subis des influence extérieures, philosophique, religieuses, politiques, économiques.

Tout ces éléments vont donner a la famille une diversité rendant la synthèse difficile, raison pour laquelle la famille n'a jamais pu être définie de manière précisé et immuable, raison pour laquelle nous allons nous intéresser uniquement aux principaux traits de la famille en France.

        Les origines du droit familial français

notre ancien droit découle de 2 systèmes juridique plus anciens introduits souvent de force en gaule, tout d'abord le droit romain que nous connaissons notamment grâce aux lois mettant par écrits les coutumes ( loi des 12 tables...)

mais aussi le droit germanique, les sources sont plus compliquées car ce droit est purement coutumier jusqu'au invasions du V siècle.

Le droit romain introduit en gaule par jules césar, la gaule était alors entièrement romanisé au V siècle.

Ce système de la personnalité des lois persistera jusqu'à la seconde moitié du IX siècle, période ou les deux droits vont alors fusionner, notamment par emprunt réciproque de certaines règles de droit. On va alors passer de la personnalité des lois à la territorialité des lois ( la coutume du lieu), ces coutumes se référant alors a un droit romain dégénéré auquel on rajoute certains éléments barbare, pays de droit écrit dans le sud (influence romaine plus importante) et pays de coutume dans le nord.

On parle de coutumes car on est en présence de règles juridique extrêmement diverses.

les aspects personnels vont être régis par l’Église a la différence des aspects patrimoniaux

la famille romaine est patriarcale, on raisonne par rapport aux hommes, et même par rapport au dernier ancêtre mâle encore vivant, alors appelé la pater famillias.

Cette famille romaine repose sur la notion de puissance, c'est l'autorité de ce pater qui s'impose, autorité despotique au départ qui finira par s’atténuer.

Les liens de droit priment sur les liens naturels, raison pour laquelle ces romains vont très fréquemment recourir à l'adoption.

La structure de la famille romaine propose une organisation de type pyramidale, monarchique.

Face a cette famille romaine on a la famille germanique, chez les germains c'est la parenté par le sang qui est importante et qui prime, en parlant de tribus germanique on parle de tribus faisant souvent la guerre donc l’insécurité est pressente, la solidarité est alors très importante, cette solidarité confère des droits mais impose aussi des obligations ( si l'un est agressé il faut le venger, si l'un est démuni il faut lui porter secours) et a l’intérieur de ce groupe la famille a aussi un caractère patriarcale, le père est le chef mais son autorité n'a rien a voir avec celle du pater, la sienne existe dans le but de protéger les membres de sa maison, sa puissance cesse alors lorsque les membres n'ont plus besoin de sa protection.

On pourrai qualifier cette famille en disant qu'on est en présence d'une république chez les germains.

Dans l’église, la famille existe par droit de nature, elle n'a pas de rôle politique a jouer et a un doit être animée par la charité. Donc se sépare complètement de la famille germanique dans cette finalité de solidarité.

Pour elle la famille est une conception étroite, fondée sur le mariage, union de deux êtres créant un nouveau groupe, et les deux membres de ce groupe sont égaux. Mais il faut tout de même dans la pratique une hiérarchie car chacun a un rôle a jouer, le mâle est alors le chef car le plus apte a diriger. La femme est alors soumise au mari dans l’intérêt commun.

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