Cours de criminologie

Criminologie

Ressources relatives au cours sur Ametice : plan de cours, bibliographie, mail du prof.

Examen : QCM (vrai, faux)

Le mot criminologie veut dire plein de chose donc il faut justifier l’approche que l’on prend.

Ce qu’on appelle criminologie ca veut dire des choses différentes selon le contexte

Dans notre contexte à nous une matière qui s’appelle criminologie est une matière enseignée au long du 20ème siècle dans les grandes facultés de droit de façon couplé avec le droit pénal comme une sorte d’aide au travail des gens qui vont exercer les métiers du droit pénal.

Institut criminologie de Paris ← Pignatel. Cette criminologie n’est pas enseignée par des chercheurs.

Souvent juristes formation qui travaillent avec des gens qui sont des pros du système pénal, par ex psychologue, policier.

Ensuite, deuxième chose qu’on appelle criminologie. C’est une sorte de titre autoproclamé (tout le monde peut se dire criminologue) qui normalement utilisé par des gens qui sont expert en sécurité privé ou qui font partis d’association relatif à la sécurité, au pénal et qui passent bcp de temps dans les médias, vendre des bouquins. Comme par Mathieu Rigouste « les marchands de peur »

Mais au Canada la criminologie correspond à autre chose, pour eux dans la criminologie le plus important est le fait de développer des recherches pour aider des services pénitentiaire à comprendre à qui ils sont à faire.

En France correspond au SPIP répond à un service de probation et de réinsertion, cad qu’ils suivent les détenus au cours de leur détention et se demandent si une fois que la peine est exécutée est ce qu’il vont récidiver et comment réinsérer.

Aux USA, criminologie correspond principalement à ce qu’on appel en France la sociologie criminelle, cad ce sont les gens qui essayent de comprendre comment l’environnement amène les gens à entrer dans la trajectoire criminelle.

La sociologie criminelle est enseignée en France dans la faculté de sociologie

En Belgique la criminologie répond principalement à ce qu’on appelle chez nous la philosophie critique de l’institution pénale.

L’enseignement des sciences criminelles dans les facs de droit est entrain de changer, il y a eu un rapprochement de la faculté de droit avec la sociologie.

Plus grand laboratoire : CESDIP.

Les chercheurs vont observer ce qu’ils passent en essayant de comprendre les pratiques professionnelles, comme avocat, service pénitencier.

Sentencing ← prévoir ce qui fait qu’un juge décide telle ou telle chose.

Affaire de la joggeuse assassinée en 2008 :

V. Lamanda ← dans les facultés de droit il fallait mieux former les gens en criminologie.  

Du coup le prof a commencé a étudier la récidive.

Introduction : (pas à l’examen)

Introduction du « problème du mal à la question criminelle »

On va faire une histoire des savoirs sur le crime et la peine.

On va faire un tour d’horizon rapide du type de source qui existe en France sur le crime et l’institution pénale.

Et puis, on va faire une introduction à l’étude du fonctionnement du système pénal.

Les sciences humaines, cad de prendre l’homme, l’être humain comme un objet science, de connaissance sont quelques chose de relativement tardif dans notre histoire et de très localisé, principalement histoire européenne.

Selon Quételet : les sciences émerge au 17ème 18ème siècle mais véritable tournant au 19ème  (socio, psycho..)

Les gens qui étudient la criminologie aujourd’hui ils sont dans les axes dégagés à cette époque là.

Jusqu’à la naissance des sciences humaines est ce qu’il arrivait à des gens de se poser des questions relatives au crime ? Et sous quels angles ?

En général jusqu'à l’apparition des sciences humaines les deux grands objets de connaissance développée étaient soit la nature (quand on enseigne la physique on peut remonter à Aristote) soit Dieu.

Une grande partie des questionnements politiques, moraux, jusqu’au lumière vont etre traité sur ce coté là, des questions relatives à la nature et dieu.

La question que se pose les premiers criminologues, les gens comme Quételet, et celle qui intéresse le plus les gens aujourd’hui, est de savoir comment et pourquoi on devient criminel

Mais cette question précisément ne se posait quasiment pas jusqu’au 19ème siècle

En revanche une question importante qu’on retrouve dans l’Antiquité et dans la philosophie à partir de la chrétienté est ce qu’on appelle le problème du mal

Cette question se formule de la façon suivante : si existe un dieu omniscient, omnipotent et juste comment se fait il qu’il y ait du mal, de la souffrance dans le monde ;

C’st un pb qui a torturé l’esprit de penseur pendant 2000ans come par ex : Leibniz, Saint Augustin ont consacré une partie de leur vie a essayer de résoudre ce problème.

Le problème du mal est un problème logique, la question qui se pose c’est que si il existe du mal dans le monde et qu’il n’y a qu’un seul dieu et bien soit ce dieu est juste, il est bon, il ne veut pas qu’il y ait du mal dans le monde mais il ne parvient pas à le supprimer et à ce moment là il n’est pas omnipotent ; soit on observe qu’il y a du mal dans le monde, dieu pourrait le supprimer mais il choisit de ne pas le faire et à ce moment là cela veut dire qu’il n’est pas juste, pas bon.

Une partie substantielle des écrits de nom importants dans l’histoire de la pensée, comme Leibniz ou St Augustin a été consacré a essayer de résoudre le problème du mal.

De même, ce problème a déterminé une grande partie de notre histoire puisque au commencement de la chrétienté la réponse que l’on apporter au problème du mal était souvent liée à une version du christianisme qui s’opposait aux autres. Par ex le manichéisme (il voit tout blanc ou noir) pour résoudre le problème du mal disait que c’était parce qu’il y avait de Dieu : un dieu et un diable.

Le deuxième moment important sur la réflexion du problème du mal est la contribution de Leibniz qui est un philosophe et mathématicien du 17ème 

...